Le Pessimisme De Pascal

Séquence 1 : L’Argumentation Séance 1, texte 1, « Sur Démocrite et Héraclite » Intro Montaigne Montaigne cite ces 2 philosophes présocratiques : 1. Démocrite représente l’optimisme 2. Héraclite représente le pessimisme. Montaigne se présente comme un penseur détaché de l’autorité de l’église qui a été dominante au Moyen-âge pour ce placer sous celle des philosophes de l’antiquité gréco-latine. 3. Du IV siècle au XVI siècle c’est le Théocentrisme 4. A partir

notions si évidentes qu’on ne peut les démontrer et qu’elles nous semblent indubitables. Mais peut-on véritablement tenir ces idées intuitives pour des « semences de vérité » mises en nous par Dieu (Descartes), pour des évidences indubitables (Pascal), bref pour des jugements synthétiques a priori (Kant), c’est-à-dire une connaissance innée du monde ? Kant pense pouvoir prouver que l’intuition de l’espace et du temps n’est pas a posteriori (issue de l’expérience) mais qu’au contraire elle

qui est devenu créateur ? Dans Goethe, par exemple, c’est le surplus qui est devenu créateur, dans Flaubert, c’est la haine ; Flaubert, réédition de Pascal, mais comme artiste, avec au principe ce jugement d’instinct : « Flaubert est toujours haïssable, l’homme n’est rien, l’œuvre est tout »… Il se torturait, quand il composait, tout à fait comme Pascal se torturait quand il pensait – ils avaient tous deux des sentiments non égoïstes… Nietzsche contre Wagner (1888), « Nous autres antipodes » L’évaluation

jusqu'à la révolution. Le roman – Récit d’aventure 1775, style recherché, non réaliste, extravagant, peu apprécié au 17è et 18 è siècle, Réalisme psychologique – Histoire, Princesses de clef Fin du siècle – Pessimisme, méfiance de l'homme, « Le cœur est un organe creux et plein d'ordures » - PASCAL. L'amour est perçu comme une faiblesse, une fatalités. Gencenisme – Mouvement religieux, politique. Problème de la liberté humaine. Grâce ou pas ? Libre arbitre ou pas ? Les querelles commencent en 1547

gueuloir » de son jardin à Croisset, où il éprouve la musicalité de ses textes. Ce solitaire, retranché dans sa bibliothèque, accomplira cependant un grand voyage en Orient. Sa foi dans « l’Art » et dans la force de l’écriture contrebalance son pessimisme foncier et le dégoût que lui inspire la médiocrité bourgeoise de son siècle. Pour ce ciseleur de phrases qui rédige chaque page avec une exigence scrupuleuse et méthodique, le style est « à lui seul une manière absolue de voir les choses ». DÉCOUPAGE

considéré jusqu’alors comme « hors jeu », de s’affirmer en tant que représentant de la droite extrême. Les années 80 voient aussi l’apparition de nouveaux thèmes dans le débat politique comme l’insécurité et l’immigration (« l’anomie Urbaine » selon Pascal Perrineau). La sensation d’insécurité aurait mené au besoin d’un « État fort », lequel apparaîtrait comme rassurant en assurant sécurité et ordre. Les français auraient besoin d’un leader tel et providentiel tel que pourrait l’être Jean-Marie Le Pen

vie quelque réconfort. Mais, avec la mort de son amie Mme de Châtelet en 1749, le tremblement de terre de Lisbonne en 1755, et la guerre de Sept ans, (1756-1763), il perd tout espoir. Commence pour lui alors une nouvelle étape de sa vie, où le pessimisme règne. C'est dans ce contexte qu'il publie Candide ou l'Optimisme en 1759, un conte où il dénonce par l'ironie, la philosophie de Leibniz. Cependant, même si cette œuvre nous donne une vision pessimiste du monde, elle offre aussi un certain espoir

», p. 23). 60 • études littéraires – Volume 38 nos 2-3 – Hiver 2007 produite par la réécriture : il s’agit ici, comme le montre Gérard Genette4, d’une parodie sérieuse, qui ne se moque pas de la tragédie de Shakespeare, mais en radicalise le pessimisme en écartant la possibilité d’une restauration providentielle de l’ordre. ionesco s’inscrit dans la continuité du grand dramaturge élisabéthain, même s’il ne partage pas sa vision du monde. Alors que la parodie produit habituellement un effet comique

à raison technocratie. À l’opposé de cette conception valorisante de la technique se profilent un scepticisme et un pessimisme dans lesquels la technique apparait comme l’ennemie de l’homme et de la nature. Dans cette perspective, certains philosophes dressent une fausse[1] opposition « entre la culture et la technique, entre l’homme et la machine »[2]. Ce pessimisme prend la forme d’une détresse chez Martin Heidegger et d’une relative technophobie chez Jacques Ellul. Heidegger assimile

intermédiaire entre maximin et maximax) Critère de Savage (min regrets) Critère moyenne-variabilité (variabilité) Critères de décision en univers mesurable : Avenir risqué Probabilité des états de la nature sont connues Critère de Pascal (généralisation du critère de Laplace avec E(x)) Critère de Markowitz (+ d’espérance et – d’écart-type) Critère de Bernoulli (exemple du paradoxe de St Petersburg) Dominances stochastiques (fonction de répartition) Critère de l’utilité espérée