Le Progres Deshumanise T Il Les Hommes

descriptif : Complexité de l’Humain à suivre le rythmedu progrès. | « et tout élève de nos écoles qui n’aura pas été mis à même d’enrichir le savoir acquis, risque de perdre tout pouvoir technique »«L’esprit humain pourra t-il évoluer lui aussi et assez vite pour maîtriser les forces incohérentes qui tentent de l’asservir ? »« pour la jeunesse un climat défavorable à son équilibre et à son progrès moral » | Complexité du progrès sur l’Homme. | « problèmes redoutables tels que […] les armes

des Contemplations, au livre III, dans la section « Les luttes et les Rêves », écrit et publié par Victor Hugo en avril 1856. Le poète engagé dans les causes sociales de son époque, dénonce dans ce texte le travail des jeunes enfants, soumis à la folie des hommes cupides. Nous allons étudier les différents moyens utilisés par l'auteur pour argumenter ses idées. Dans un premier temps, le lecteur est fortement ému à la lecture du poème. C'est une stratégie de la part du poète afin de faire prendre

dans le thème des effets de la technique , plus particulièrement des progrès techniques , sur le travail. L’auteur cherche à montrer que le travail tel qu’il est imposé par le Fordisme profite aux maîtres , leur permet d’accroitre leurs bénéfices , au détriment des ouvriers qui , eux , bien que premiers concernés , sont laissés pour compte et n’entrent pas en considération. Il faudrait alors se demander si les apports du progrès technique sont une raison suffisante pour expliquer et excuser l’exploitation

l’homme. C’est par le technique que l’homme semble être devenu homme car l’homme mobilise sont intelligence pour satisfaire ses besoins. Ainsi, selon D. Bourg, philosophe des techniques, l’humanisation s’est effectuée à travers l’usage des outils. Les hommes ont commencé, à travers les premiers outils, à manipuler leur environnement. Puis, est venu le langage, faculté symbolique. Le mythe de Prométhée nous le montre d’ailleurs très bien. L’homme qui a été oublié lors de la distribution des qualités c’est

élévation avec l’expression « voir le ciel » v 3 image méliorative présente seulement à travers les 3 premiers vers 2) ville barbare et sanguinaire image brute, violente de la ville, les « humbles animaux » v 35 sont victimes de la cruauté des hommes image aussi des « millions » (anaphore) d’animaux tués « tous les jours » v 7 (idée de banalisation) vision d’une ville monstre, un hachoir à viande C- Une société déshumanisée La ville semble peuplée davantage par les animaux, l’homme est

VA : V Banques sous forme d’intérêts pour rémunérer les capitaux emprunts Propriétaires actionnaires sous forme de dividendes L’entreprise sous forme de profit 2) L’entreprise est le vecteur de la diffusion du progrès technologique : La plus part des progrès technologique son du au investissement des entreprises que se soit en recherche fondamental (scientifique et théorique), les investissements en recherche appliqués aboutissant a des inventions permettant une application industriel

futurologie : l’optimiste (dans un siècle, les sciences auront résolu les difficultés et l’humanité vivra cet avenir radieux que les utopies lui ont toujours promis), et la pessimiste (on aura sombré dans un univers déshumanisé à la Matrix (film de science fiction où les machines contrôle les hommes), où l’homme sera au mieux un poids, au pire un souvenir pour les machines). Ce sont ces perspectives qu’interroge Jean-Michel Besnier. Dans Demain les posthumains, le philosophe propose une réflexion sur la

Le Mondain, Voltaire (1736) Introduction Le luxe et la civilisation sont au coeur des préoccupations du XVIIIe siècle, marqués par les progrès de l'économie et du commerce. Montesquieu, Diderot et Rousseau s'y sont beaucoup intéressés. Dans le Mondain , Voltaire poète (ce n'est pas son meilleur champ d'écriture..) revendique son amour du « luxe » et de « l'abondance » de façon un peu provocatrice, et définit sa conception du bonheur. Derrière le mélange des tons, et sous un badinage

conséquences physique que cela a provoquer aux soldats, les hommes au tour du guéridon, sont déshumaniser, au première regarde on peut les confondre avec une sorte de robot. Mais pourtant ce sont bien les survivant de la guerre 14-18. Otto Dix, montre aussi que la chirurgie n’était pas en manque d'imagination, grâce a la guerre ou a cause la guerre la chirurgie a pue faire d’énorme progrès. Il dénonce la brutalisation de la guerre,ces hommes sont devenues des montres ! L'influence de l'oeuvre :

vivre… Ainsi, on peut déjà souligner qu’on qualifie de barbare, celui qui est différent de nous. Pour les grecs et les romains, le barbare c’est l’étranger, celui qui n’est pas civilisé. Croire à la barbarie, c’est croire qu’il y a des « sous-hommes » ou des hommes destinés à être esclaves par nature. Le critère qui permet de reconnaître que quelqu’un est barbare n’est autre que sa croyance à l’existence de barbares. En effet, celui qui croit à la barbarie déclare qu’une partie de l’humanité n’appartient