Le Progrès Technique Entraîne T Il Le Chomage

croissance économique qui se situe entre 1945 et 1973. Cette croissance a lieu dans une grande majorité des pays développés. La seconde guerre mondiale est a l'origine de ce nouvel âge d'or des sciences et des techniques, en effet de nombreux domaines vont connaître un essor considérable. Ce qui va entraîner des transformations économiques et sociales. Pourquoi cette croissance est-elle dite « exceptionnelle » et qu'elles en sont ses limites ? Dans une première partie nous verrons les caractéristiques de cette

l’Ouest, l’Amérique du nord, l’Australie et le Japon. Section 1 : Le monde préindustriel Chapitre 1 : Les caractéristiques et l’évolution de l’économie ancienne (avant 1700) 1. Prédominance de l’agriculture mais non stagnante : il y a des progrès qui influencent l’évolution démographique. C’est l’essentiel de l’activité éco : 80% de la pop est paysanne. Agriculture peu rentable : faibles rendement. 2. Crises de subsistance (= sous-production) dépend du climat. 3. Echanges limités

service est multiple et dont l’objectif est de satisfaire l’individu dans sa recherche, c’est pourquoi il est nécessaire de s’interroger sur les impacts économiques et sociaux des NTIC. Économiquement parlant les NTIC ont été la solution idéale au progrès d’entreprises et donc de la société. D’après les documents, durant la révolution industrielle si on prend l’exemple du fordisme, ce dernier a été qualifié de réelle révolution améliorant ces modes de productions. On parle de travail à la chaîne, les

l'on fait puisqu'elle consiste à remettre une consommation à plus tard. L'effort solidaire veut dire que pour progresser et pour améliorer les conditions d'existence de chacun, il faut faire un effort collectif. Cela pose la question complexe du chômage. De plus, l'effort doit être organisé, c'est-à-dire qu'il faut réfléchir à la manière dont on fournit notre effort. Pour satisfaire les besoins qu'ils éprouvent, on doit allouer des ressources rares entre des emplois alternatifs : Ainsi, la notion

intégrer la dimension écologique comme critère d'évaluation de la qualité de la croissance. Il existe aussi des indicateurs plus alternatifs, comme les indicateurs monétaires : par exemple l'indicateur de Bien-Etre Economique (IBED), l'indicateur de progrès véritables (IPV). Ils apportent une correction au PiB en traitant de différents coûts comme la pollution ou le travail domestique. Il existe aussi les indicateurs composites : ex le Baromètre des Inégalités et de la Pauvreté (BIP 40). Ce sont des

essentiellement professionnelle. Les recettes vont dépendre du niveau de l’emploi. Un chômage important va faire diminuer le volume des cotisations prélevées puisque les chômeurs ne cotisent pas. Parallèlement à cela, en période de difficultés économiques, les salaires restent stables et les cotisations qui en découlent aussi. Il n’y aura pas de compensation avec la diminution des cotisations liées à la montée du chômage. Pour relancer l’emploi, des mesures peuvent être prises par le Gouvernement

des facteurs capital et travail mais aussi par le progrès technique qui permet l'amélioration des techniques de production ou l'apparition de nouveaux produits grâce à l'innovation. Il est donc possible de se demander quels liens existent t'il entre la croissance économique et le progrès technique. Dans un premier temps nous verrons que le progrès technique entraîne la croissance puis dans un second temps que la croissance favorise le progrès technique. En mettant au point le travail à la chaîne à

économiste hétérodoxe autrichien, a mis en évidence le rôle déterminant de l’innovation dans l’impulsion du système économique. Pour lui, l’innovation que l’on peut définir par l’application réussie et la commercialisation d’une invention va donc entraîner la croissance économique, c'est-à-dire, d’après François Perroux, l’augmentation soutenue pendant une ou plusieurs périodes longues du produit global en terme réel. On peut cependant s’interroger : pourquoi l’innovation est-elle source de croissance

les ménages d'une même société. La politique de redistribution a pour objectifs de lutter contre les inégalités économiques et sociales et de couvrir la population contre les risques sociaux (maladie, vieillesse, chômage…) . Elle est essentielle pour favoriser les progrès sociaux en matière de santé, d’éducation et d’amélioration du niveau de vie. Mais ces dernières années son financement et les dépenses liées à sa mise en œuvre son de plus en plus remis en cause. Les priorités

entre les ménages d'une même société. La politique de redistribution a pour objectifs de lutter contre les inégalités économiques et sociales et de couvrir la population contre les risques sociaux (maladie, vieillesse, chômage…). Elle est essentielle pour favoriser les progrès sociaux en matière de santé, d’éducation et d’amélioration du niveau de vie. Mais ces dernières années son financement et les dépenses liées à sa mise en œuvre sont de plus en plus remis en cause. 1) Le caractère redistributif