Le Multipartisme

causes du sous-développement du Gabon En 1967, lorsque le président Omar Bongo Ondimba (OBO) succède à Léon Mba, premier président du Gabon, il trouve un cadre politique pluraliste. Le besoin de conserver le pouvoir le conduit à proscrire le multipartisme. Il fonde en mars 1968 le parti démocratique gabonais (PDG) parti unique. Puis pour asseoir son pouvoir et pour les besoins de « l’unité national », à travers la désignation des membres du gouvernement et de la haute fonction publique, il met en

dissolution prive l’exécutif de son arme de dissuasion à l’égard du Parlement. Le régime est déséquilibré puisque les députés peuvent renverser le Gouvernement sans crainte d’être renvoyés devant leurs électeurs. Cette situation est renforcée par le multipartisme indiscipliné qui sévit et par l’idéologie de la souveraineté parlementaire. • Son dépassement : la rationalisation ou le régime parlementaire rationalisé Cette expression est née à la suite de l’élaboration de certaines Constitutions en Europe

proportionnels Ils se sont développés avec le rôle des partis politiques : il s’agit de voter moins pour un homme que pour un parti. Les scrutins proportionnels conduisent souvent à un dysfonctionnement du système politique. En effet, ils favorisent le multipartisme (caractéristique d'un régime politique où la liberté d'association permet à plus de deux partis de participer aux débats politiques et aux élections) et donnent un rôle important aux petits partis. Il est difficile avec les scrutins proportionnels

1) Analyse générale – Macro env. PESTEL : * Politique : Stabilité : * Considération que démocratie : régime plus stable qui proclame des libertés publiques (expression, de commerce Et de l’indus) avec des élections libres, du multipartisme * Considération Totalitarisme non stable : de droite ou de gauche et suppression des éléments dvlpés en démo * Economique : Evaluer le degré de richesse au sein du marché visé : PIB / Hab : ne met pas en exergue la répartition de la richesse

participer à l’exercice du pouvoir. I/ Le scrutin proportionnel a l’avantage d’une plus grande représentativité des électeurs parmi les élus, permet une meilleure prise en compte des "petits partis" conséquences : lorsqu’il est adopté il favorise le multipartisme plus difficile de dégager une majorité stable pour gouverner, celle-ci  suppose alors une coopération entre les partis Cf. document 1 II/ Le scrutin majoritaire permet de dégager une majorité stable pour gouverner mais a l’inconvénient de n’être

manifeste son mécontentement, elle veut le retour d’Imre Nagy, ancien membre du gouvernement. Khroutchev cède et Imre Nagy, réformateur, se retrouve après dans une position inconfortable. Ecoutant les volontés des Hongrois, il demande le retour au multipartisme et la sortie du Pacte de Varsovie le 2 novembre 1956. Le 3 novembre, des troupes soviétiques sont immédiatement sur place, Imre Nagy est arrêté, emprisonné et assassiné deux ans plus tard. En Pologne, en 1956, on assiste à de multiples manifestations

depuis les années 1960. Dans ce pays, où depuis les années 1970, la société est rebelle au communisme, celui-ci s’effondre sans violence. Les changements débutent en Hongrie à partir du printemps 1989. En Hongrie, le parti communiste accepte le multipartisme, annonce des élections libres et ouvre la frontière avec l’Autriche le 5 mai. Cette décision a des conséquences incalculables : des centaines de milliers d’Allemands de RDA profitent de cette brèche dans le « rideau de fer » pour fuir vers la RFA

indépendant[modifier] 1977 : Le 8 mai, la population djiboutienne consultée optait pour l'indépendance. Le 27 juin, elle est proclamée, donnant naissance à la République de Djibouti avec à sa tête le président Hassan Gouled Aptidon. 1992 : Instauration du multipartisme. La guerre entre le gouvernement et le Front pour la restauration de l'unité et de la démocratie (FRUD) est déclarée. Elle durera environ 2 ans. En 1991, une guerre oppose le régime au pouvoir de Hassan Gouled Aptidon au FRUD, de Ahmed Dini

dissoudre le parlement. Dès son accession au trône Sa Majesté le Roi MOHAMED VI a tracé le cadre général dans lequel doit évoluer le système politique de notre pays en proclamant son attachement à la monarchie constitutionnelle, au multipartisme, au libéralisme économique et social, à l'édification de l'Etat de droit, à la sauvegarde des droits de l'homme et des libertés individuelles et collectives, et au maintien de la sécurité et de la stabilité pour tous. En outre, il a préconisé une

garçons et des filles, accès à l'université *les conditions de vie : l'alimentation, l'accès à l'eau potable, l'accès à l'énergie, au communication et aux conditions de logement Indicateurs de démocratie : *le respect des droits de l'homme : le multipartisme, voter pour différentes listes, liberté de la presse 2) Un indicateur synthétique: l'IDH C'est un indicateur qui permet de mesurer le dvpt d'une population, il est calculé chaque année à partir du PIB/hab, de l'espérance de vie et du taux d'alphabétisation