Le Mépris Comparaison

(1799-1850), grand écrivain réaliste de la première moitié du XIXe s. Ce dernier fait le récit de Mr Goriot, un homme ayant perdu sa femme, et qui s’éprend d’un amour immesurable pour ses deux filles. Il ira jusqu’à se sacrifier pour elles et recevra du mépris de ces dernières. L’extrait présenté nous fait la description par Eugène de Rastignac, de la chambre dans laquelle loge le Père Goriot. Nous allons voir en quoi cette dernière est pathétique. Avant tout, le registre pathétique

malentendus. On relève aussi un autre type de comique : le comique de geste qui est présent lorsque le Comte continu à faire des éloges superficiels sur l’apparence de Suzanne qu’il essaie de séduire alors que c’est en faite sa femme. Il fait des comparaisons inhabituelles entre la Comtesse et Suzanne que l’on relève dans ses paroles : « Il s’en faut que la Comtesse ai la main aussi belle ! » ; « A-t-elle ce bras ferme et rondelet ?... ». On voit aussi que Beaumarchais utilise le comique pour dénoncer

« glacé » à la ligne 3 qui qualifient le café mettent bien en avant cette idée d'hostilité. En outre, le verbe fuir à la ligne 17 renforcé par la comparaison conditionnelle « comme s'il eût été pourchassé » connote le malaise du personnage envers son milieu. Ce sentiment d'hostilité ne va pas en sens unique puisque le héros éprouve lui aussi du mépris injustifié envers tous ceux autour de lui. Le point de vue interne sur Antoine nous révèle ses pensées à la vue d'un mécanicien qui le regardait :

la morte » l.2 montre la volonté de Lalie de remplacer sa mère décédée sous les coups de son père comme l’indique la phrase «le père Bijard avait tué sa bourgeoise d’un coup de pied » l.1 mais surtout le courage dont elle fait preuve. Puis, la comparaison « assommait la fille comme il avait assommé la maman autrefois » l.3 signale que monsieur Bijard remplace sa femme par sa fille et dévoile la situation de violence dont cette dernière est victime. La subordonnée conjonctive « Depuis que le père

* Comparaison entre le personnage de Marin Marais et de Monsieur de Sainte Colombe. Tous les matins du monde est un roman-scénario écrit et publié par Pascal Quignard en 1991. La même année, le film est adapté au cinéma par Alain Corneau. Ce roman met en scène Monsieur de Sainte Colombe, qui, après la mort de sa femme, vit seulement en compagnie de ses filles et de sa viole. C’est un passionné de musique, qui pouvait, avec sa viole, «  imiter toutes les inflexions de la voix humaine ». Il prendra

groupe) devient une prescription (all. Vorschrift) pour l’orientation de la conduite d’une ou plusieurs autres personnes  Expérience de Slosson p. 10 2 ©NW TYPES D’INFLUENCES SOCIALES: SURVOL • L’imitation et la contagion sociale • La comparaison sociale • La production ou formation de normes, normalisation • L’influence majoritaire et la conformité • La soumission à l’autorité • L’influence minoritaire,… 3 ©NW LA PRODUCTION DE NORMES NORMALISATION • La formation des normes dans

au cœur du paysage, porté par la nature, sur son "canot" ; les indications spatiales sont données en fonction de la première personne, qui renvoie au narrateur : "sur ma tête", "sous mon canot", "à ma gauche"," à ma droite". Il y a également des comparaisons entre lui et la nature : "je passe comme cet oiseau qui vole devant moi", "je serai libre comme la nature". Cette nature correspond à l'état d'âme du narrateur, sa solitude et sa soif de liberté : " me voilà tel que le Tout-Puissant m'a crée, souverain

liberté d’aimer. En ce sens, Agnès rejoint le mouvement d’émancipation des femmes qui traversera tout le XVIIème siècle autour des précieuses notamment. Transition : Arnolphe de plus en plus renfrogné perd la maîtrise du jeu surtout que la comparaison avec le jeune, beau et enthousiaste Horace ne joue bien évidemment pas à son avantage… III. Le contraste des personnages a) Horace exalté Après avoir exalté la puissance de l’Amour qui a métamorphosé Agnès, Horace admire, en lecteur

consolidation des fortunes familiales ou de l'élevation sociale par le mariage. Fortement attachée à la vie rurale, éprise des beautés sobres de la campagne anglaise, elle a décrit son milieu avec un regard, qui bien que sans complaisance, est exempt du mépris si fréquent dans la littérature française pour la vie provinciale. Loin des tourments révolutionnaires et des guerres napoléoniennes qui déchirent le continent, du romantisme qui balaie le paysage littéraire, le monde de Jane Austen forme une sorte

d’un dévot qui se tourmente comme un forcené, pour ne rien désirer, ne rien aimer, ne rien sentir, et qui finirait par devenir un vrai monstre s’il réussissait ! VI. Ce qui fait l’objet de mon estime dans un homme pourrait-il être l’objet de mes mépris dans un autre ? Non, sans doute. Le vrai, indépendant de mes caprices, doit être la règle de mes jugements ; et je ne ferai point un crime à celui-ci de ce que j’admirerai dans celui-là comme une vertu. Croirai-je qu’il était réservé à quelques-uns