Le Partage De La Valeur Ajoutée

Montants en milliards de Dirhams - Produit intérieur brut (PIB) à prix courants · · 2007 616,3 68,7 477,0 2008 688,8 83,0 536,7 2009 732,4 100,8 552,4 2010 764,3 99,3 588,7 2009 2008 ……… ……… 2010 2009 ……… ……… Valeur ajoutée agricole Valeur ajoutée non agricole ……… ………. Rapport de Bank AL-MAGHRIB, 2010, www.bkam.ma 3-1-1-1 Définition du PIB Selon le Haut Commissariat au Plan (HCP) : « Le produit intérieur brut (PIB) est le résultat synthétique de l'activité nationale

éléments constitutifs de l’activité d’une entreprise (le chiffre d’affaires, la marge brute, la valeur ajoutée), l’EBE permet d’en mesurer la performance économique et commerciale hors toute incidence de la politique des dirigeants en matière de provisions, d’investissements et de financement. Quelle que soit la nature de l’activité de l’entreprise, l’EBE est un indicateur du partage de la valeur ajoutée produite dans l’entreprise grâce aux facteurs travail et capital. L’EBE est utilisé par le banquier

la valeur ajoutée. Cette valeur ajoutée correspond à la richesse créée par l’entreprise. Les personnes à l’origine de cette création de richesse vont se le partager. La répartition de la valeur ajoutée. Valeur de la production (C.A) -Consommations intermédiaires =Valeur ajoutée -rémunération personnel, charges sociales -impôts et taxes =excédent brut d’exploitation -intérêts versés =résultat (bénéfices ou pertes) -dividendes -résultat non distribué =0 On observe qu’en moyenne 2/3 de la valeur ajoutée

CPGE –ECS (1 ère année) Economie Générale 1 Valeur Ajoutée (VA) = Chiffre d’affaires – consommations intermédiaires Avec : Chiffre d’affaires = Prix de vente x quantités vendues Chapitre 4 La répartition des revenus et le problème des inégalités 1. Fondements conceptuels  Valeur ajoutée Elle est généralement définie comme le supplément de valeur (marchande) que l'activité d'une entreprise donnée apporte à une marchandise qu'elle transforme. Si, à titre illustratif, le coiffeur

l'entreprise TOTAL plus de 78% de ses salariés contestent la répartition de la valeur ajoutée qu'ils jugent non équitable. Nottons également que les bénéfices de TOTAL chuttent chaque année. Cependant en privilégiant la recherche de profit et en pratiquant la politique de l'inflation des prix l'entreprise TOTAL risque fortement de nuire à son image auprès de ses consommateurs et salariés. Nous examinerons dans un premier temps la valeur perçue de TOTAL par ses différents agens éconnomiques tels que ses salariés

Propositions de Sujets De l'individu à l'acteur Comment un individu devient-il acteur dans une organisation ? - caractériser les comportements individuels au sein des groupes ; - repérer ce qui, dans les relations, révèle la culture et les valeurs de l'organisation ; - décrire, caractériser et analyser les situations de communication à partir de leurs composantes et des phénomènes relationnels qu'elles contribuent à développer. L'activité humaine constitue-t-elle une charge ou une ressource

l’école de la régulation : Aglietta, Boyer, Lipietz,… - Le couple production et consommation de masse est au cœur de ce mode de régulation. - Importante croissance du PIB pendant toute la période des « 30 glorieuses ». - Partage équitable de la Valeur Ajoutée entre capitalistes et salariés. - La hausse des salaires réels entretient la demande, soutient donc la production de masse. - Le cercle vertueux fordiste : la hausse du salaire réel des salariés assure le profit des capitalistes

spécialisation lorsqu'un un pays ou producteur produit un bien ou service particulier et achète ceux qu'il ne produit pas. IILa production et la répartition des richesses AMesurer la production des richesses 1La mesure de la production : la valeur ajoutée Pour produire, l'entreprise a besoin de capital fixe (les machines), de travail (la main d'œuvre) et de capital circulant ou consommations intermédiaires. On doit distinguer la production marchande de la production non marchande. def la production

travail) peuvent freiner l’investissement. Les modes de financement et les taux d’intérêt • Taux de marge des entreprises (Excédent brut d’exploitation/ Valeur ajoutée), taux d’autofinancement (Épargne brute/ FBCF) et taux d’investissement (FBCF/Valeur ajoutée) sont assez bien corrélés jusqu’aux années 1990 : le partage de la valeur ajoutée est un déterminant de l’investissement autofinancé. • En cas de financement externe, le niveau des taux d’intérêt réels (déflatés de l’inflation) à long terme

d’autres présentations de bilans mieux adaptées à l’analyse financière (bilans financier, fonctionnel). Dans le Bilan financier, les postes sont ainsi regroupés d’après leur échéance : les actifs sont classés par ordre de liquidité croissante ; les valeurs de passif sont classées par ordre d’exigibilité croissante. Dans une présentation fonctionnelle, on peut classer les postes par nature : -          A l’actif : actifs immobilisés (emplois stables), actifs d’exploitation et des actifs de trésorerie