Le Point de mire

»(expression péjorative), « mutisme », «placidité », «elle demeurait tout immobile, ne sachant si... » (souligner l'emploi du verbe savoir à la forme négative). Cette vieille femme a à peine figure humaine; d'ailleurs elle est mal à l'aise d'être le point de mire des badauds, mal à l'aise au milieu des humains, comme si elle n'appartenait plus à leur communauté. En recourant à l'expression effaroucher «intérieurement effarouchée» (d'une expression latine signifiant «sauvage ») le narrateur l'apparente à

défavorisés invitent à une réflexion nouvelle sur le développement des villes. "Les bidonvilles [...] sont, comme chacun le sait, des lieux problématiques. Mais les architectes, les urbanistes et différents penseurs se rendent compte qu'ils possèdent des points forts tout à fait particuliers et peuvent même être riches d'enseignements en matière d'urbanisme. L'activité économique soutenue dans ses campements et leur proximité avec les centres urbains présentent de gros avantages [...]. Nombre d'observateurs

méthode auprès de diverses communautés américaines qui travaillaient à rétablir l’harmonie dans des écoles et diverses institutions publiques. Il a été fortement inspiré par les travaux du psychologue américain Carl Rogers (1902-1987) qui a mis au point l’approche centrée sur la personne. Il crée le centre de communication non violente au Texas. Thomas Ansembourg ancien avocat introduit cette méthode en France. La Communication non violente repose sur 2 prémisses : Tous les êtres humains ont des

indescriptible. Il y a d’ailleurs peu de descriptions dans ce roman puisque l’auteur privilégie les analyses psychologiques. Ce sont donc deux êtres d’exception ! (cf. comparaison implicite avec la beauté de la Dauphine). Ils deviennent le point de mire de la Cour, l’objet de tous les regards et de l’admiration générale. La cour = un spectateur. Elle agit comme un regard témoin. Ils se trouvent comme isolés au milieu du cercle formé par la cour : focalisation sur eux. B – Des êtres prédestinés

profilé métallique. Le poids de l’élément nécessitait un gros moyen de manutention, soit un camion 6x4 équipé d’un bras articulé. Il peut se poser des problèmes de rigidité avec pour conséquence la nécessité de mettre en œuvre un nombre important de points d’ancrage. Il n’en a pas été nécessaire dans notre cas. 3) Mise en place du coulis sur la partie en fiche. Voici la paroi microberlinoise terminée. On peut remarquer l’installation des garde-corps en haut, afin de pouvoir circuler en sécurité

Haïti : Tohu-bohu sans fin !  Ecrit par Jhonson Mardy Mardi, 14 septembre 2010 Haïti, ce petit coin de terre qui était le point de mire de toutes les nations, se plonge davantage dans un marasme, un véritable labyrinthe ou encore dans un tohu-bohu hors du commun mortel à cause de l’absence d’un leadership, d’une vision... Stricto sensu, la politique n’est autre que l'organisation de la Cité. Pour ainsi dire, la politique vise l’intérêt général, l’intérêt de la collectivité. Dans le cas

La fontaine nous fait, dans « le pouvoir des fables », l’éloge de l’apologue et donc de l’argumentation indirecte. En effet, il nous narre l’histoire d’un orateur athénien qui, malgré toutes ses tentatives pour interpeller son auditoire, n’est point écouté. Il décide alors de prendre « un autre tour », et se lance dans un récit allégorique. Et cela est couronné de succès, son auditoire est captivé. À travers cette fable dans la fable, La fontaine défend les avantages d’une argumentation qui prend

Enfin, L’auteur présente Euphrosine comme quelqu’un d’orgueilleux. Des le début de l’extrait Euphrosine tente de se retirer afin de ne pas supporter le portrait que va faire Cléanthis « Je vous prie, Monsieur, que je me retire, et que je n’entende point ce qu’elle va dire. » (Lignes 77-78). On décèle ici un comique de caractère en observant les manières d’Euphrosine. Nous pouvons supposer qu’elle vit ce portrait comme une torture pour son orgueil et son estime, car elle essaie de mettre fin à la scène

place de la nourriture comme nous le montre le journal des Tranchées « Ayant réclamé l’honneur de remplacer leur ration du jour par deux grenades ». On a également une évolution des armes qui deviennent de plus en plus puissantes (grenade, mire, mine) , on a donc une augmentation du nombre de morts et de blessés graves « jambe broyée ».A la fin de la guerre, la France compte plus de 1 400 000 de morts et disparus ce qui représente 16 % des forces mobilisées tuées ainsi que 3,5 % de la population

extraordinaires, comme l’amnésie d’un sujet bilingue qui n’affecte qu’une de ses deux langues. Introduit d’une façon scientifique, le problème du bi/plurilinguisme et de ses risques trouve dans le film un espace de représentation considérable, d’un point de vue politique et culturel. La référence à la réalité linguistique de l’Espagne – et de la Belgique –, par exemple, questionne le difficile rapport entre identité nationale et identité régionale. Tel question est en particulier posée de la coexistence