Le Mythe Gaullien

d’engagements (4 heures) Du théoricien militaire à l’homme du 18 Juin et au Président de la République, on analyse comment de Gaulle a forgé ses convictions et les a traduites en actes. La personnalité de de Gaulle, ses choix et la construction du mythe gaullien ont suscité adhésion et rejet, qui sont eux-mêmes objets d’histoire. Cette étude permet de poser la question de l’acteur de l’Histoire. Chaque thème invite à mobiliser et à approfondir les capacités et méthodes du programme (I.1 et III.1

affectueuse entente a-t-elle pu s'établir entre le Général et l'écrivain révolutionnaire Les crises de Mai 68 1958 avait marqué le début de la Vème République et ouvert une ère de stabilité politique et de personnalisation du pouvoir. La République gaullienne souffre pourtant à la fin des années 1960 d'un certain essoufflement. Une société d'abondance, en pleine mutation, l'usure d'un pouvoir trop personnel, la volonté de "changer la vie", d'un renouveau..., tels sont les ingrédients du cocktail de mai

Construction euro Chapitre 1 Idée européenne dans le tps long de l’histoire 1- L’unité européenne par la religion chrétienne A- Le mythe de l’unité pol de l’Europe Constantin 272-337 Empereur romain a converti au christianisme, il annonce la division en 2 monde : latin (Rome) et orthodoxe (Byzance). Partition entre l’orient et l’occident. Plusieurs acteurs se mettent en place, l empire est divisé en 2. Division de l’empire romain en 395 entre orient et occident. 410 invasions de Rome

l’État, s’exprime par des discours et des commémorations. Les pouvoirs publics se sont efforcés d’instituer une commémoration aussi consensuelle que possible de la guerre, au prix souvent d’une édulcoration de ses aspects les plus controversés. Le mythe d’une France unanimement résistante, propagé par le pouvoir gaulliste, a eu ainsi un effet inverse à celui qui était recherché, puisqu’il a réactivé les manifestations du syndrome de Vichy à la fin des années 1960. – Une mémoire plus diffuse

profond. Le général de Gaulle est alors partisan de l’unité nationale : « La France éternelle, libre, combattante, Vichy fut toujours nul et non avenu ». Jusqu’au 70s se maintient le mythe d’un pays majoritairement résistant mais les travaux de Paxton sur la France de Vichy en 1972 et de Rousso en 1997 remettent le mythe en cause. I. La France en 1945 A. Les pertes humaines Les pertes humaines sont lourdes avec 580 000 morts, des populations civiles lourdement touchées avec les déportés, les bombardements

médiatique multipolaire (centre, droite, extrême-droite) et polyphonique (philosophes, historiens, économistes, politologues). Le 28 avril 1969 à 0 heure 11, le Général de Gaulle annonce sa démission de la Présidence de la République. La phase Gaullienne de la Vè république est close, même si l’UNR proclama sa fidélité envers l’homme du 18 juin 1940 et sa volonté de poursuivre son œuvre. Georges Pompidou rassure le patronat mais inquiète les gaullistes de gauche, René Capitant en tête. Homme d’ordre

franchit (train et highway), utilisation performante du réseau hydrographique. Les densités sont d’autant plus fortes dans les frontières ALENA. ➢ Fondements humains - Melting pot/Salad Bowl: les EUA possedent une pop composite. Melting pot ( mythe d’intégration reussite. Au contraire, Salad bowl ( diversité ethnique qui crée multiculturalisme. - Pop avec migrations: EXT ( Brain Drain ver le côté Est et Sun Belt + main d’oeuvre peu qualifiée vers Mexamérique et côté Est, même langue. INT ( Grands

rideau de fer. En effet, le pivot de la politique étrangère française est le rapprochement avec l'autre poids lourd du continent : l'Allemagne. Ainsi, de Gaulle tourne le dos aux « Anglo-Saxons ». On pourrait en effet s'étonner de l'intransigeance gaullienne vis-à-vis du Royaume-Uni, tout particulièrement. Pour de Gaulle, comme pour Churchill d'ailleurs, le Royaume-Uni n'avait fait que son devoir en 1940, et il n'existait pas de « dette » française envers Londres liée à la Seconde Guerre mondiale. De

bord de la guerre civile. C’est à ce moment que l’idée d’un retour de De Gaulle se fait sentir, Salan scande « vive De Gaulle » devant la foule à Alger. Révélant l’extrême faiblesse du régime, cette crise profonde remet sur le devant de la scène le mythe de « l’Homme providentiel », dont le gaullisme s’inspire clairement. De Gaulle apparait comme le seul capable de régler la question de la guerre d’Algérie et de maintenir l’ordre, chose que la IVème République s’est montrée incapable de réussir. De

président de la République, lequel n’a plus l’influence et la popularité qu’a pu connaître De Gaulle dès 1958. La conception du chef de l’Etat semble donc avoir évolué en apparence, mais ce n’est en réalité que parce que « la France vit encore dans le mythe du  ‘héros’, recréant ainsi au travers même d’une stabilité de plus de dix années les conditions de l’instabilité » (Georges Pompidou). Malgré tout, les institutions de la Vème république, ont permis jusqu’à maintenant une certaine stabilité et continuité