Le Pib Est Un Indicateur Imparfait

économique Envisagée du point de vue économique, l’éducation est un investissement. Elle représente, aujourd’hui, une dépense qui doit produire, demain, un supplément de richesse et de bienêtre. La dépense est élevée : elle constitue en France 6 à 7% du PIB, à quoi il convient d’ajouter le coût d’opportunité du temps passé à l’école ou à l’université, au cours duquel la société renonce au produit du travail productif des élèves et des étudiants et ceux-ci aux revenus correspondants. Certains effets de

internationale des capitaux (les capitaux se déplace au niveau international) c'est-à-dire les capitaux productifs (IDE) + on peut acheter des actions sur les marchés étrangers. Cette mobilité peut être plus ou moins parfaite. On considère qu’elle est imparfaite. Ce modèle IS-LM-BP va permettre d’étudier l’efficacité relative des politiques économique et il va montrer l’importance du régime de change dans le choix d’une politique économique. On considère qu’il existe deux grands systèmes de change :

La croissance aujourd’hui, c’est la croissance du produit intérieur brut. • Le PIB est égal à la somme des valeurs ajoutées réalisées sur une année sur le territoire du pays considéré. • La valeur ajoutée est égale à la différence entre la valeur de la production réalisée et celle de l’ensemble des consommations intermédiaires. Introduction aux mécanismes économiques 7 Avantages et inconvénients du PIB La valeur ajoutée • permet d’éviter les doubles comptages • permet de mettre

G + X + VS De plus : P - CI = Valeur ajoutée du pays ou par somme, le PIB 5. Production marchande et production non marchande La production est dite marchande lorsqu'elle s'échange sur un marché à un prix, permettant de couvrir les coûts de production et de dégager un bénéfice. L'évaluation de la production marchande se fait au prix du marché et représente en France environ 83 % du PIB total. Les sociétés sont les premiers acteurs producteurs (mais les ménages également

l’entreprise) et externes. Parmi les facteurs internes on peut citer le profit de l’entreprise, qui intervient à deux niveaux : * Source de financement : elle dégage des moyens pour acheter des moyens de production. C’est l’auto financement. * Indicateur de la rentabilité de l’entreprise : réaliser des profits, cela signifie que l’entreprise est rentable, donc on est incité à investir. La décision d’investir est influencée par la situation financière de l’entreprise et par sa solvabilité si

décile (les ménages les plus pauvres) verra son revenu augmenter de 18€ en moyenne (De Ravignan, 2009). Des permis négociables aux marchés de droits à polluer L’absence de marché, pour des biens comme l’air, l’eau,… conduit à une allocation imparfaite des ressources. L’une des solutions, pour traiter ce problème, consiste à définir un marché, là où il n’en existe pas à priori, et à laisser jouer les mécanismes de la concurrence pour internaliser les externalités visées. Il suffirait à la base

le libre échange le pays consacre son temps de travail à fabriquer le produit dans lequel il est spécialisé puis l’échange contre le produit dans lequel est spécialisé le pays partenaire. * Kk=i|VKi-Vi| * I : secteur * K : pays Cet indicateur varie de 0 à 2 Cela signifie que la valeur ajoutée de ce pays k pour tout secteur i est égal à la valeur ajoutée moyenne européenne. Autrement dit, il n’est pas du tout spécialisé, sa structure sectorielle est identique à la moyenne européenne

mêmes de "mondialisation", "globalisation", "internationalisation" (des économies et/ou du capital) sont aussi flous qu'utilisés. Pour les uns, nous sommes entrés dans l'ère de la mondialisation à partir du moment où un pourcentage significatif du PIB de la nation est réalisé avec l'extérieur, à l'importation ou à l'exportation, ou selon une moyenne des deux; pour d'autres, ce pourcentage est moins significatif que la "dépendance" ou l'"indépendance" de la nation vis-à-vis de décisions prises par

de la Grande-Bretagne, le phénomène s'est étendu à l'ensemble des pays en développement à la fin des années 1980. Les premières analyses théoriques sur la multinationalisation de la firme, qui ont mis l'accent sur les structures de concurrences imparfaites et les oligopoles, ont débuté à la fin des années cinquante. Citons par exemple la théorie de cycle de vie du produit (Vernon, 1966), la théorie de l'internalisation (Hymer, 1968) et la théorie de la diversification des produits (Caves, 1971 ; 1974)

demande et de l’offre 36 4. Notions de surplus 36 a. Surplus du consommateur 36 b. Surplus du producteur 37 c. Efficience du marché 37 d. Evaluation des résultats du marché 38 Chapitre 5 : les structures du marché 40 1. Marché imparfait 40 2. Le Monopole 40 a. Différentes catégories de monopole 41 b. Conditions de concurrence non respectée 41 c. Fixation du prix en monopole 42 d. Profit du monopole 43 e. Efficience du monopole 44 f. Discrimination tarifaire