Le Monde des ténèbres

financier. Le rôle des investissements est en effet déterminant pour la constitution de la ville moderne. Le choix du titre révèle bien la tonalité du poème : la bourse est présentée sous sa forme allégorique, personnifiée. Il nous fait entrer dans le monde hystérique des finances, mais en même temps il bâtit une sorte d’épopée. Comment l’univers déshumanisé de la bourse est-il sublimé par le poète qui veut exorciser son angoisse ? Nous étudierons d’abord la frénésie de la bourse. Puis nous verrons comment

son innocence, d’il ne sait quelle faute qu’il aurait pu connaître, qu’il sera enfin autorisé à se retourner ; il se retrouvera, alors, face à un cadavre, placé au centre d’un Temple maintenant complètement désorganisé, plongé dans le deuil et les ténèbres, et où la Lumière de l’Orient a presque totalement disparu derrière des voiles sombres ; et c’est alors seulement qu’on lui révèlera le forfait dont on l’avait accusé, et c’est par une épreuve d’ordalie, en montrant qu’il peut s’approcher impunément

pensé dans le poème en comparaison de cette nuit, par référence à cette nuit qui contient tout ainsi dans le vers « dans la nuit, le poète le drame et la nature ne font qu’un, mais en montée et s’aspirant » Le poète ne se sent pas séparé du monde il laisse percevoir que l’univers dont il nous entretient se confond avec lui-même. le poète semble vouloir signifier que la nuit à le pouvoir de faire voler en éclats toutes les formes de séparation qui peuvent exister entre l’homme la nature

religions pour en percer le secret. Les réponses de la foi étant restée incertaines, le doute a persisté. La référence biblique de la genèse dit : « Dieu créa le monde en 7 jours ».moi je dirais plutôt : la nature a ordonnée l’univers en le transforment en un certain temps 1er jour il ou elle sépara le ciel de la terre (lumière ténèbres) 2em jour il ou elle sépara les eaux du dessus et les eaux du dessous, ainsi il y eut le soir et le matin 3em jour il ou elle sépara le sec des eaux, la terre

prisonniers ne voient que les ombres des objets, et donc : -le chemin qui permet de sortir -le mur derrière lesquels circulent les autres hommes.  C’est une fiction, Socrate dit « imagine », il raconte.  Métaphore filée : ténèbres -> lumières Les ténèbres représentent le mal, l’ignorance, la lumière quant à elle le bien, la connaissance.  Récit qui met en scène l’ignorance et le savoir. Au départ chaqu’un est ignorant, avec de fausses idées. Puis on se libère et découvre des vérités

Monsieur de Sainte Colombe et son peu de disposition au langage le rendaient d'une extrême pudeur et son visage demeurait inexpressif et sévère quoi qu'il sentît. Il n'y avait que dans ses compositions qu'on découvrait la complexité et la délicatesse du monde qui était caché sous ce visage et derrière les gestes rares et rigides. » (p. 22) (S'adressant à M. Caignet) : « - Je suis si sauvage, Monsieur, que je pense que je n'appartiens qu'à moi-même ». « Il avait renoncé à toutes les choses qu'il aimait

sincérité noble rétrécit les veines de ce cœur, tressaillant. Oui, je sais, mon cœur ce que cette image représente pour toi, c’est bien « elle « Elle, pour qui mes doigts tracent cette lettre par des sentiments aux rayons lumineux qui ont dissipés les ténèbres dont mon âme était obscurcie, celle pour qui tu as tout laissé tomber et grâce a elle, tu as tout oublier, tout chassé de ta mémoire pour qu’elle y demeure, seule a bord, celle qui s’abrite sous mes paupières pour ne voir que son visage affable,

place important qu’occupent le spleen. Baudelaire est en proie du spleen et nous expose une vie qui n’a rien d’attrayant. Il décrit l’Ennui comme ennemi mortel de l’homme, un ennemi qui est encore plus sauvage et plus méchant que toutes les bêtes du monde. « Mais parmi les chacals, les panthères, les lices, les singes, les scorpions, les vautours, les serpents, Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde ! » (v.29-30+33) A la fin du poème, le poète s’identifie avec le lecteur et lui révèle

cérémonie magique . « orage » évoque la colère divine, référence au déluge celons la religion chrétienne . « épouvante » évoque la peur la terreur . « processionnellement » renvoi à la notion de cérémonie . « ténèbres » renvoi çà la nuit symbole de fantastique mais aussi de la notion d’obscurantisme . Le rythme du texte mime une procession de plus en plus lente et solennelle Strophe 2 • les nuées, les éclairs, la pluie représente

féconde paresse », « Cheveux bleus, pavillon de ténèbres tendues » etc). De même le 8 vers peut être assimilé à une personnification ce qui montrerait que le poète s'adresse à la femme en la tutoyant. Nous pouvons imaginer qu'il s'agit de sa maîtresse Jeanne Duval, qui était haïtienne, ce qui expliquerait l’évocation de l'exotisme et la description de la chevelure ( « toison », « moutonnant », « boucle », « mer d'ébène », « noir océan », « ténèbres », « bords duvetés de vos mèches tordues », « huile