Le Parnasse contemporain

détourne progressivement du genre sentimental de ce premier recueil - qu'on retrouvera encore dans Les Épreuves (1866) et Les Solitudes (1869) - pour adopter un style plus personnel alliant une recherche formelle qui le rattache au Parnasse (il contribue au Parnasse contemporain de Leconte de Lisle) avec un intérêt pour les sujets scientifiques et philosophiques. Il donne notamment une traduction en vers du premier chant du De Natura Rerum de Lucrèce (1878-79). Son ambition philosophique s'exprime dans

C'est par La poste que le 24 Mai 1870, le jeune Arthur Rimbaud, 16 ans, élève de Rhétorique, équivalent de la classe de 1ère au lycée de Charleville (Ardennes), adresse ce poème au parnassien Théodore de Banville afin de le publier dans le "Parnasse contemporain", passage obligé de tout jeune poète qui rêve dans la France littéraire de 1870, de publication et de gloire. Le titre initial du poème était Credo in unam, littéralement : "je crois en une seule", sous entendue déesse, forme détournée du credo

connu une révolution démographique. Né avec la Révolution française, ce siècle peu être défini comme un siècle de révolutions et il est marqué par la naissance de l’économie capitaliste et industrielle et par l’apparition de la démocratie contemporaine avec les révolutions nationalistes. Les principaux événements de ce siècle se résolvent en : *la première révolution industrielle *le printemps des peuples en 1848 *l’apparition de la classe ouvrière *l’apparition des premiers socialistes

romantique française, A. Colin, 1927. Lemaître, H. – La poésie depuis Baudelaire, A. Colin, 1965. Lioure, M. – Le drame, A. Colin, 1963. Lukacs, G. – La théorie du roman, , Gaultier, 1963. Lukacs, G. - Le roman historique, Payot, 1965. Martino, P. – Parnasse et symbolisme , A. Colin, 1928. Mavrodin, I. – Spatiul continuu, Univers, 1972. Moreau, P. – La critique littéraire en France, A. Colin, 1960. Net, M. – O poetica a atmosferei, Univers, 1989. Olteanu, T. – Morfologia romanului european in secolul

août 1867 (à 46 ans). « Dante d'une époque déchue »1 selon le mot de Barbey d'Aurevilly, nourri de romantisme, tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place considérable parmi les poètes français pour un recueil certes bref au regard de l'œuvre de son contemporain Victor Hugo (Baudelaire s'ouvrit à son éditeur de sa crainte que son volume ne ressemblât trop à une plaquette…), mais qu'il aura façonné sa vie durant : Les Fleurs

doit exprimer son époque, et pour ce faire la représenter dans sa particularité éphémère. C'est ce qu'il apprécie dans les lavis et les dessins à la plume de Constantin Guys, lequel croque pour la presse des silhouettes et des scènes de la vie contemporaine, célébrant ainsi l'« héroïsme de la vie moderne ». Cette double nature du Beau, défini comme la synthèse de la modernité (du transitoire) et de l'immuable (la perfection formelle), empêche ainsi Baudelaire de se laisser séduire par les modes éphémères

Boileau-Despréaux, le « législateur du Parnasse » (né le 1er novembre 1636 à Paris et mort le 13 mars 1711 à Paris), est un poète, écrivain et critique français. Sa première satire paraît dans un temps où, malgré les succès de Pierre Corneille et de Molière, Jean Chapelain est encore la principale autorité en littérature. Les premiers écrits importants de Boileau sont les Satires (1660–1668), inspirées des Satires d'Horace et de Juvénal. Il y attaque ceux de ses contemporains qu'il estime de mauvais goût

entreprit de réformer le goût de son siècle, et de faire tomber le prestige qui entourait alors quelques auteurs médiocres. Boileau débuta par des Satires dans lesquelles, tout en flagellant les réputations usurpées et les préjugés de ses contemporains, il évita la licence, et donna le modèle d'une versification correcte et élégante. En Boileau, l'homme ne valait pas moins que l'écrivain ; on cite de lui une foule de traits de bienfaisance qui font honneur à son caractère. Il fut lié

-mise en lumière des milieux sociaux Thèmes: moeurs contemporaines, vie parisienne et provinciale, condition de la femme. Auteurs : Balzac, Zola, Stendhal, Maupassant, Flaubert... 7. Le Parnasse (XIXeme) Dans l'Antiquité, le Parnasse était la montagne des 9 muses consacrée à Apollon. Mais en tant que mouvement littéraire et artistique

alterne des pts de vue, utilise du DIL, amplifie épique (lieux, psg,objets) Emile Zola, Alphonse Daudet, Jules Vallès, Guy de Maupassant, Joris-Karl Huysmans Parnasse Désigne à l'origine une montagne de Grèce consacrée autrefois aux Muses puis par métonymie à un groupe de poètes édités dans 3 volumes collectifs intitulés le Parnasse contemporain. S'oppose aux principes du Romantisme. Le refus du lyrisme. Le retour sur un passé mythique. Le culte de la forme et du Beau. Le roman La poésie Travail