Le Pere Goriot Ouverture

: régime de monarchie censitaire avec liberté de la presse et du culte — surtt abaissement du cens par MJ, extension du régime életoral [conseillers municipaux], ouverture de la garde national à tt citoyen payant impôt foncier [+ élection des officiers]). Tient au personnage qu’il incarne : descend du frère cadet de Louis XIV ; père Philippe Égalité, conventionnel régicide. Vie en bourgeois et en donne l’image (fils au lycée). Sut s’entourer d’hommes qui avaient audience auprès des révolutionnaires

comme "l'ennemi". Diderot invente au XVIIIè le drame bourgeois, et en 1866, Furetière publie Le Roman Bourgeois (roman comique). La question bourgeoise est au coeur de l'évolution du genre => Lesage, Gil Blas (1715, 1724, 1735), personnage naît d'un père écuyer et d'une femme de chambre et finit par devenir noble (veine picaresque). Marivaux en 1735 : Le Paysans Parvenu. C'est l'histoire d'une assencion sociale du héros narrateur dans la bourgeoisie puis dans la noblesse (étude de moeurs, différents

façon toute volontaire. Les Misérables est un roman qui se suffit à lui-même. Le lire attentivement, avec goût sinon avec passion, est la meilleure façon d’en communiquer le plaisir à des élèves. À côté des passages étudiés, ou proposés comme « ouvertures », nous présenterons d’autres choix, afin que le professeur élabore son propre parcours. Nous partons en effet de l’idée que chaque lecture de cette somme romanesque se vaut, pour autant qu’elle transmette un enthousiasme. PRÉSENTATION DE L’ÉDITION

sur l’individu ; étude des mœurs ; ascension ou misère sociale, importance du contexte historique et social. Le roman et le genre par exellence pour le réalisme. Il permet des refléter les modifications de la société. Balazac (1799-1850) : Le Père Goriot (1834-1835), Ursule Mirouët (1841) Le décadentisme Le décadentisme est un courant littéraire qui s’est développé en France pendant le dernier quart du XIXème siècle. On trouve aussi l’expression « fin-de-siècle » pour désigner le mouvement

y a x et x ; tous les x ne sont pas équivalents. IV. L’exposition des exemples Par exemple, pour un sujet sur la Passion, Shylock, Timon MacBeth, chez Shakespeare ; Tartuffe, Don Juan, Harpagon, chez Molière ; la cousine Bette, le Père Goriot, Bobseck, chez Balzac ; les quatre frères Karamazov, Raskolnikov, chez Dostoïevski, etc. a. La justesse des exemples L’exemple renvoie plus à l’expérience possible, qu’à l’expérience réelle : privilégier les exemples universels, et faire

enchaînés ont donc un rôle de ponctuation, mais avec l'avènement de la vidéo, les films, les vidéo-clips comportent de plus en plus de volets : une image apparaît pour chasser ou balayer la précédente. Trois images d'Intolérance de Griffith : ouverture à l'iris pour la séquence babylonienne. Avec le fondu au noir ou au blanc, l'image s'assombrit ou s'éclaircit progressivement pour disparaître complètement. Ce fondu marque souvent la fin d'une étape, d'une période. Cette sorte d'extinction puis

bonheur « j’ai été heureux, je le serai encore » maître destin « limites » entre les 2 mondes soulignent son éloignement. « à ce moment » « pour la première fois » => renouveau, renaissance Co-naissance (co : latin cum = avec) atteinte par cette ouverture au monde. II/ La communion M au dernier jour de sa vie pense et comprend sa mère, analepse « je comprenais » imparfait Identité entre les lieux ; où est M, et où sa mère était « là-bas aussi » analogie asile/geôle Analogie entre moments « là-bas

ne serait pas en adéquation avec la morale commune-, c’est qu’un tel jugement n’aspire à viser que ce qui est stable et dont le sens est défini (un acte, une parole ou un texte explicite. Or, l’œuvre romanesque est fondamentalement défini par son ouverture à la pluralité des interprétations et par son absence de « sens unique ». Si le jugement moral pourrait s’appliquer à un personnage –cas auquel il serait jugement d’un ensemble d’actes-, l’applique à l’œuvre dans sa totalité semble être une aberration

Lear, sincère, intransigeante, préférée de son père. Le duc[3] d'Albany, époux de Goneril ; Goneril se moque de sa « douceur laiteuse » ; se retourne contre sa femme vers la fin de la tragédie. • Le duc de Cornouailles, époux de Régane ; exerce des pressions contre le comte de Kent, abandonne Lear dans la lande au cours d'une tempête, crève les yeux de Gloucester dont l'un des serviteurs le blesse mortellement. Le Roi Lear • Le comte de Gloucester, père d'Edgar et d'un fils illégitime, Edmond ; Edmond

pourrait donner : Nous verrons en premier lieu que Stendhal offre ici une représentation très réaliste de la guerre. Puis, nous examinerons la façon dont Fabrice, objet d’une ironie constante, passe de la fougue à la désillusion. Conclusion Bilan Ouverture : la fin de la conclusion, rappelons-le, est l’occasion de montrer au correcteur que vous avez acquis une culture. Vous savez repérer des échos entre les œuvres et tisser des liens entre elles. Choisissez donc une œuvre (littéraire, cinématographique