Le Monopole De Violence Légitime Weber

religieuse et ceux qui au contraire sont plutôt des tenants de la laïcité (ex : affaire des caricatures de Mahomet). – Ces tensions peuvent aller jusqu'à remettre en cause le fonctionnement du groupe si on les laisse aller jusqu'au déchaînement de la violence, si on les laisse s'aviver. Il apparaît donc comme nécessaire d'apaiser, atténuer, les tensions qui existent dans une collectivité afin de maintenir la cohésion sociale. 2) Les deux dimensions du politique Le politique a essentiellement deux

travailleurs sont exploités car la force de travail est la seule marchandise qui crée de la valeur, sa valeur d’usage est supérieure à sa valeur d’échange et ainsi le capitaliste tire une plus-value de leur travail. Le capitalisme est une histoire de violence, avec l’expropriation et l’exploitation. Mais pour Marx, au même titre que tout mode de production, le capitalisme est parcouru de contradictions infrastructurelles, la mort du capitalisme est pour lui inéluctable dû notamment à la prise de conscience

classique de Marx Weber, on considère qu’il en est ainsi que lorsque trois éléments sont réunis: un pouvoir de contrainte, s’exerçant sur une population, rassemblée sur un territoire. L’Etat a le pouvoir de fixer des règles de comportement, et d’en imposer le respect. Pour être légitime, ce pouvoir de contrainte doit être accepté par les gouvernés, ils y renoncent pour le remettre à l’Etat, c’est une des conditions de la paix civile. Cependant, l’Etat peut exercer une violence illégitime, appliquer

II/Les approches individualistes La société est le résultat de l’interaction des individus. Dès lors tous ces acteurs collectifs ne sont que des constructions mentales, le travail du sociologue doit être sur l’individu. C’est l’approche faite par Weber pour qui sans nier l’importance des entités collectives, il est important de comprendre ce qui fait sens à l’individu. Cette approche a également été développée par le courant dit de l’individualisme méthodologique dont l’idée est que l’individu est

domination, autorité, violence. La situation se retrouve dans toutes les grandes langues dans lesquelles la question du pouvoir a été problématisée en liaison avec la formation de la souveraineté de l'État moderne, et elle est démultipliée du fait que les découpages sémantiques ne sont pas homologues d'une langue à l'autre. Ainsi le terme allemand Macht peut-il être traduit, selon les cas, par « pouvoir », « force » ou « puissance ». L'allemand Gewalt est généralement rendu par « violence », mais il est

principe de violence parce qu’il tend à la destruction de tout ordre social existant. Il émerge donc comme un pouvoir capable de troubler l’ordre social. Nait donc l’émergence d’une rupture et d’une instabilité. Or l’Etat vient du concept latin état qui désigne l’instauration d’une stabilité et d’une régularité. Le libre arbitre s’oppose à l’Etat et dans cette opposition l’Etat va devoir prendre la forme d’une autorité suprême et toute puissante. 2. L’Etat défini par l’usage légitime de la force

représentants) ou certaines institutions. A ce titre, on parle souvent de décisions politiques, de solutions politiques. La politique renvoie à un ensemble d’activités, et à un espace spécifique de compétition pour la conquête et l’exercice du pouvoir. Max Weber définit la politique comme « l’ensemble des efforts que l’on fait en vue de participer au pouvoir ou d’influer sur la répartition du pouvoir, soit entre les Etats, soit entre les divers groupes à l’intérieur d’un même Etat ». Le politique s’agit d’un

acteur, le philosophe politique s’intéresse à l’action politique (Aristote, Montesquieu, Machiavel). Le philosophe réfléchie à l’action politique en se demandant quel est le meilleur régime politique. Le philosophe réfléchie aussi à la guerre, à la violence. Derniers acteurs, les politistes, les politologues, ils essaient de comprendre, d’interpréter, ils ne cherchent pas ni à justifier, ni à condamner. Contrairement aux juristes, ils ne vont pas se prononcer sur le caractère juste ou légal d’une

II) Comptabilités et finances à l'age moderne Comptabilité et modernité Rationalisation du capitalisme La comptabilité en partie double aux sources du capitalisme → W. Sombart, M. Weber... → débats : Braudel, Goody La genèse de l'État moderne – le monopole de la violence légitime – le monopole fiscal – comptabilité publique et privée Généralisation et développement des échanges – décollage de la production et du commerce international – corrélation volumes

caractéristiques de la souveraineté selon Bodin, 1) « la puissance de donner la loi à tous et à chacun en particulier » en termes modernes : le pouvoir législatif. 2) « comment décerner la paix et la guerre » concept du monopole de la violence légitime (weber) le monopole de la diplomatie et de la force armée il s’agit d’une idée très moderne dans le 16e siècle où les armées nationales et permanentes n’existent pas (France : il faut trouver des mercenaires suisses etc…). Finalement jean Bodin