Le Mondain Ironie

qui, quant à lui, vivra rempli de tristesse jusqu’à la fin de sa vie. C’est le cas par exemple dans Candide, lorsque ce dernier rencontre un esclave «nègre» maltraité, humilié qui affirme que le traitement qu’on lui fait subir est « l’usage ». Cette ironie s’oppose au pathétique exprimé par la désillusion de l’esclave et l’espoir de sa famille au vu de sa situation. La fiction fait donc appel aux sentiments du lecteur afin de le persuader. Les œuvres de fiction à visée argumentative, que ce soit

|— La Fontaine, Le soleil et les grenouilles | | |l'antiphrase |expression d'une idée par son contraire avec une ironie clairement |« Tout ce joli monde se retrouvera là-haut | | | |perceptible d'où nécessité du contexte ou de l'intonation |Près du bon dieu des

au sein de ce journal est de se faire connaître dans le microcosme parisien pour pouvoir s'imposer plus tard en tant que peintre. Rapidement, il devient le caricaturiste incontournable du journal et se distingue par son innovation graphique et son ironie tranchante. Soucieux de plaire aux milieux intellectuels et aux puissants, il prend garde de ne pas s'aventurer sur le terrain politique ou social pour éviter toute polémique. Ses dessins au journal ressemblent à ceux réalisés par ses collègues. Il

L'homme vu par les classiques du XVIIème siècleLA BRUYÈRE, Les Caractères (1688) « Arrias » I - Introduction  L’auteur & l’oeuvre : Issu de la bourgeoisie aisée, avocat de formation, précepteur du duc de Bourbon, La Bruyère observe, avec ironie et amertume, le monde de la cour princière à laquelle il est mêlé. L'œuvre qui le fera connaître, en 1688, se présente prudemment comme une traduction : Les Caractères de Théophraste (auteur du IIIè siècle av.J-C) traduits du grec, avec les caractères

religion ; elle l’envahit toute entière et transfiguraLe père : « il semble d’une espèce plus rare que le reste des hommes. » adulé dans l’enfance, initie à la culture, réactionnaire, admirateur de Dorace ? et de Daudet, anti-dreyfusard, individualiste, mondain et grand bourgeois ; cultive une âme d’artiste, épris de théâtre et de littérature. Guerre, ruine, puberté => quitte statut de héro : elle perd foi en son père comme elle avait perdu foi en Dieu. «  ma perfection s’était ébréchée », « incertaine

1-.Naïveté de F.M. souligné par le narrateur dans le dernier paragraphe. Descript° du « monsieur » qu’il distingue des autres, Comportement  grossier, Jeune homme pretexte et Manque complet de distinction. Conaissance de son importance. F. abuse, Ironie du narrateur . . 2-.Regard ironique porté sur le personnage, F .M ressemble à un jeune homme romantique mais le trait est forcé, L’ironie perce sous les mots. . . 3-.Pourtant proximité avec le personnage

massif original qui n’a pas vraiment d’antécédent, de successeur direct. A la fois révolutionnaire et unique en son genre. UN CREATEUR A LA RECHERCHE DE SON ŒUVRE I- Une vocation d’écrivain Toute une première partie de la vie de Proust a été mondaine dans laquelle il est un jeune auteur à succès, qui est reçu dans les plus hautes sphères sociales, qui est mécène. Il rencontre beaucoup de personnes célèbres dans tous les domaines. Sa vie se déroule dans les grands salons du Faubourg Saint Germain

demander quel est l’intérêt de sa présence dans l’histoire. Il y a de multiples réponses possibles à cette question : satisfaire un double lectorat, puisque les contes s’adressent aussi bien aux enfants qu’aux adultes, sacrifier au goût d’un public mondain qui aime les contes de fée et les histoires merveilleuses mais aime tout autant l’exercice de la lecture à plusieurs niveaux, ou encore montrer, dans le cadre de la Querelle des Anciens et des Modernes, que le merveilleux moderne peut s’accommoder

ajoute le plaisir, jouir. L'arbre symbolise la sagesse du vieillard = image de l'arbre généalogique, emblème de la vie perpétuellement renaissante & de la succession de générations. A la fin, il devient l'image de l'orgueil humain = Ascension sociale (Ironie du fabuliste). L'arbre peut également symboliser la création qui soutient le fabuliste en l'aidant à surmonter un mal être existentiel. L'art permet d'affronter la tragédie humaine. Le singe & le léopard : Livre IX, Fable 3. A une structure

d'action ou de mouvement sont réfléchis (« s'embarrasser, se heurter, s'échauffer, s'accrocher »...) comme pour mieux démontrer que notre étourdi est un éternel endormi, un somnambule en « bonnet de nuit » , un infirme qui entre en collision (ironie de la situation, ironie du sort ?) avec un aveugle. Ménalque est aveugle lui aussi, mais au sens figuré. Autre forme d'ironie : il arrive à cet individu frappé de cécité, d' « ouvrir les yeux » et de se « réveiller »... mais trop tard...il s'embroche sur l'une