Le Prince

Résumé de l'histoire : Le roman commence à la cour d'Henri II, en 1558. Mlle de Chartres, une jeune « beauté » orpheline âgée de seize ans et élevée par sa mère, fait son entrée à la Cour pour la première fois.Elle rencontre M. De Clèves, un prince qui tombe immédiatement amoureux d'elle. Elle accepte de l'épouser, mais sans être amoureuse de lui, d'autant qu'elle est encore jeune et inexpérimentée. Un jour, la nouvelle Mme de Clèves rencontre le duc de Nemours au cours d'un bal. C'est le coup

perfection il prouve l’examplarité du personnage. On nous dit même dans le texte qu’il n’est même pas comparable et qu’il montre sa supériorité, (l.10-11) et (l.15-16). Lexique laudatif pour le décrire. Hyperbole utilisée « chef-d’œuvre » (l.13), « ce prince » (l.13) c’est une référence à la noblesse, supériorité d’ordre moral et d’ordre social. Gradation par ordre croissant de ses qualités qui sont déjà exellente (l.14), antithèse avec le moins admirale et le mieux fait. Personnage d’exception, rhétorique

de Médicis craint d'être débordée par les chefs catholiques, qui reprochent à la monarchie de trop ménager les protestants. Pour sauver la monarchie, elle décide de prendre les devants et de faire éliminer les chefs protestants (à l'exception des princes du sang, Condé et Navarre, le jeune marié). Le massacre Le 24 août, fête de la Saint Barthélemy, avant le lever du soleil, Coligny est égorgé dans son lit et son cadavre jeté dans la rue et livré aux exactions de la populace. Les gardes et les

phrases nous permettent de conclure que cet homme parfait est admiré des femmes. La litote est utilisée dès la première phrase, avec l’expression du fait qu’être le plus beau du monde est la qualité la plus faible du duc. Ensuite, l’utilisation du mot « prince » le place dans l’excellence. La phrase 3 nous présente les sentiments et la passion qu’il suscite auprès des femmes qui sont toutes amoureuses de lui, alors que la phrase 4 nous montre comment lui se comporte avec elles. La phrase 3 est donc une

matrimonial, guidée par Mme de Chartres, sévère en morale, mais exigeante en matière d'alliances. Le fils du prince de Nevers en tombe follement amoureux, mais ne saurait être un bon parti, tant les familles de Chartres et de Nevers sont opposées. Le prince de Guise, amoureux lui aussi, doit suivre son parcours de cadet en allant, comme chevalier de Malte, combattre les Maures. Quant au mariage avec le prince de Montpensier, il ne peut se faire. Si bien que la jeune fille et sa mère se retrouvent bien seules

La princesse de Clèves (Madame de La Fayette) Résumé: Mademoiselle de Chartres vient tout juste d'arriver à la cour d'Henri II. Sa beauté est sans pareille et tout le monde l'admire notamment le Prince de Clèves et le Duc de Guise. Après une attente interminable, Mademoiselle de Chartres devint Madame de Clèves. Mais peu à peu, elle se rend compte qu'elle n'a d'yeux que pour le Duc de Nemours, un homme séduisant et fin. Le fait qu'ils se voient souvent fera redoubler d'ardeur leur passion. Mais

la noblesse: "roi", "reines", "dauphine", "prince", "la cour". On se trouve donc dans un cadre exceptionnel et distingué. - Mise en scène caractéristique du classicisme, tout semble parfait: "beauté", "air brillant", "louanges" = Cadre somptueux. B) Les personnages principaux: seuls d'exception. - Hyperboles et superlatifs sur le plan de la beauté et de la parure: "ce qu'il y avait de mieux fait et de plus agréable à la cour" l.1/2, "Ce prince était fait d'une sorte qu'il était difficil

Jacques de Savoie-Nemours (1531-1585), fils du duc Philippe de Savoie-Nemours, petit-fils du duc Philippe II de Savoie et cousin germain du roi François Ier de France : « Ce prince était un chef-d’œuvre de la nature ; ce qu’il avait de moins admirable, c’était d’être l’homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on a jamais vu qu’à lui seul ; il avait un

Le cliche de l’homme mystérieux et talentueux est donc mis en évidence ainsi que la fascination de l’héroïne pour ce personnage. D’autres textes renouvèlent la scène du bal. Dans Vanina Vanini de Stendhal, la princesse danse avec plusieurs princes et nobles. Mais aucune fascination ou passion nait de ses danses. Lorsque la rumeur d’un jeune prisonnier arrive à la cour, un des prétendants demande qui donc pourrait faire éprouver des sentiments à la princesse, qui répond que le « carbonaro »

admiration » (l.21-22) ce qui provoque un changement irrémédiable : (l.41à 43), le Duc de Nemours avoue avoir reconnu Mme de Clèves mais celle-ci ne veut pas admettre qu’elle a reconnu elle aussi le Duc de Nemours car elle vient de se marier avec le Prince de Clèves. L’arrivée du Duc marque pour le Princesse de Clèves, la rupture d’un ordre rupture dont elle ne veut rien laisser transparaitre aux yeux de la cours, considéré désormais par elle comme ennemie. Cl : Le récit de cet évènement attendu allie