Le Poème harmonique

fut secrétaire puis hôte de Mme Dupin, l’épouse d’un financier richissime, et de son beau-fils, M. de Francueil (le grand-père de George Sand) avec qui il fit des études en chimie, alla avec eux en été à leur château de Chenonceaux où il écrivit un poème, “L’allée de Sylvie”, nom d'une allée du parc qui bordait le Cher. Il composa : ____________________________________________________________ _____________________________ ‘’Les institutions chimiques’’ (1746) Premier livre Il est est

penser ici d’un « retournement vers soi-même ». Le silence que Handke aspire à renforcer et à transmettre avec le rythme de son écriture est fait, chez le lecteur, d’écoute et de recueillement. Nous avons tous éprouvé au moins une fois, devant un poème, un film, une musique ou un paysage, la puissance de ce taire. Nous avons pu alors vivre cette expérience d’une dépossession de soi dans une tension de l’attention qui allait presque jusqu’à l’ultime limite, et qui, paradoxalement, coïncidait avec

d'Houdetot ou de la comtesse de Sabran. Bientôt, même la France des plaines et des collines, la France de l'Île-de-France ne suffit plus. On va chercher en Suisse et dans la montagne des émotions plus fortes et des frissons nouveaux. Dès 1750, un poème du Suisse Haller, les Alpes dont la traduction est fort goûtée, évoque des splendeurs ignorées ou méconnues. On commence par les lacs de Genève, de Bienne et de Thoune et les altitudes moyennes ; puis on s'élève jusqu'aux glaciers, on affronte les

d'Houdetot ou de la comtesse de Sabran. Bientôt, même la France des plaines et des collines, la France de l'Île-de-France ne suffit plus. On va chercher en Suisse et dans la montagne des émotions plus fortes et des frissons nouveaux. Dès 1750, un poème du Suisse Haller, les Alpes dont la traduction est fort goûtée, évoque des splendeurs ignorées ou méconnues. On commence par les lacs de Genève, de Bienne et de Thoune et les altitudes moyennes ; puis on s'élève jusqu'aux glaciers, on affronte les

terre à moitié engloutie par les eaux et de cet univers de post-création qui est celui de Fin de partie ? On retrouve dans le dernier soliloque de Hamm un vers de Baudelaire (« Tu réclamais le soir ; (…) Il descend : le voici », p. 109, extrait du poème « Recueillement », des Fleurs du mal de Baudelaire), et sans doute la lecture du théâtre racinien, et en particulier de Bérénice (où Racine écrit notamment dans la préface : « Toute l’invention consiste à faire quelque chose de rien »), a-t-elle aidé

terre à moitié engloutie par les eaux et de cet univers de post-création qui est celui de Fin de partie ? On retrouve dans le dernier soliloque de Hamm un vers de Baudelaire (« Tu réclamais le soir ; (…) Il descend : le voici », p. 109, extrait du poème « Recueillement », des Fleurs du mal de Baudelaire), et sans doute la lecture du théâtre racinien, et en particulier de Bérénice (où Racine écrit notamment dans la préface : « Toute l’invention consiste à faire quelque chose de rien »), a-t-elle aidé

chose en soi). La chose en soi n’est pas le lieu de déterminisme: elle a pour caractéristique le désir et la douleur. 30/09/2010: Absent 04/10/ 2010: Rattrapage Demander cours! 07/10/2010 Texte de Schelling + paragraphe 18 du monde + poème de Wellbeck. 1ère proposition du recueil ( de wellbeck)= entre en échos avec la philosophie de Schopenhauer = le monde est une souffrance déployé. A son origien, il y a un nœud de souffrance, tout existence est une expension et un écrasent. Toute

et octave. Les intervalles peuvent être qualifiés de majeurs, mineurs, augmentés ou diminués. Lorsqu’un intervalle est écrit au moyen d’une note au-dessus de l’autre, de telle sorte que les sons sonnent en même temps, on parle d’un intervalle harmonique (voir exemples cidessus). Lorsqu’une note suit l’autre, comme ci-dessous, il s’agit d’un intervalle mélodique. w & w w w w w tierce quinte octave Introduction Brève phrase jouée avant le début d’un cantique, comme préparation pour le choeur

janvier 1859, Émile Zola entra en rhétorique. La famille emménagea 241 rue Saint-Jacques, à un sixième étage avec terrasse. Le 19 février, on publia, dans “La Provence”, un poème de lui, “Le canal Zola”, qu’il avait écrit en hommage à son père. En avril-mai, il visita le Salon. Le 23 juin, on publia, dans “La Provence”, un autre poème de lui, “À l’impératrice Eugénie, régente de France”, et, le 4 août, “Mon follet”. Le même mois, il échoua à l’oral du baccalauréat ès sciences. En novembre, s’étant présenté

le secret de ses origines et de ses fins sont conduits tôt ou tard à rechercher pourquoi nous nous retrouvons dans les oeuvres qui la manifestent. Mais ils nous obligent tous à rétrécir notre vision, quand nous entrons dans l’immensité mouvante du poème que l’homme chante, Élie Faure, Histoire de l’Art. L’esprit des formes. L’Art antique (1909 à 1927) 7 oublie, recommence à chanter et à oublier depuis qu’il est homme, à la mesure des cadres trop étroits de la biologie, de la métaphysique