Le Monde des ténèbres

hostile, d'avant la création. L'auteur décrit, en premier lieu, une plaine nocturne prouvé par le champ lexical de la nuit comme le montrent les mots : « nuit sans étoiles » (l 1), « obscurité » (l1) « le sol noir » (L 5), « Ombres d'arbres » (L9) et « ténèbres » (l 11). La scène se déroule au milieu de la nuit aux alentour de trois heures du matin car le personnage est parti « vers deux heures » (L 12) et marche « depuis une heure » (L 21 ). Il utilise plusieurs métaphores dont : « D'une obscurité et d'une

« traducteur des lois divines ». 4) « Jusqu’au jour où, au sein des ténèbres, une lumière jaillit soudain dans mon esprit (…) »  : la soudaineté de cette découverte est mise en valeur par plusieurs procédés stylistiques : · La tournure emphatique « Jusqu’au jour où » · Le complément circonstanciel « au sein des ténèbres » , placé entre virgules, qui insiste sur l’opposition nuit / jour et sur le

de l'aéronautique chez les artistes de l'époque. Il y a a cette époque un engouement général de la part des artiste pour l'aviation. L'aviation à permis aux artiste d'avoir une nouvelle vision du monde. De plus l'avion permet de s'arracher au monde matériel et terrestre et permet d'atteindre un monde astrale. L'avion permet une nouvelle expérience visuelle Marinetti rend également hommage aux perspectives aériennes dans «  en volant sur le cœur de l'Italie »Louis Maudin publie en 1913 son poème

raisins d’or. Que le pain bien coupé remplisse les corbeilles, Et puis ferme la porte et chasse les abeilles... Dehors le soleil brûle, et la muraille cuit. Rapprochons les volets, faisons presque la nuit, Afin qu’ainsi la salle, aux ténèbres plongée, S’embaume toute aux fruits dont la table est chargée. Maintenant, va puiser l’eau fraîche dans la cour ; Et veille que surtout la cruche, à ton retour, Garde longtemps, glacée et lentement fondue, Une vapeur légère à ses flancs

Hugo écrit dans « Stella » extrait du recueil Les Châtiments : « Je suis celle qu’on croit dans la tombe et qui sort... Je suis le caillou d’or et de feu que Dieu jette comme avec une fronde, au front noir de la nuit. Je suis ce qui renaît quand le monde est détruit ». · Or ici, « la lueur d’espoir est détruite avant même d’être vécue par le conditionnel : « Comme tu me plairais ». · L’hymne lyrique meurt de lui-même, détruit par la sècheresse de la préposition « sans » : « Sans

reposoir » Souffrance → assonances en i + diérèse mot « vi/olon » → suggère déchirement affectif produit par la musique Souffrance aussi d'autre nature → Baudelaire éprouve fréquemment un dégoût de l'existence (spleen) angoisse et ennui → peur des ténèbres, hantise du vide → « néant vaste et noir » 2 images significatives → noyade + sang qui se fige « le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige » Première image → dissolution du soleil couchant comme la mort de la lumière + anéantissement dû

Vérone 1.2 Maison Capulet 1.3 Maison Montaigu 1.4 Autres personnages 2 Résumé 3 Sources 4 Date de composition et éditions 5 Thèmes et motifs 5.1 L'amour 5.2 Destin et hasard 5.3 Dualité (lumière et ténèbres) 5.4 Le temps 6 Critiques et interprétation 6.1 Histoire critique 6.2 Structure dramatique 6.3 Style 7 Postérité 7.1 Du vivant de Shakespeare 7.2 Sous la Restauration et au XVIIIe siècle 7.3 Au XIXe siècle

lexique péjoratif, Baudelaire décrit donc un monde qui est peut être la réalité mais qui le dégoute. Il décrit un monde glauque dans le quel évolue également des animaux suscitant le plus souvent la peur des personnes (l’araignée ou la chauve souris). J’ai choisi ce poème car il montre bien la marginalité de Baudelaire dans une période où la soif de gaieté règne. Bien qu’il utilise des éléments qui sont parfois utilisé pour montrer la beauté du monde (tels que le ciel ou les cloches) ils sont tous

Berserk tisse la toile d’un monde d’horreur et de violence qui se déploie au cœur d’un univers imaginaire, évoquant l’Europe médiévale. Cet espace inquiétant est le théâtre de drames d’autant plus dérangeants qu’ils paraissent vraisemblables, aussi insoutenables soient-ils. Pourtant l’auteur n’y décrit pas une page du passé historique, mais nous invite à naviguer dans un univers de dark fantasy, suivant des personnages pris au piège du cauchemar de la causalité du monde. L’histoire de Berserk tourne

hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue. Il y eut un homme envoyé de Dieu : son nom était Jean. Il vint pour servir de témoin, pour rendre témoignage à la lumière, afin que tous crussent par lui. Il n’était pas la lumière, mais il parut pour rendre témoignage à la lumière. Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l’a point connue. Elle est