Le Moine

étranger. Par conséquent, Didace et le Survenant ont quelques caractéristiques semblables, mais ils possèdent certaines différences. Didace raconte l’histoire des premiers Beauchemin et il explique également comment ils se sont installés au Chenal du Moine. Puis, soudain, le Survenant commença à fredonner une chanson. Et, Didace continua son histoire en racontant qu’il y avait un Beauchemin qui n’a jamais voulu porter ce nom, mais plutôt le nom de Petit. Cette révélation étonna le Survenant, car sa grand-mère

Illustration : «Un soir d’automne, au Chenal du Moine, comme les Beauchemin s’apprêtaient à souper, des coups à la porte les firent redresser. C’était un étranger de bonne taille qui demandait à manger». Page, 19. Sous-argument 1.2 : Les gens du Chenal du Moine sont en admiration avec les nombreuses expériences et connaissances que le Survenant a apprises sur la route. Justification : Dans le texte de Germaine Guèvremont, tout les gens du Chenal du Moine, impressionnés par le Survenant, cet homme

horizons est perçue comme la raison de vivre du Survenant. • Sous-argument 1.3 : Les nombreux voyages du Survenant ont fait de lui un homme à tout faire, bourré de connaissances. Argument principal 2 Argument 2 : Les habitants du Chenal du Moine sont conquis par le Survenant nomade, qui apporte bonheur dans leur vie. • Sous-argument 2.1 : Le Père Didace, suite à sa rencontre avec le Survenant, ne jure que par lui. Il croit qu’il a toujours raison, ce qui l’incite à prendre des risques

engendre une lueur de bonheur pour les habitants de la campagne de Chenal du Moine. Ceci leur permettre de vivre le bonheur dont le survenant jouit par le fait qu’il se déplace d’une région à une autre. Sous-argument 2.1 : le père Dicace en côtoyant le survenant se retrouve en sa personne et aimerait avoir un fils aussi courageux et laborieux comme lui. Sous-argument 2.2 :l’arrivée du survenant dans Chenal du Moine allume la flamme de l’amour en Angélina qui tombe amoureuse de lui. Sous-argument

Étape 1 : Plan du développement Argument principal 1 Les hommes et les femmes vivant au Chenal du Moine ont des qualités, des valeurs hautement respectées à l’époque et qui résultent d’un mode de vie sédentaire. Sous-argument 1.1 La religion occupe une grande place dans la vie des habitants sédentaires. Preuves : 1) « Ce n’était pas uniquement par piété que Didace voulait arriver avant le commencement de la grand’messe […] il aimait surtout parler avec tout chacun à la porte

|      En arrivant au Chenal du Moi, le Survenant a fait des |      L’auteure utilise une énumération pour accentuer le bonheur | |connaissances avec des gens qu’il a appris à connaître et qu’il estime |que ressentent les gens du Chenal du Moine pendant cette fête, de | |beaucoup. Le fait de pouvoir se confier à eux démontré un lien de |plus l’abondance de nourriture amène également un effet sur le | |confiance. Le Survenant prendre conscience du bonheur que l’on retrouve|bonheur

retrouve au cœur d'une bataille impliquant aussi Odilon Provencal. La réaction de Laure Provencal montre bien l'esprit de fermeture. Elle réagit en disant:'' Aussi, pourquoi garder ce survenant de malheur? Pour voir si on avait besoin de ca au Chenal du Moine! Mais il jouit de son reste. Attendez que mon vieux l'attrape par le chignon du coup. Il va lui montrer qui c'est le maire de la place.'' On comprend qu’au moindre petit incident, c'est le Survenant qui est pointé du doigt, la bataille impliquant pourtant

ou le tournepierre à collier que l'on trouve très fréquemment sur les plages et les rochers. Le cormoran, le goéland, la mouette et l'huîtrier pie sont des oiseaux qui fréquentent les côtes basques. C'est aussi un lieu d'hivernage pour le macareux moine, le guillemot de Troïl et le pingouin torda. La montagne est le refuge de nombreux rapaces comme le milan noir, la buse variable ou le vautour fauve. Des mammifères sont familiers du Pays basque. Autrefois, l'ours brun peuplait les montagnes. Maintenant

* Un extrait du Survenant de Germaine Guèvremont L'ARRIVÉE DU SURVENANT Un soir d'automne, au Chenal du Moine, comme les Beauchemin s'apprêtaient à souper, des coups à la porte les firent redresser. C'était un étranger de bonne taille, jeune d'âge, paqueton au dos, qui demandait à manger. - Approche de la table. Approche sans gêne, Survenant, lui cria le père Didace. D'un simple signe de la tête, sans même un mot de gratitude, l'étranger accepta. Il dit seulement: - Je vas toujours

effet, passant «désormais […] pour le cavalier le l’infirme […] il fut bien compris au Chenal du Moine que quiconque se moquerait d’Angélina Desmarais devrait des comptes au Survenant» (Le Survenant, P.115). Dans Le Survenant l’auteur emplois régulièrement, dans son champs lexical, le qualificatif «infirme» pour nommer Angélina. Ce mots, à connotation subjective, prouve que les habitants du Chenal du Moine on une estime assez basse de la femme. De plus, dans ce passage, l’utilisation du terme «cavalier»