Le Prince

registre réaliste, et le registre polémique. Cette œuvre est l’histoire d’un amour impossible entre la jeune et très belle Mademoiselle de Chartes, et le Duc de Némours. Mademoiselle de Chartes deviendra par la suite, la Princesse de Clèves, épouse du Prince de Clèves. L’intrigue débute lors d’une soirée à la cour : La Princesse de Clèves fait la rencontre de l’homme qui bouleversera sa vie, Le Duc de Némours. Entre ces deux personnages, naîtra un lien fort, un amour partagé et immédiat. II. Travail

 Texte 1 : La Princesse de Clèves (1678) Mme de La Fayette Mlle de Chartres est l'héroïne de ce roman, elle va épouser le prince de Clèves. Sur l'auteur : Mme de La Fayette (1634-1693) fréquente la cour d'Henriette d'Angleterre (femme de Monsieur, frère de Louis XIV). Elle est proche de Mme de Sévigné et La Rochefoucauld. Sur le roman : Il sort en 1678, l'auteur est inconnu a l'époque(on ne sait pas pourquoi Mme de La Fayette a fait ça). C'est le premier roman psychologique car

publiée en 1662. Il s'inscrit dans le mouvement du classicisme au 17ème siècle. Mme De Lafayette décrit son époque contemporaine, et respecte les règles de la vraisemblance et de la bienséance. L'histoire est celle d'une jeune fille qui va épouser un prince malgré son amour pour un autre homme, venant de la famille opposé les De Guise. Nous expliquerons comment l'auteur met il en évidence à travers le destin tragique de la princesse de Montpensier la condition de la femme du 16e siècle. Tout d'abord

faiblesses et désirs de son héroïne. Ce roman a été écrit au 17e siècle (en 1678 ) mais la scène se passe au 16e siècle à la cour d'Henri II. C'est un des premiers romans psychologiques : c'est l'histoire de Mlle de Chartres, qui a rencontré le Prince de Clèves qui tombe éperdument amoureux d'elle ils se marient mais cette dernière ne l'aime pas. Elle va faire la rencontre du Duc de Nemours, entre eux va se découler une véritable passion malgré elle , son mari l'apprenant meurt de désespoir , la

regards croisés -On suit d’abord le regard de Mme de Clèves par des actions rapides et des aspects visuels (Ex : PS «vit» hésitation sur l’identité du duc de Nemours) admiration discrète mais soutenue (Litote pour suggérer sa beauté «Ce Prince était fait d’une...difficile de n’être pas surpris de le voir») puis, mise en lumière (Par le modalisateur «surtout ce soir-là») portrait laudatif (GN «l’air brillant») -Ensuite on suit le regard de Mr de N. soulignement de la beauté de Mme

NE FEMME DE DEVOIR 8-9 : mademoiselle de Chartres rencontre un homme de haut rang qui tombe amoureux de sa beauté: c'est le prince de Clèves 15-17 : Il la demande en mariage. Elle ne l'aime pas, mais accepte, sur les instances de sa mère, de l'épouser 19-20: la nouvelle mariée, madame de Clèves, rencontre le duc de Nemours au bal de fiancailles de la fille du roi. 47-49 Mort de madame de Chartres, mère bien-aimée et éducatrice de la princesse de Clèves ETAPES DE LA LUTTE CONTRE LA PASSION

de Lafayette. Première partie L'action se déroule, en 1558, à la cour du roi Henri II durant les dernières années de son règne. Autour du roi, princes et princesses rivalisent d'élégance et de galanterie. Mlle de Chartres, orpheline de seize ans, élevée par sa mère selon des règles strictes de morale, parait pour la première fois au Louvre. Le prince de Clèves, honnête homme d'une grande droiture morale, tombe amoureux d'elle dès qu'il l'aperçoit. Ebloui par sa beauté, il la demande en mariage

Fayette était en effet une grande précieuse. Quelques œuvres : * La Princesse de Montpensier : A la fin de la Renaissance, le duc de Guise s'éprend de Mlle de Mézières. Mais bien qu'elle l'aime aussi, la jeune fille est contrainte d'épouser le prince de Montpensier. Trois ans plus tard, un jour qu'il a perdu son chemin près du château de la princesse, le duc la rencontre au bord d'une rivière où elle est venue se reposer : elle rougit à sa vue, et lui-même comprend aussitôt que sa propre passion

familles et dans la noblesse il fallait aussi l'accord du roi: « Personne n'osait plus penser à Mlle de Chartres, par la crainte de déplaire au roi », il n'y avait aucune prise en compte des sentiments. La demande en mariage est faite aux parents: « Ce prince fit parler a madame de Chartres. ». Pourtant dans le texte de La Princesse de Clèves, on voit que monsieur de Clèves est amoureux de mademoiselle de Chartres: « il eut préféré le bonheur de lui plaire à la certitude de l'épouser sans être aimé. »

avec ses défauts physiques. La princesse n'est de même pas peinte au maximum de sa beauté . Les deux portraits sont présentés sur une même espace, reliés par un cadre richement orné et doré. Des phrases peintes au verso insistent sur la grandeur du Prince comme protecteur des arts.