Le Pib Est Un Indicateur Imparfait

à l’ensemble de la population. L’accroissement du rôle économique et social de l’Etat peut se mesurer en calculant la part des dépenses des administrations publiques (Etat au sens large ) dans le PIB ou la part des prélèvements obligatoires ( impôts et cotisations sociales ) dans le PIB. Cette part a été particulièrement élevée pendant les conflits mondiaux et les crises économiques. b) L’Etat complète le marché : 1 ) La justification du rôle économique de l’Etat

globale ne permet pas aux entreprises de prendre des décisions favorables à l’investissement et à la création d’emplois. Le risque est celui de la déflation. Bilan : Le prix est un outil permettant de comparer la valeur des biens. C’est souvent un indicateur de rareté. Il permet d’influencer les comportements, les décisions et les stratégies des agents économiques dans leurs opérations de production, de consommation, d’investissement ou d’épargne. Si on se fonde sur l’hypothèse de rationalité des agents

(distribu° d’eau), ainsi que le PNB /hab. Ces critères sont divisibles en 3 catégories : * Critère économique : PNB & PIB /hab., critère incomplet mais mise en valeur des écarts de richesses entre les pays. Il reste tout de même très imparfait (ex : déforesta° d’Amazonie fait monter le PIB). Dans les Pays arabes seul une partie de la pop bénéficie des richesses du Pays PIB n’est qu’une moyenne. * Critère sociaux : nb de calorie/ personne. (seuil au dessous duquel on passe en sous nutri° :

permet d’apprécier l’efficacité de la combinaison productive.B. La productivité du travailLa productivité du travail se mesure, généralement, par le rapport entre la valeur de la production et la quantité de travail utilisé.Ses deux principaux indicateurs sont la productivité horaire du travail (ou par heure travaillée) et la productivité par tête (ou par personne occupée).La productivité horaire du travail est égale au rapport entre la valeur de la production et le nombre d’heures travaillées.La

; – libres entrées et libres sorties du marché ; – parfaite mobilité des facteurs de production. La concurrence est qualifiée d’imparfaite chaque fois que l’une de ces conditions n’est pas remplie. B. L’information sur les marchés est souvent imparfaite L’information parfaite suppose que tous les participants au marché – offreurs et demandeurs – disposent d’une information complète sur la qualité des produits échangés et leur prix. En réalité, l’information est très souvent asymétrique : certains

effective, ils constituent un moteur pour la croissance du pays. Y = C + S (y revenu, c consommation, s épargne) Les entreprises de biens ou de services : elles créent une partie de l’activité économique, elles créent de la valeur ajoutée (richesse, PIB), elles mènent des politiques d’investissement. I = f(i) Les banques : elles financent les projets d’investissement, elles apportent des crédits aux ménages, elles apportent des moyens financiers a l’état pour développer sa politique économique. L’état :

-Economies dʼéchelles interne et externe -La courbe dʼoffre de la firme(Cm croissante) -La courbe de demande de facteur par la firme(Pm croissante) -La courbe de Lorenz-Gini -La courbe en U inversé de Simon Kuznets( distribution des revenus en fonction du PIB/ tête) Chapitre 5: la demande et la consommation La demande et la consommation pour un bien X sont des fonctions dʼun grand nombre de variables: patrimoine, revenu, prix de X, prix des autres bien, publicité, niveau dʼéducation, âge, sexe, religion

que la micro-économie étudie davantage les comportements des agents économiques individuels (entreprises et consommateurs) sur des marchés. Cette distinction est la seule vraiment opératoire, davantage que la distinction global/local. Bien sûr le PIB (produit intérieur brut) d’une ville n’a guère de sens mais inversement le calcul de la rentabilité du canal Rhin-Rhône, bien que portant sur un grand territoire, est micro-économique. Ce calcul peut être simple (calcul du surplus) ou plus complexe

économie sur une période donnée1, généralement une période longue. En pratique, l'indicateur le plus utilisé pour la mesurer est le produit intérieur brut ou PIB. Il est mesuré « en volume » ou « à prix constants » pour corriger les effets de l'inflation. Le taux de croissance, lui, est le taux de variation du PIB. On utilise souvent la croissance du PIB par habitant comme indication de l'amélioration de la richesse individuelle, assimilée au niveau de vie. La croissance est un processus fondamental des

limites de l'économie), catégorie sociale...) -Comment (progrès technique, ressources rares..) ¤Répartition des richesses - à l'échelle d'un pays (homme/femme ; 10 % des plus riches contre 10 % des moins riches) - à l'échèle du monde : exemple : PIB/hab. en $ PPA base 2005, chiffres 2007 ~Monde : 9K$/an ~UE : 28K$ (France : 31K$) ~Inde : 2,5K$ ~Chine : 5K$ ~Brésil : 9K$ (Sources CEPII) ($PPA : dollars en Parité Pouvoir d'Achat) Le pouvoir d'achat du Chinois par exemple est 2 fois plus élevé