Le Procès De Meursault

Dans le roman d’Albert Camus, le personnage de Meursault n’a pas d’histoire, aucune profondeur psychologique, pas même une identité complète, on sait qu’il vit en Algérie française mais par exemple il n’a pas de prénom. Nous n’avons aucune description physique due à la technique du journal intime, seules les sensations peuvent nous donner plus de précisions. Nous ne pouvons pas nous permettre de prétendre le connaître, encore moins de le juger. Nous sommes frappé par l’absurde, dès l’incipit du roman ;

longue, ce qui le distingue de la nouvelle registres: le pathétique (comportement de mersault,qui provoque chez le lecteur de la pitié),le comique de l'absurde (absence de logique) themes: Résumé: Le roman met en scène un personnage-narrateur, Meursault, vivant en Algérie française. Le protagoniste reçoit un télégramme lui annonçant que sa mère vient de mourir. Il se rend à l’asile de vieillards de Marengo, près d’Alger, et assiste à la veillée funèbre, puis à la mise en bière .(La mise en bière

interne car le narrateur est le personnage principal mais il y a, à des moments un point de vue externe parce que Meursault ne parle que des apparences, il n'explique rien, il ne va pas au-delà de ce qu'il voit. Le narrateur n'est pas omniscient car c'est le personnage principal. « J'ai pris l'autobus à deux heures. » (p.9) Le narrateur est le personnage principal c'est-à-dire Meursault. « Aujourd'hui, maman est morte. » (p.9) L'époque, les moments On ne sait pas exactement à quelle époque

mère, à Marie qui l’aime, …) Il s’agit d’un personnage naïf qui ignore toutes les conventions sociales et donne libre court à ses réactions absurdes. À cause des 4 coups de pistolet, Meursault goûtera la vie de la prison (une période de privation et d’insatisfaction à l’attente de la sentence inéluctable). -> Meursault est l’image du citoyen du XXe qui n’a que la complexité, l’étrangeté de ses comportements face à l’absurdité du monde. • L’affaire de ne pas pleurer sa mère se trouve privilégié aux

Les auteurs abordent l’absurdité de la condition humaine, thème largement abordé dans l'œuvre. Résumé court en 10 mots de l’intrigue Algérie ; Procès ; Meurtre ; Arabes ; Raymond ; Revolver ; Mort ; Indifférence ; Etranger On nous raconte l’histoire de Meursault, un homme vivant en Algérie. Dès le premier chapitre, on apprend la mort de la mère de Meursault. Elle logeait dans un hôpital psychiatrique. La mort de sa mère annoncée par télégramme, ne lui fait éprouver aucune émotion. Pas un pleure, pas

apparaissent dès le premier chapitre, lors de la veillée mortuaire (P. 17-19 dans l’édition Folio). Durant cette cérémonie, Meursault est « aveuglé par l’éclaboussement soudain de la lumière » que le concierge de l’asile vient d’allumer. Celle-ci le dérange profondément, il va jusqu’à lui demander de l’éteindre tellement elle le trouble. La lumière est à l’origine d’un changement chez Meursault. Il souligne lui-même cette transformation : « Je les voyais comme jamais je ne les avais vus […] » Son regard sur

scène un personnage narrateur, Meursault, vivant en Algérie française. Le protagoniste reçoit un télégramme lui annonçant que sa mère vient de mourir. Il se rend à l’asile de vieillards de Marengo près d’Alger et assiste à la veillée funèbre, puis à la mise en bière et aux funérailles sans prendre l’attitude de circonstance que l’on attend d’un fils endeuillé. Le héros ne pleure pas, ne veut pas simuler un chagrin qu'il ne ressent pas. Après l'enterrement, Meursault décide d'aller nager, et rencontre

la mère Ch.1: la nouvelle de la mort de la mère de Meursault / l'hospice / la veillée / l'enterrement Ch.2: le réveil le samedi / Marie / le cinéma /le dimanche Ch.3: au bureau / avec Emmanuel : course pour monter sur le camion / Céleste / les voisins : Salamano et son chien; Raymond Sintès Ch.4 : dimanche (résumé rapide des événements de la semaine). Récit du samedi avec Marie : la plage à quelques kilomètres d'Alger; retour chez Meursault. Marie, Salamano, Sintès et la femme, l'agent chez Sintès

(…) » ; ce qui, pour lui « (…) suppose qu’on a reconnu, même instinctivement, le caractère dérisoire de cette habitude, l’absence de toute raison profonde de vivre, le caractère insensé de cette agitation quotidienne et l’inutilité de la souffrance ». Meursault dans L’étranger se débat dans ce « cycle de l’absurde » de l’existence. Dans la deuxième moitié du 20ème siècle, Ionesco parle de l’absurde comme relevant d’un caractère illogique et inerte de l’existence. La preuve de l’absurde, c’est de poser

de la mère du narrateur Meursault. Peu après l'enterrement, Meursault retrouve Marie qui devient sa compagne. Il se retrouve impliqué dans les bagarres de son voisin, Raymond Sintès, proxénète, à qui il rend service. Il finit par tuer un homme. La deuxième partie du livre comporte 5 chapitres. On retrouve les détails du procès de Meursault jusqu'à sa condamnation. Résumé chapitre par chapitre: 1ère partie Chapitre 1: Le narrateur, Meursault, vient d'apprendre le décès