Le Pessimisme De Pascal

Loin d'abandonner ses ambitions, Félicité reporte ses espoirs sur ses cinq enfants, Eugène, Aristide, Pascal, Marthe et Sidonie, et plus particulièrement sur ses trois fils : L'aîné, Eugène, étudie le droit et travaille, sans passion, au palais de justice de la ville. Toutefois, son esprit puissant et tortueux l'entraîne à attendre les événements qui le conduiront au pouvoir. Le puîné, Pascal, se détache complètement de ses frères mais également de ses parents. Grâce à ses grandes capacités intellectuelles

des mœurs de leur temps. Paul Bénichou en 1948 il écrit Morale du grand siècle, il va se servir des œuvres de Corneille, Racine, Molière pour faire ressortir un certains nombres d’idées propre au 17°, propre à sa société, ex : héroïsme baroque, pessimisme chrétien, idéologie mondaine. Le problème soulevé par l’histoire des idées c’est comment déterminer le degré de vérité d’une œuvre littéraire. Nous avons dit que l’œuvre littéraire, selon l’histoire des idées, est une représentation significative

tendances à philosopher. Les Fils de la Terre privilégient les corps matériels, ils ne croient qu'en ce qu'ils touchent ; en revanche, les « Amis des Idées » privilégient les essences intelligibles, les normes idéales, ils se fient à la pensée. • Pascal, dans le traité De l'esprit géométrique et de l'art de persuader (1657), mais aussi dans les Pensées, distingue « l'esprit de géométrie » de « l'esprit de finesse ». Logiciens et intuitifs. Ces deux voies de connaissance ont leurs règles, inconciliables

certaine façon sur la relativité générale. Ses ouvrages les plus connues en philosophie sont : Le Discours de la méthode. Méditations métaphysiques. Et en sciences : La Géométrie. La Dioptrique. Pascal Blaise Pascal Né à Clermont-Ferrand (France) le 19/06/1623 ; Mort à Paris (France) le 19/08/1662. Blaise Pascal est un mathématicien, physicien, philosophe et moraliste français. Enfant précoce, il présente pendant son adolescence un grand intérêt pour les mathématiques (en particulier la géométrie), à

s’il existe des désajustements, ils sont toujours provisoires. B. L’épargne, via la répartition des revenus, est une variable d’ajustement qui permet une croissance stable (Kaldor, 1956) Le néocambridgien Kaldor (1908-1986) cherche la solution au pessimisme du modèle Harrod-Domar dans une répartition salaires/profits assurant une croissance des débouchés suffisante par rapport à celle des capacités de production. Pour cela, Kaldor fait de l’épargne une variable endogène d’ajustement. Démonstration

révèle un auteur angoissé très proche de certains écrivains romantiques par le thème (la grandiose malédiction du génie) comme par le traitement (le recours au fantastique). Ce texte donc, sans être autobiographique, lève un coin du voile sur le pessimisme foncier de Daudet qui en d’autres occasions le dissimule avec soin derrière des évocations provençales souriantes.  La morale de ce récit est ambiguë. Daudet semble y hésiter entre trois voies : * celle du désir qui consume au point de ne plus

d’autres genres littéraires, comme la pastorale. La « gaieté » a la fonction à la fois de « faire passer » et de compenser par l’euphorie narrative une image de l’homme qui est presque intolérable à force de pessimisme et qui ressemble de près à celle des Maximes de La Rochefoucauld ou des Pensées de Pascal. C’est donc un double plaisir que les Fables nous offrent : aux plaisirs de la « gaieté », de cette fiction enfantine et régressive rehaussée par les jeux de la syllepse, s’associe le plaisir « mélancolique

des compromis, comme se le reproche le Bon Jtais entier, je ne comprenais pas. Jvoluais sourd et incommunicable parmi les douleurs et les blessures semes partout, l mme o un tre entier ne saurait limaginer (page 89). LInfortun manifeste aussi un pessimisme total en dclarant Toute rencontre de deux tres dans le monde les fait se dchirer. (page 64). Le bon Mdard, qui indique Ce nest pas moi seul, Pamla, qui suis cartel et pourfendu, mais toi aussi, nous tous. (page 89), fait aussi un loge de la division

Mémoires d’un amnésique – ce sont là des exemples de ce que les logiciens anglo-saxons ont appelé les contradictions performatives. En conclusion : le scepticisme, du moins le scepticisme absolu, est impossible, aussi impossible que le pessimisme absolu. Pascal faisait remarquer que le désespéré qui va se pendre n’a pas perdu tout espoir puisqu’il croit que son sort s’améliorera avec sa mort. La vérité est comme cela : on ne s’en débarrasse pas aussi facilement. Cynisme : Le cynisme est avant

se le reproche «le Bon» : «J’étais entier, je ne comprenais pas. J’évoluais sourd et incommunicable parmi les douleurs et les blessures semées partout, là même où un être entier ne saurait l’imaginer» (page 89). «L’Infortuné» manifeste aussi un pessimisme total en déclarant : «Toute rencontre de deux êtres dans le monde les fait se déchirer.» (page 64). Le «bon Médard», qui indique : «Ce n’est pas moi seul, Paméla, qui suis écartelé et pourfendu, mais toi aussi, nous tous.» (page 89), fait aussi