Le Paradoxe Des Libertés Publiques

leurs décisions, une certaine indépendance vis-à-vis des volontés des électeurs ; Les gouvernés peuvent exprimer leurs opinions et leurs volontés politiques sans que celles-ci soient soumises au contrôle des gouvernants ; et enfin les décisions publiques sont soumises à l’épreuve de la discussion. A la lecture de l’ouvrage, on peut même en ajouter un cinquième : le principe de distinction (défini par l’auteur comme la « conscience que les représentants élus sont et doivent être des citoyens distingués

(Paris 1), pour l’ENS dans le cadre de Journée : La justice, approches croisées. * Théorie de la volonté générale : interrogation sur la loi juste. * Philo politique des lumières * Rousseau : l’égalité (politique et économique) et la liberté est le fondement et la condition du pacte social, c’est l’expression de la volonté générale qui permet sa mise en place. Il faut distinguer la volonté générale de la volonté particulière (fruit des passion alors qu’elle même est le fruit de la raison)et

un autre pays. Rousseau nous explique donc ensuite qu’on rarement vu une injustice réparée et entendue et que les oppositions du peuple contre les autorités soient entendues et pris en compte par les autorités elles-mêmes. Il met donc en avant un paradoxe très étonnant qui montre que la politique

despote. Leur liberté de penser ne met pas en péril l’Etat et la religion. L’éducation joue donc un rôle central et circulaire : elle rend possible la liberté, qui elle-même doit orienter ses principes et en constituer le but suprême. 1 Plan du texte 1-3 : Minorité, majorité, tutorat (faux-éducateurs) : difficulté de devenir libre 4-6 : l’accès aux Lumières est possible, si la loi garantit la liberté d’expression. Sens et limite de cette liberté fondamentale. 7-8 : la liberté religieuse 9-12 :

De nos jours, l'enseignement publique favorise les matières qui s'aligne sur les besoins du marché du travail. Cette méthode qui semble idéale n'est pas bénéfique, nous devrions avant tout former le jugement critique des étudiants et leur fournir des outils intellectuels. Notre peuple n'est pas apte à contrôler sa société. La philosophie serait une nécessité dans notre avenir parce qu'elle serait bénéfique à développer une âme plus libre et moins soumise à la supériorité. En étant éduqué, le peuple

:  Qu’est-ce que les lumières ? est un opuscule c’est à dire un texte court, un article. C'est un manifeste ou un texte engagé dans lequel Kant prend la défense des Lumières etanalyse les conditions de leur propagation. Les lumières symbolisent la liberté absolue du jugement et toutes les connaissances par lesquelles nous sortons de l’ignorance, des préjugés, des illusionset des superstitions.  Contexte historique : Kant est né au début du XVIIIè siècle sous le règne de Frédéric-Guillaume Ier,

L’existentialisme Courant de pensée qui exalte liberté de devenir humain, fondamental car mode de pensée hostile aux idéologies, libérer des carcans. Désigne un courant de pensée, une philosophie, une manière d’agir qui est encrée dans une époque, à la mode dans les années 50-60. Terme lancé par JP. Sartre (1905-1980), ouvrage fameux : L’existentialisme est un humanisme en 1946. Courant de pensée lié auteur, mais à sa vie, action. Incarnation de l’existentialisme. Non séparable action engagement

romantique (2005), au Secours pardon (2007). Le roman d’où est tirée la citation est au CDI du lycée. Eléments de correction. : info sur le roman Beigbeder écrit son roman à la suite d’une arrestation pour consommation de drogue sur la voie publique ; la nouvelle de son arrestation paraît dans les journaux ; le roman est présenté par la presse littéraire comme un règlement de compte avec la justice. Il est lui-même présenté comme un dilettante richissime qui se croit au-dessus des lois, un gosse

III) Mourir pour ses idées A) Défendre son opinion B) Défendre sa liberté C) Une réalité moins évidente Mourir, oui mais pourquoi ? Si l’on est sur d’une chose, c’est qu’actuellement, il est plus facile de mourir pour protéger sa patrie ou quelqu’un en particulier, soit quelque chose de concret, que de mourir pour ses idées, ses convictions. Car pour décider de se sacrifier ou de risquer sa vie pour une idée, il faut incontestablement qu’elle soit à nos yeux d’une force et d’une amplitude

l’extrait de Propos d’Alain. Dans cet extrait de Propos, Alain s’intéresse à l’opinion publique. Il s’agit ici d’une opinion publique mystérieuse et très puissante politiquement qui peut devenir dangereuse. Alain donc s’intéresse à la démocratie, plus en particulier à l’influence de l’opinion publique sur la société puisqu’elle conduit les citoyens. Qu’est ce qui pousse l’homme a subir l’opinion publique ? Comment se forme-t-elle ? Comment peut-elle acquérir tant de pouvoir ? Dans ce passage