Le Mépris Comparaison

baraques » 1 seul bus pour les Noirs : « le bus miteux qui traverse le Lower Ninth »  vieux, abîmé ; « bus de rouille et de misère »  voc. Péjoratif = pauvreté Attitude rude des blancs par rapport à Joséphine : « blancs qui me dévisagent » traduit mépris ; « leur mécontentement » C) Perte de la famille Joséphine a perdu sa famille : « j’ai regretté que Marley m’ait laissée veuve » son mari est mort  il fut assassiné par les blancs et lancé dans les bayous Ses fils sont aussi morts « j’ai pensé

en littérature en 1974 avec Les armoires vides. Son œuvre littéraire est pour l'essentiel autobiographique et entretient des liens étroits avec la sociologie. Annie Ernaux revendique une écriture neutre, « sans jugement, sans métaphore, sans comparaison romanesque », et évoque un style « objectif, qui ne valorise ni ne dévalorise les faits racontés ». Dans ce premier roman on remarque déjà le style d'Annie Ernaux qui utilise l'écriture blanche (inventée par Roland Barthes) : est un minimalisme

le qualifie de « petit escroc de l'amour ». L'adjectif qualificatif « petit » vise à réduire l'importance du personnage, en effet, réduire sa taille physique permet de réduire son importance. On comprend alors tout le mépris qu'éprouve Angélique envers Dom Juan. ° Cette comparaison à un voleur, rend Dom Juan malhonnête, il nous est difficile de déterminer si ces paroles, les justifications de ces actes sont digne de confiance. Dom Juan selon Angélique apparaît faux comme nous le montre l'exclamation

boussole de cette dernière. En outre, une politique qui, chaque jour, plonge le pays dans un torrent d`amertume. Beaucoup de politologues sont absents pendant que les politiciens ferraillent dans le système et fonctionnent à leurs guises, souvent aux mépris des règles pouvant conduire le pays vers le meilleur horizon politique. De ce fait, le pays de jour en jour s'éloigne de la voie qui mène au développement. Un grand nombre d`haïtiens crient partout dans les rues sans même parfois, trop savoir pourquoi

recours aux insultes → « idiote » (l.18 et l.30), emploie des termes dégradants → « femelle » (3 fois l.35). Cette répétition ravale la jeune femme à un stade animal. Le mépris éclate aussi en paroles humiliantes : « ton nez est soudain trop grand, et de plus il luit comme un phare » (l.34) → l’adjectif « grand » et la comparaison « comme un phare » sont dégradants pour Ariane. C) DE LA DECEPTION A LA VENGEANCE Ce discours méprisant et furieux de Solal à l’égard d’Ariane traduit une déception

colonisation Française s’est faite de manieres relativement pacifique. En effet contrairement à l’Empire Britanique qui a pratiqué une colonisation intensive, c’est à dire necessitant un contrôle total des territoires possédés, et qui se faisait au mépris total des Indiens par une politique d’ implantations massive de colons qui chassaient les indiens quand ils ne les reduisaient pas en esclavage ou les tuaient simplement. La France elle a pratiqué principalement une colonisation extensive du fait

=> les Chants de Maldoror s'attaquent à l'Humanité, à Dieu lui-même, les scènes sadiques sont d'une violence extrême, sans compter que les tabous sexuels sont tour à tour mis en avant. Sur le plan stylistique => le jeu des métaphores et des comparaisons (par exemple, la série des beau comme...) est d'une originalité exemplaire. Aucune règle n'est respectée : on n’a ni réalisme, ni logique. Parfois, Maldoror ressemble à un bandit parcourant le monde à toute vitesse ; et à d’autres moments, on

à son raffinement : « à moi les proposer ? ». Cette supériorité convenue ouvre une attitude répétée qui est celle de repousser les opportunité :« car les précieuses/Font dessus tout les dédaigneuses ». Le dédain est sutout à l’origine d’un profond mépris pour autrui. Dans la bouche de la précieuse, tout homme est indigne d’elle et tout être est inférieur, d’où l’utilisation d’un ton railleur et méprisant « ils font pitié. / Voyez un peu la belle espèce » : C/ La précieuse dépréciée. Entre le début

Créateur, animateur dʼun monde. Libertin : Qui est déréglé dans ses mœurs. Velléitaire : Qui nʼa que des intentions faibles, ne se décide pas à agir. Ascèse : Ensemble dʼexercices physiques et moraux qui tendent à lʼaffranchissement de lʼesprit par le mépris du corps. Hédonisme : Doctrine qui prend pour principe de la morale la recherche du plaisir, de la satisfaction. Alternative : Alternance. Paroxysme : Le plus haut degré. Climax : Moment le plus intense (dʼune action dramatique) Acmé : Apogée, moment

tonique du « je », insistance. Ex : Moi, je pense que… * Tu : la prise en compte amicale du destinataire (familiarité de l’échange verbal) ou une marque de mépris (ex : les maitres tutoient les valets) ou une marque culturelle (ex : dans les pays d’Afrique du Nord). * Vous : marque de respect, de politesse ou une marque de mépris (ex : oui mais vous les écolos…). b) Les indices de temps et de lieux Ces indices permettent d’ancrer la situation de communication dans un contexte particulier