Le Poète assassiné

sont visés. Le lexique est péjoratif, voire assassin. Tout est "prose rimée, un jeu, avachissement et gloire d’innombrables générations idiotes". Même Racine, reconnu comme le plus grand des poètes tragiques, n’est pas épargné : "le pur, le grand n’est que le Divin Sot" ! Et "après lui, le jeu moisit. Il aura duré deux mille ans". 3) Pour qu’il y ait évolution, le poète, l’auteur, le créateur doit se remettre en cause et reconsidérer sa position. Le poète ne peut être un fonctionnaire, un écrivain

l’algèbre. C’est lui qui a introduit le terme « shay » pour désigner l’inconnue dans les équations. Traduit par les espagnols, le terme « shay » deviendra « xi » puis x pour simplifier. Omar Al-Khayyâm est un mathématicien (également astronome et poète), qui poursuivit l'œuvre d'Al-Khawarizmi en classant les équations du troisième degré en 14 types. La légende dit que pendant ses études à Nishapur, Omar fit un pacte avec Abd-ul-Kassem et Hassan Sabah : le premier qui connaitrait la gloire devrait

provoquée par des « bandits ». 5-Présentation, thématique (joindre dans la pochette plastifiée les documents complémentaires) Dans la première strophe, le poète réalise un « flashback » en présentant ce qu’était sa vie quotidienne avant le conflit : tranquille, normale. Une vie entourée de calme, d’arbres… Dans la 2 e et 3 e strophe Le poète se souvient du bonheur qui l’entourait et dans lequel il vivait. Tout d’abord, cet « océan de cuir » qu’il apercevait et qui faisait référence aux champs

(v. 13 à 16) 1) La brutalité de la crise. la crise se déclenche « tout à coup », soudaineté mise en valeur par la césure et par le fait que l’exposé des circonstances a nécessité 3 quatrains, alors que la crise elle se condense en 4 vers brefs, assassins assaut brutal de la folie : terme à la rime v.13 personnification étrange et terrifiante des cloches qui « sautent », poussent un « hurlement » ; les mouvements sont brusques (vbes v.13 et 14), les sons sont insupportables (adjectif et hiatus

n’échappera pas à son héritage : ce décalage crée ainsi le registre ironique de l’extrait. L’auteur finit la narration de la naissance de l’héros avec l’hyperbole de la ligne 10, où nous apprenons que l’homme le plus dangereux de l’île n’est autre qu’un poète courtisan, qui critique la politique du père de Scarmentado et compare d’abord celui-ci avec Minos, roi légendaire de Crète, fils de Zeus, puis avec le fils de Pasiphaé, c’est-à-dire un minotaure. C’est pourquoi, il s’agissait pour l’auteur de démontrer

matière inerte. Mais toutes ces connaissances le mèneront à sa perte. Le père de Victor : Homme très brave, il mourut en apprenant le décès de sa « fille » Elizabeth Elizabeth : Fille adopté par la famille Frankenstein, elle se maria à Victor et fut assassiné par la bête. Caroline : Mère de Victor, elle mourut à ses 17 ans d’une fièvre scarlatine transmise alors qu’elle soignait Elizabeth de cette même maladie. C’est une femme très belle, courageuse et généreuse. La créature : C’est le monstre créé

surgissant dans les théâtres de nombreux pays africains qui deviennent indépendants dans les années 60, Lumumba comme Césaire est un poète « déraisonnable ». Figure de Prométhée, porteur de feu ou Christ souffrant, l’unité Dieu/homme est ici transformée en Afrique/Lumumba. Le temps de la pièce constitue à la fois un espace et un temps prophétiques, d’une certaine façon, le poète sera l’instrument et la mémoire de cette prophétie. Dany Toubiana 3 Aimé Césaire, une rencontre inévitable pour Christian

évoque un pin, tandis que la dernière introduit « le poète » au vers 13. Ici, Théophile Gautier tente de nous faire parvenir sa vision de la condition du poète. Il présente d’abord celui-ci à l’aide d’une comparaison avec un arbre souffrant. Puis afin de transmettre ses idées, il compte sur la sensibilité du lecteur pour percevoir le message délivré dans son poème. Ce poème est basé sur une comparaison. Théophile Gautier, représente le poète tel un arbre blessé, « le pin des Landes ». C’est

puis dans le recueil Jours pétrifiés en 1947. Son titre fait référence au massacre d'Oradour-sur-Glane. 1/La vie de l’auteur : Jean Tardieu, né le 1er novembre 1903 à Saint-Germain-de-Joux et mort le 27 janvier 1995 à Créteil, est un écrivain et poète français. Il est le fils de Victor Tardieu (peintre). Jean Tardieu a travaillé aux Musées Nationaux, il reçoit le Grand Prix de littérature de la Société des Gens de Lettres en 1986, après le Grand Prix de poésie de l'Académie française en 1972

feuilles, meules, vin, pierres, ce sont des mots qui parlent de ce qui fait la vie. Ces éléments évoquent la vie familiale, religieuse, le monde végétal et minéral, les récoltes et la joie. A Oradour, une vie « normale « n’est plus envisageable, le poète insiste sur le fait que toute vie est réduite à néant , l’énumération dans ces deux strophes nous le montre « Oradour n’a plus de ». On retrouve une énumération dans les vers 28 à 40,elle appuie encore plus sur le néant qui en résulte, sur cette