Le Petit Chaperon Rouge Perrault

leurs lecteurs en recourant à cette forme littéraire plaisante et efficace. La Fontaine y voit par exemple le moyen d’instruire sans lasser : « Une morale nue apporte de l‘ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui », de même que Charles Perrault, qui prétend illustrer une morale à l’aide de ses contes, des « bagatelles » certes, mais qui selon lui « renferment une morale utile ». C’est donc surtout parce qu’il joint l’utile à l’agréable que l’apologue paraît efficace à ces auteurs classiques

celle de Charles Perrault, publiée en 1697 dans Les Contes de ma mère l'Oye, et celle des frères Grimm (Dornröschen) publiée en 1812. Sommaire [masquer] 1 Analyse 1.1 Résumé 1.2 Les marraines 2 Nom de la princesse 3 Origines 4 Autres œuvres 5 Bibliographie 6 Articles 7 Notes et références 8 Voir aussi 8.1 Textes complets sur Wikisource 8.2 Liens externes Analyse[modifier | modifier le code] Note : L'analyse présentée ici est fondée sur les versions de Perrault et des frères Grimm

com/e-books/detail/Contes-merveilleux---Tome-2./onecat/Livres-electroniques+Auteurs+G-a-L+Grimm,-Jakob-et-Wilhelm (Tome 2). Téléchargeables gratuitement en ligne ou consultables sous format pdf. Perrault, Charles. Les contes de ma mère l’Oye. Livres pour tous : http://www.livrespourtous.com/e-books/detail/Contes-de-ma-mere-l-Oye/onecat/Livres-electroniques+Auteurs+M-a-Q+Perrault,-Charles/0/all_items.html Consultable ou téléchargeable en ligne gratuitement. Andersen, Hans Christian. Contes merveilleux tome 1 & 2. Livres pour tous :

est le plus important servant à faire rêver le lecteur petit ou grand. Dans Cendrillon, conte écrit par Perrault, tous les éléments du conte sont réunis : une héroïne douce, belle, gentille, la cruelle belle-mère dans le rôle de la méchante, la marraine magicienne pour le côté féerique, le prince-charmant dans le rôle du sauveur, et une fin heureuse : les amoureux se marient finalement. La Belle au bois dormant, Doucette, Peau d’âne, La petite sirène… et beaucoup d’autres contes servent à transporter

l’auditeur des fables de La Fontaine est émoustillé «  Le Rat et l’Huître« , association inattendue, «  La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf » la prétention est grotesque, « Le Chat, La Belette et le petit Lapin« , trio inédit! On retrouve aussi dans les contes de Perrault des titres qui interpellent, pleins de promesses comme « Le Chat botté ». Enfin, derrière ces récits se cache une intention pédagogique. L’apologue instruit et le récit permet d’attirer et de rendre concret et vivant

joue sur les délices de la peur éprouvée dans la chaude sécurité du foyer familial. Le récit merveilleux peut ainsi distiller sa fonction initiatique. Le petit Chaperon rouge ne serait-il qu’un simple avertissement sapiential contre le danger de parler à des inconnus ou plus profondément un récit lié à l’initiation des filles ? La moralité de Perrault admoneste les jeunes filles séduites par les cajoleries des loups « doucereux » qui les accostent alors que, dans les éditions enfantines d’aujourd’hui

Chat Botté (Le) L'auteur : CHARLES PERRAULT Première édition : Contes DE ma mère l'Oye, ou Histoires ou contes du temps passé avec des moralités, Barbin, 1697. Le titre original est : "Le Maître Chat ou Le Chat botté." Les principaux illustrateurs : NATHALIE BAILLOT - JEAN CLAVERIE - ACHILLE DEVÉRIA - GUSTAVE DORÉ - DOROTHÉE DUNTZE - STASYS EIDRIGEVICIUS - GÉRARD FRANQUIN - GIOVANNI GIANNINI - JEAN GIGOUX -TONY JOHANNOT - KELEK - FÉLIX LORIOUX - FRED MARCELLINO - PHILIPPE MIGNON - SOPHIE

Fiche Perrault 1697 Les contes en Prose pas en vers (sauf peau d'âne et les souhaits ridicules) Préface des contes en vers P. 77 préface = c’est vmt perrault qui parle = but d’instruire et divertir "bagatelles qui contiennent des morales utiles” P. 80/81 question sur l’enfance = les fables des modernes supérieures aux anciens car les anciens pas de morales. “Les contes que nos aïeux ont inventé pour les enfants” donc crées pour les enfants. (les gens du M-A) pas grec et latin, moins d’élgance mais

convaincre leurs lecteurs en recourant à cette forme littéraire plaisante et efficace. La Fontaine y voit par exemple le moyen d’instruire sans lasser : « Une morale nue apporte de l‘ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui », de même que Charles Perrault, qui prétend illustrer une morale à l’aide de ses contes, des « bagatelles » certes, mais qui selon lui « renferment une morale utile ». C’est donc surtout parce qu’il joint l’utile à l’agréable que l’apologue paraît efficace à ces auteurs classiques

Les femmes dans les contes de Charles Perrault Morale patriarcale Être une femme n'est pas un statut enviable dans les contes. Si, dans la moitié des contes le personnage central est une femme, il faut constater en même temps qu'il n'y a guère une seule héroïne qu'on pourrait qualifier de «héroïque» dans tout le lot. Elles sont très souvent vus comme faibles: sans les hommes ou les fées, les femmes ne sont rien. Elles sont souvent curieuses, ce qui leur vaut d’ailleurs d’être punies à plusieurs