Le Piège diabolique

était mirée pendant trois ans, ou encore le visage vieilli de la coquette, le miroir de Virgile s’avère prospectif en invitant à une parade militaire et la catoptromancie cherche à y lire l’avenir. Points de vue et interprétation : le miroir piège ou outil de connaissance ? Sabine Melchior-Bonnet oppose les miroirs de saint Paul et de saint Jacques comme emblématiques de deux attitudes opposées face au miroir : La connaissance tamisée, indirecte, du miroir paulinien désigne le passage de

fait grâce à l’opposition de deux champs lexicaux qui établissent la valeur morale du récit : celui du bien qui est illustré par Marion (angélique, innocente, pauvre), celui du mal qui est illustré par Rousseau (diabolique, barbare, infernal, déshonorer). Notons le chiasme audace diabolique/angélique douceur qui unit les deux protagonistes, qui unit le criminel à sa victime (le mal a besoin du bien pour agir !). Le récit, de ce fait, devient manichéen. La confrontation permettra de savoir « quel est

Evolution de sa fabrication et de sa fonction sociale A) Evolution des procédés de fabrication B) Transformation progressive de son utilité sociale C) Principes physiques D) Utilisations diverses II- Symbolique A) Le miroir métaphorique B) Piège du regard C) Connaissance de soi D) Quête d'adéquation BIBLIOGRAPHIE • « Le miroir, essai sur une légende scientifique, révélations, science fiction » de Jurgis Baltrusaitis • « On reflection » de Jonathan Miller • « Histoire

des actions cruelles • les dieux finalement sont comparé à une machine infernale dans l’oxymore « dieux infernaux » : dieux diaboliques, comme la machine : dépourvus de toute humanité : réseaux sémantique de l’anéantissement « peste , fléau, infecter le pays , anéantissement mathématique d’un mortel » • Machine métaphore de la vie symboliser par la métaphore du piège qui se referme : série de métaphores : nous laisse à penser que la machine peut être la pièce de Cocteau elle-même , dans laquelle

dans le crime de Jules Barbey D’Aurevilly Fiche de lecture – Le bonheur dans le crime de Jules Barbey D’Aurevilly 1 1. Présentation de l’œuvre et de son contexte : Le Bonheur dans le crime est une longue nouvelle, issue du recueil Les Diaboliques, publié en 1874 par Jules Barbey D’Aurevilly. Ce recueil vaudra à cette époque à son auteur d’être accusé et trainé en justice pour atteinte à la morale et aux bonnes mœurs : on le trouve trop complaisant à l’égard de certaines déviances sociales

souffrance. L'obstination de Claude à peindre est-elle liée avec son envie de réussir et de faire ses preuves dans le milieu de la peinture, ou sa démence, sa folie de peindre est l'oeuvre d'un démon, d'un être maléfique? Et si cette orchestration diabolique n'était pas l'Oeuvre de l'Art? Tout d'abord, le tableau de Claude est caractérisé comme un chef d'oeuvre, une peinture hors du commun et le moyen qu'il a pour s'imposer à Paris à la prochaine exposition. Le champ lexical de la religion est introduit

J’étais paralysée, je ne savais plus quoi faire. Paniquée, je m’enfuis en courant dans le couloir pour aller m’enfermer dans les toilettes. Je repris mes esprits et décidai de sortir, mais le verrou était bloqué et les portes étaient en fer. J’étais piégée. Une odeur étrange envahit la pièce. Je commençai à suffoquer et je m’effondrai par terre et m’endormis malgré moi.             Je me réveillai à l’entrée des toilettes et je me levai. J’arrivai dans la cour déserte et je vis qu’il faisait nuit 

"Le Sagouin" : Ce roman raconte la misérable vie du petit Guillou, douze ans. Sale, arriéré, maladroit, Guillou est haï par sa mère et méprisé par tous. Paule, la mère de Guillou, nièce d'un ancien maire de Bordeaux, ressasse sa colère de s'être piégée elle-même : Pour un titre de baronne qu'elle ne portera jamais (Mme La Baronne reste un titre réservé à la mère de son mari), elle a épousé Galéas de Cernes, un imbécile, un idiot, à la limite de l'arriéré mental, qui ne fait rien d'autre que d'entretenir

comme point commun un attrait profond pour l’animalité. Trois axes permettent d’englober ce qui définit l’indomptable Vellini. a) Le fauve dans tous ses états Ce personnage représente à elle seule toutes les images animales, mythologiques et diaboliques dispersées dans l’œuvre aurevilienne. Vellini, pourrait servir de paradigme. En effet, elle a la démarche fascinante qui évoque celle d’une « nerveuse et souple panthère » (page 130), elle se roule sur les tapis « avec les mouvements des tigresses

Il devient de plus en plus diabolique. Le narrateur lui est passif, soumis. Il y a seulement à la 4ème strophe où il utilise l’interrogation montrant qu’il est indigné. Mais il y a une condamnation dès la première ligne. II] Un imaginaire fantastique 1ère phrase : il y a un jugement. « Absous » signifie le salut et le damné l’enfer. Ça montre qu’il n’y a aucune échappatoire. Le linceul fait référence à la mort. La toile d’araignée qui représente un piège dans lequel le poète serait pris