Le Prince

de connaître le nom de l'autre: il désire endormir sa prudence pour obtenir ce qu'il dédire savoir. Manipulation rhétorique. L'échange se poursuit jusqu'à la fin dans ce harcèlement, lutte déguisée. La Princesse de Clèves protège l'homme aimé, Le Prince de Clèves est habité par un désir de vengeance. III-La sauvegarde du secret: l'absence de dénouement. 1-Une parole détournée: rien n'est direct. Périphrases: « les périls où se trouvent quelquefois les personnes de mon âge » « J'ai des

| |ARRÊT du parlement séant à Paris qui annule tous traités faits ou à faire qui appelleraient au trône de France un prince ou une | |princesse étrangère, comme contraire à la loi salique et autres fois fondamentales de l'état. Paris, 28 juin 1593 | |

La Princesse de Clèves parle du rôle des femmes dans la littérature au XVIIe siècle. Il appartient au courant littéraire → préciosité -Eloge de l'amour, de la vertu etc..- résumé: Elle rencontre par hasard le prince de Clèves en allant chez un bijoutier, le prince tombe fou amoureux de cette femme, mais ne la connais pas → demande en mariage → elle dis oui, mais n'est pas forcément très intéresser. MAIS lors d'un bal pour feter les fiancailles, elle tombe amoureuse d'un duc important

passions des personnages sont découpés et analysés par l’autre pour donner une meilleure compréhension de la psychologie des humaines, et ‘le regard’ joue un grande partie. Il y a beaucoup de silence dans la cour dans La Princesse de Clèves, les princes, ducs, et princesses parlent très peu mais ils regardent tous ce qui passe. Par conséquent, des ragots répandent dans toute la cour. ‘Le regard’ dans le roman de Madame de Lafayette, est utilisé dans des moyens différents pour démontrer la réalité

de Montpensier est la fille unique du marquis de Mézières et l’héritière de la maison d’Anjou. Cette jeune était aimée et aimait le jeune duc de Guise. Elle épousa finalement le prince de Montpensier par pure arrangement familial. Le duc de Guise en fut extrêmes jaloux et une haine naquît entre le prince et lui. Le prince emmena sa douce à Champigny. Là elle rencontra le comte de Chambannes qui l’instruisit pour la rendre « en peu de temps une des personnes du monde la plu achevée ». Une grande amitié

roman psychologique (ou roman d’analyse). Intrigue se pas à la cour des Vallois sous le règne d’Henri II. Héroïne : Mademoiselle de Chartres est une jeune femme de 16ans dotée d’une grande beauté + toutes les qualités de cour et d’esprit va épouser le Prince de Clèves, pour elle c’est un mariage de raison, pour lui c’est la passion. Problème, elle rencontre Mr de Nemours lors d’un bal et c’est le coup de foudre. Cette rencontre bouleverse le destin des 3 personnages, qui font se retrouver prisonniers

Ce texte est un extrait de La princesse de Clèves écrit par Mme de La Fayette en 1678. Dans ce passage Mlle de Chartres devenue Mme de Clèves après son mariage avec le prince de Clèves se pare pour assister au bal, à la cour d'Henri II . Cet extrait est une description de la rencontre entre Mme de Clèves et M. de Nemours. Dans une premières partie nous mettrons en évidence les points communs entre les conditions de leur rencontre et celles qui ont lieu dans les contes féeriques. La rencontre

du XVIIe siècle (1re). Sujet L’action se déroule, en 1558, à la cour du roi Henri II. Mademoiselle de Chartres, jeune fille de seize ans élevée par sa mère selon de rigoureuses règles de morale, paraît pour la première fois au Louvre. Le prince de Clèves, ébloui par sa beauté, la demande en mariage. Mademoiselle de Chartres accepte ce mariage de raison. Trop tard, la Princesse de Clèves rencontre le duc de Nemours, un coureur de jupons. Naît entre eux une passion immédiate et partagée, à

premier roman moderne. En effet, l'auteur explore la psychologie de ses personnages, dépeint les mœurs et les comportements à la cour du roi Henri II. L'intrigue du roman se concentre sur Mlle de Chartre qui accepte de se marier par raison avec le prince de Clèves. Toutefois, elle s'éprend du Duc de Nemours dont elle fait la rencontre lors du bal donné par le roi pour les fiançailles de sa fille. C'est cette première rencontre que nous allons étudier, qui témoigne à la fois de la passion naissante

suivre, ayant seul le pouvoir de se faire un passage au travers du bois. Le Prince ne savait qu’en croire, lorsqu’un vieux Paysan prit la parole, et lui dit : — Mon Prince, il y a plus de cinquante ans que j’ai ouï dire à mon père qu’il y avait dans ce Château une Princesse, la plus belle du monde ; qu’elle y devait dormir cent ans, et qu’elle serait réveillée par le fils d’un Roi, à qui elle était réservée. Le jeune Prince, à ce discours, se sentit tout de feu ; il crut sans balancer qu’il mettrait