Le Multipartisme

favorise le « vote utile ». Il favorise les grands partis et élimine les partis faibles ce qui débouche sur le bipartisme que connaissent de nombreux pays. Les exemples les plus célèbres étant ceux des E-U et du R-U. Peut aussi déboucher : sur un multipartisme polarisé : regroupement des partis en deux coalitions. (ce qui peut être dangereux pour la stabilité gouvernementale) Dans ce cas il y a une prime au parti arrivé en tête de scrutin -> celui qui gagne, gagne tout : le système majoritaire

Maurice Duverger a faite en démontrant, dans la Loi de Duverger, qu'un mode de scrutin majoritaire à un tour (de type britannique ou américain) tendait au bipartisme. (Le bipartisme est une situation politique de régimes démocratiques adeptes du multipartisme, où seulement deux partis obtiennent des majorités absolues au Parlement leur permettant de se succéder à la tête du gouvernement. Le bipartisme s'explique en partie par les modalités de scrutin aux élections législatives et présidentielles, lorsque

PARTIE, le parlement serait une émanation du partie, composé des membres du partie en question, le parlement serait subordonné au président, chef du partie, confusion de pouvoirs au profit du président. - régime présidentiel se combine avec le multipartisme, on peut s’attendre a un certain dépassement du président qui aurait du mal à négocier avec une majorité de coalition au sein du parlement. Président qui jouerai un rôle fédérateur de partis et qui finalement tirerai profit de la situation.

Léopold Sedar Senghor, de 1960 à 1980. Le Président Senghor a été le premier chef d’État africain à libéraliser la vie politique en instaurant le pluralisme, par une ouverture au multipartisme toutefois canalisée et contrôlée. Le Président Abdou Diouf dirigea ensuite le Sénégal de 1981 à 2000 et autorisa un large multipartisme. En 1981, fut créée la Confédération sénégambienne, qui ne dura que quelques années, jusqu’en 1989. En 2000, il céda le pouvoir au Président Abdoulaye Wade, élu en mars 2000, avec

grâce aux rapports d’Amnesty international. Est-ce que la tentative des métropoles d’amener leurs anciennes colonies d’Afrique vers le système démocratique était-elle prématurée ou tardive? Les pays comme le Sénégal, depuis 1974, pratiquait le multipartisme et il y avait certain qui avait mis sur pied des réunions nationales dans le but de se conformer au régime démocratique en changeant leurs constitutions bien avant l’appel du président François Mitterrand lors du sommet de La Baule. Néanmoins

le prix du cacao payé à l'exploitant passa de 400 à 200 FCFA) amena la Côte-d?Ivoire à suspendre le remboursement de sa dette en 1987. Au début des années 1990, la pression de l'opposition sur le pouvoir s'accentua. Le régime dut instaurer le multipartisme. L'opposition, dirigée par l'historien Laurent Gbagbo, député du FPI (Front populaire ivoirien), fut néanmoins battue aux élections présidentielles de 1990. La même année, Félix Houphouët-Boigny nomma Alassane Ouattara au poste de Premier ministre

jusqu’en 1954, n’a qu’un rôle consultatif, ne donne que son avis. Elle a le monopole du contrôle du pouvoir exécutif. Enfin, le scrutin applicable est le scrutin proportionnel qui mécaniquement à un effet sur la composition des assemblées : le multipartisme intégral. Il est mécaniquement source d’instabilité gouvernementale. Le conseil de la république n’est pas exactement le prolongement du sénat de la 3ème république. Il y a tout de même des points communs, dans le mode d’élection d’abord car les

judiciaire basé sur des lois, librement établies par le peuple ou ses représentants, et respectées par le gouvernement et ses administrés ; Outre ces éléments, d'autres critères analogues sont confusément associés à la notion de démocratie : multipartisme, droit de propriété, liberté de culte, refus de la corruption des fonctionnaires et des élus (souvent nommé droits civils). Ces principes reconnus comme nécessaires dans la culture occidentale contemporaine, sont considérés • par les uns

marché. L’idéologie est de mettre en avant la souveraineté du peuple. Ils mettent en avant le charisme du chef comme avec Lepen.  Le système partisan. * bipartisme et multipartisme : on peut distinguer les différents système de partis selon leurs degrés de fractionnement. On distingue le bipartisme du multipartisme. Le bipartisme c’est la présence de deux partis disposant d’un quasi monopole de la représentation. Au sein du bipartisme on distingue le bipartisme souple et le bipartisme rigide

TSIAKAKA : « L’Abbé Fulbert YOULOU. La mémoire oubliée du Congo Brazzaville. Auteur auto édité. Gerôme OLANDET « Tchicaya ; Opangault ; Youlou. Vie politique au Congo Brazzaville. 1945 – 1964. La savane. Gaston KOUVIBIDILA « Histoire du Multipartisme au Congo Brazzaville ». La marche à rebours. 1940 – 1991. L’Harmattan Décembre 2000. Sous la direction du Prof. Théophile OBENGA. « Histoire Générale du Congo des origines à nos jours ». L’Harmattan Juillet 2010. Denis SASSOU NGUESSO.