Le Progrès Technique Est Il Libérateur

anthroposociale ? Marx croyait en la rationalité profonde de l'histoire; il croyait le progrès scientifiquement assuré, il était certain de la mission historique du prolétariat pour créer une société sans classes et un monde fraternel. Aujourd'hui, nous savons que l'histoire ne progresse pas de façon frontale mais par déviances, se fortifiant et devenant tendances. Nous savons que le progrès n'est pas certain et que tout progrès gagné est fragile. Nous savons que la croyance dans la mission historique du prolétariat

intellectuels ( avocats, philosophes, politiciens, etc..). On oppose au travail , le repos, le loisir , le chômage. Dans sa définition, la technique est l'ensemble de procédés, de savoir-faire permettant la fabrication d'un objet utile. La technique est aussi l'application de la science. Quels liens y a t-il entre travail et technique ? 2. Le travail comme contrainte et comme fatalité a ) L'idée de la nécessité contraignante Pour vivre, il faut manger, c'est à dire

division du travail comme indispensable à la productivité, et négligent totalement l’aspect humain. On retrouve la même la logique de glorification du travail dans le communisme où le sacrifice de l’individu, sa soumission à l’effort collectif au nom du progrès et du bien-être collectif est largement défendu. Cependant la stratégie de l’auteur n’est pas la réfutation directe de cette idéologie de glorification du travail, Nietzche critique la valeur morale qu’on attribue au travail en soulignant les « arrières

d'Enlightenment) et en Allemagne (Aufklärung), est né dans un contexte technique, économique et social particulier : ascension de la bourgeoisie, progrès des techniques, progrès de l'organisation de la production et notamment des communications, progrès des sciences souvent appliquées au travail des hommes.   les philosophes des Lumières font référence à la nature et témoignent d'un optimisme envers l'histoire, fondé sur la croyance dans le progrès de l'humanité. L'affirmation de ces valeurs les conduit à

l'opium du peuple »]. Adepte de la philosophie de Hegel (1770-1831), il développe dans ce texte une de ses idées selon laquelle le travail est dans son essence libérateur. Mais en quoi le travail est-il libérateur ? Devenu sociologue, il change sa réflexion et constate que dans la société industrielle, le travail n'est plus libérateur. Il s'exerce ensuite en tant qu'économiste politique et affirme alors que c'est l'économie capitaliste qui a asservi les travailleurs, à laquelle il opposera son

determination peut devenir prospere. La diffusion du mode de vie americain (alimentation,vetement,musique…) en Europe de l’Ouest est apparu des la liberation avec la distriution de produits tels que Coca-Cola ou encore de chewing-gum. Les progres techniques du cinema, de la radio, de la televison expliquent aussi la circulation de la culture americaine des le debut des trentes glorieuses. La diffusion de ce modele se fait donc de differentes manieres. Inconsciament, nous sommes tous influence par

LE TRAVAIL ET LA TECHNIQUE I. Travail et technique : 2 contraintes et 2 fatalités pour l’homme 1. Définition Le travail vient du mot latin « tripalium » qui était un instrument de torture destiné à ferrer les chevaux. D’emblée, cette étymologie du travail suggère certains de ses aspects : pénibilité, fatigue, torture, dureté. Travailler est dur physiquement et épuisant psychologiquement. On distingue 2 types de travail : le travail manuel et le travail intellectuel. Les Grecs dépréciaient

des contraintes que semble impliquer toute activité laborieuse. Sans doute admettons nous implicitement que le travail est utile ou nécessaire, mais chacun rêve d’y échapper. La division du travail montre aussi la perte d’humanité. Le progrès technique en est la cause, car l’invention de la machine outil va obliger le travailleur à répéter les mêmes gestes et à n’être qu’un maillon dans une chaîne. L’homme perd alors sa dignité humaine. Le travail ne permet donc pas l’épanouissement personnel

La technique déshumanise t-elle le travail ? Si depuis le début de l'histoire de l'homme les siècles se sont succédés, certaines notions restent proprement humaines et accompagnent celui-ci jusqu'à nos jours. Pour Karl Marx, l'histoire de l'homme est une succession de modes de production caractérisant une société à un moment donné de l'histoire. Ainsi se sont succédés les modes de production primitif (-3500 av JC), antique (500 ap jc), féodal (fin XV), et enfin capitaliste qui caractérise nos

règles, sur quatre règles : 1. Un régime de droits de propriété (reconnus, échangeables, défendus)       L'économie de marché commence par la protection de la propriété intellectuelle (les brevets par exemple), car il s'agit d'un véritable libérateur des initiatives. Cette protection s'étend ensuite logiquement à la propriété matérielle des entreprises et, tout particulièrement, à la décision de produire tel bien, ici et maintenant, avec les facteurs de production choisis. Les difficultés de