Le Moine

irrationnelle des questions sur la religion : « Ciel- enfer- diable- autre vie- moine bourru » Claire gradation descendante : Sganarelle désigne d’abord « le Ciel », c'est-à-dire Dieu : en effet le « Ciel », c’est la métonymie traditionnelle pour désigner Dieu, sans le nommer, afin de montrer le plus grand respect. * Mais Sganarelle finit par « le moine bourru », et la réplique suivante montre bien que c’est au « moine bourru » qu’il accorde le plus d’importance ! « Et voilà ce que je ne puis

de troubles. Dans le texte qui suit, on verra le Survenant comme quelqu’un qui apporte beaucoup de bouleversements dans la vie des habitants du Chenal du moine. Tout d’abord, au long de l’œuvre, le personnage du Survenant apporte beaucoup de bouleversements autant positifs que négatifs dans la vie dans la vie des habitants du Chenal du Moine. En effet, la famille Beauchemin se retrouve touchée par la présence de cet homme et dans ce cas, les résultats ne sont pas positifs, car l’étranger est source

différents épisodes se succèdent sans logique apparente : la pièce s’ouvre sur la décision d’Adam de partir à Paris reprendre ses études, puis interviennent le moine et le dervé, qui laissent ensuite la place à la merveille de féerie et à la roue de Fortune, et enfin les personnages se retrouvent à la taverne et jouent un mauvais tour au moine. L’intrigue paraît décousue, et provoque un flou insaisissable et perturbant, peut-être encore plus pour le lecteur d’aujourd’hui que pour le spectateur de l’époque

Cas pratique - Un moine décide de recueillir temporairement des personnes traversant une phase difficile en contrepartie d'un travail de restauration de l'abbaye ils étaient hébergés et avaient de l'argent de poche par le moine qui encadrait les travaux. Un contrôleur du travail visitant les lieux constate que les mesures de protections et de salubrité applicables aux établissement dont le personnel exécute des travaux ne sont pas remplies. Le moine est cité devant la juridiction répressive

Résumé : Un soir d’automne, pendant le repas, un inconnu frappe à la porte de la famille Beauchemin vivant dans un village québécois nommé Chenal du Moine, tout près de la ville de Sorel. L’inconnu demande à manger et le père de famille Didace Beauchemin, l’invite à joindre sa famille à table. L’étranger, dont on ne connaîtra jamais le nom et que l’on appelle tout simplement, « le Survenant » ou encore « Venant » s’installe donc chez les Beauchemin pour y travailler dans les champs et sur la ferme

argumenter avec lui, être à sa hauteur. Puis, à la page 88, c’est la débandade ! Sganarelle critique Dom Juan ET lui dit clairement qu’il est plus intelligent et plus fort que son maître (vers 87-92) ! Mais comme chacun sait, « l’habit ne fait pas le moine » et Sganarelle se trahit en disant, toujours à la page 88, « que votre père ait engrossé votre mère ». Il s’agit là de langage familier qui montre bien le réel Sganarelle (pareil à la page 89, vers 118 « Morbleu »). De plus, il a besoin de Dom Juan

en deux camps : ceux appartenant à l’Eglise, et ceux se rapprochant plus de l’Etat ;  puis, étudierons les relations qui existent entre ces personnages et les personnages  princpaux.        I­ Présentation des personnages  1.1­ L’Eglise  Le petit moine​  :   p.60  ­ 16 ans et Saxon  ­ Volonté de venger les saxons qui se sont fait envahir par les normands “me  délivrer de ma honte” : il est arrêté par des soldats “Il rôdait autour du camp. Il avait un  couteau sous sa robe”  ­ est “muet” face aux questions de Becket à son arrestation 

de quelques légumes et fruits, pour accompagner les restes du pain de midi. | |De 19 heures à 19 heures 30 : alignement des moines dans le chœur de l’église pour entendre la lecture faîte par un autre moine. | |De 19 heures 30 à 20 heures : office de complies (complies = journée accomplie, juste après le coucher du soleil). | |Vers 20 heures : les moines montent au dortoir et se

principal 1 Le Survenant vit en toute liberté en étant nomade, c’est lui décide en tout temps ce qu’il veut faire. Sous-argument 1.1 : Il estlibre de choisir où il veut aller pour être heureux Preuve 1.1 : «Un soir d’automne, au Chenal du Moine, comme les Beauchemin s’apprêtaient à souper, des coups à la porte les firent redresser.C’était un étranger de bonne taille, jeune d’âge, paqueton au dos, qui demandait à manger.» (p.19) Sous-argument 1.2 Il est indépendant, il n’y a rien qui peut

déclaré la guerre à Grandgousier sous de faux prétextes : une querelle concernant l’achat de fougasses.) le texte relate un épisode de cette guerre : lorsque l’armée de Picrochole envahit un monastère, les moines décident de prier ; seul un jeune moine nommé frère Jean des Entommeures, décide de se battre. Apparition d’un nouveau personnage dans le récit. Présentation : Description du personnage de frère Jean au combat. Dénonciation de la guerre et parodie des romans de chevalerie.Mouvement : Le