Le Piège diabolique

Le Tartuffe de Molière Acte IV, scène 5, vers 1502 à vers 1528 COMMENTAIRE COMPOSE Dans un premier temps, nous allons montrer Cette scène a un intérêt dramatique pour la pièce, car le traître va y lever le masque, grâce au piège tendu par Elmire, créant un fort suspense. Par la suite, nous étudierons Les aspects comiques de cette scène sont la preuve qu’il s’agit bien d’une comédie de caractère. Pour finir / Enfin, nous verrons Mais dans une certaine mesure cette scène comporte

car comment réduire tout comportement non tourné vers Dieu au maléfice ? Par ailleurs, on peut aussi penser que le Mal n'est pas une perversion d'un principe humain (inté­rieur) mais l'intervention d'une force extérieure à l'homme (transcendante, diabolique) ou tout simplement contraire à l'homme en tant qu'homme (l'inhumanité) et non pas fruit de sa propre volonté. Autrement dit, on en vient à se demander si l'homme a le pouvoir de s'auto-pervertir (il serait donc responsable et coupable du Mal, puisque

types d’agents pour venir à bout de Trompe-la mort. · présence d’une hiérarchie qui donne à l’arrestation une tournure solennelle. · un ensemble d’une vingtaine contre un homme seul. 2- le blocage de toutes les issues : le piège qu’on referme sur la « bête » à traquer. · Le texte montre progressivement, comme dans une mise en scène méthodiquement agencée, l’occupation de toutes les issues. · Vautrin évalue très rapidement la situation qui est sans issue.

Lecture analytique : le portrait de DJ par son valet Problématique : Quel portrait Sganarelle fait-il de son maître ? I) Le portrait de Dom Juan a) Le libertinage de pensée b) Un être diabolique II) Dom Juan, un homme de plaisir a) Le libertinage de mœurs b) Un homme de plaisir Introduction : Molière était un grand dramaturge et comédien du 17ème siècle. Il appartenait au mouvement littéraire du classicisme. Dom Juan est une pièce de théâtre écrite par Molière en 1665. Il s’est inspiré du mythe

de ce visage empâté de vermillon(11) mais d'un brun doré comme les ailes de certains insectes, et que la clarté blême, tombant en maigre filet du réverbère, ne pouvait pas pâlir. » Jules-Amédée Barbey d'Aurevilly, La Vengeance d'une femme, Les Diaboliques, 1874 Texte 3 Bordenave, le directeur du théâtre des Variétés, lance une débutante à grand renfort de publicité dans son nouveau spectacle, La Blonde Vénus. Au début de la représentation, le public s'impatiente. « À ce moment, les nuées

complémentaires "Les fléaux du monde…" (Quelques représentations de la guerre) [L’Ingénu de Voltaire] Textes -L’appel du 18 juin de Ch. de Gaulle -"Le déserteur" de Boris Vian Histoire des arts -Le triptyque de la guerre d’Otto Dix -extrait du Piège diabolique de Jacobs -Allégorie de la Paix de Rubens (manuel p. 135) Lecture cursive À l’Ouest, rien de nouveau d’E. M. Remarque ou Ceux de 14 de Maurice Genevoix

aux lignes 1 à 2 et aux lignes 15 à 17 en s’adressant directement aux lecteurs en les nommant « Seigneurs ». Ce texte peut se découper en trois parties : 1. Une première partie , de la ligne 1 à la ligne 14 (… sa sagesse) : Renart pris au piège dans le puits. 2. Une deuxième partie, de la ligne 15 à la ligne 66 (… vacarme) : le stratagème. 3. Une troisième partie, de la ligne 66 (Dans le puits…) à la ligne 74 : Ysengrin dans le puits Passons maintenant à l’analyse détaillée

[...] Elmire. « Il n’importe : sortez, je vous prie, un moment, / et partout là dehors voyez exactement. » Une vidéo du piège tendu par Elmire à Tartuffe Que peut-on expliquer dans cette scène ? - Analyser le comique de situation, la double énonciation d’Elmire : tout ce qu’elle dit est destiné à son mari, et le spectateur sait en quoi consiste le piège. - Les champs lexicaux habilement mêlés : amour, amour divin, amour physique, sous-entendus charnels, prière religieuse et prière

l’acte III, avec le rappel, au moment où tout se noue, du second billet écrit par Ruy Blas. Il repasse au second plan à l’acte IV, mais surgit avec le piège tendu à la reine grâce au rendez-vous du premier billet (V, 2) et finit par se révéler en plein lumière à la fin de l’acte (le dénouement). Cette vengeance se caractérise par son côté diabolique machiavélique. Et Ruy Blas s’en fait à son insu l’instrument : plus il affirme son génie politique et acquiert de pouvoir, plus il est aimé de la reine

bohémienne Carmen, « la gitanilla », héroïne de la nouvelle de Mérimée ; la chanteuse d'origine populaire Nana, qui se produit au théâtre des Variétés, héroïne éponyme du roman de Zola ; la prostituée de La Vengeance d'une femme, dernière nouvelle des Diaboliques de Barbey d'Aurevilly ; la servante d'auberge de la nouvelle de Rémy de Gourmont Les Yeux d'eau. Toutes appartiennent à une marginalité attirante. Mais la diversité des points de vue adoptés et des descriptions de femmes, dont certains traits physiques