Le Président Clé De Voute

La Ve République enjeu de la présidentielle ? Tous les 5 ans désormais la vie politique se focalise sur l’élection présidentielle, un temps fort dans la vie démocratique française. Le Président (Pdt)) fait figure de proue et clé de voûte du régime fondé suite aux évènements algériens. René Coty (dernier président de la IVe République) en appelle  en mai 1958 « au plus illustre des Français» pour proposer la présidence du conseil à de Gaulle le 1er juin 1958 (Régler la question algérienne et constitution

Algérienne ». Sous la pression des militaires, le président de la république somma les parlementaires d’investir De Gaulle en tant que chef du gouvernement. Par la suite, le général s’appliqua, avec l’aide de nombreux acteurs politiques, à rédiger une nouvelle constitution pour la France. Les bases de la Constitution de 1958 furent d’ores et déjà posées par le Général De Gaulle dans son discours de Bayeux en 1946. Dans ce discours, il y présente un président fort, ce qu’il considère comme une condition

politiques : monarchie constitutionnelle, république, empire ou encore monarchie absolue. Le pouvoir exécutif est ainsi détenu par des personnes aux titres très différents : Roi de France, Roi des français, Directeur, Consul, Empereur, Président de la République ou même Président du Conseil. L'exécutif évolue suivant les intérêts de ses détenteurs : le paramètre principal de cette évolution est la volonté d'élargir ou non la démocratie. Ces questions sont réglées par la constitutionnalité ; une nouvelle

Dissertation : Le Premier ministre sous la Ve République, est-il un simple « collaborateur » du Président de la République ? Lors d'un déjeuner avec des journalistes de la presse quotidienne régionale à la fin du mois d’août, le président de la République Nicolas Sarkozy a déclaré : «Le Premier ministre est un collaborateur, le patron, c'est moi» (Sud-Ouest). Faisant suite à cette déclaration, le Premier ministre François Fillon s’est efforcé de nuancer cette affirmation : «C’est une expression

« le point culminant » d’une décennie de conflit militaro-politique qui a rythmé la récente histoire du pays. L’élection présidentielle que tous les ivoiriens appelaient de leur vœu et que bon nombre d’africanistes avertis considéraient comme la clé de voûte du processus de sortie de crise, voire la condition sine qua non pour l’instauration d’une paix durable dans le pays, s’est révélée être la source de graves tensions. En effet, c’est le refus de Laurent Gbagbo de céder le pouvoir à son challenger

Le gouvernement démissionne, le Président René Coty fait appel à de Gaulle pour instaurer un nouveau gouvernement. De Gaulle a pour objectif d’instaurer une nouvelle constitution, car il ne souhaite pas gouverner dans le cadre des institutions de la IVe République. Section 1. L’élaboration de la constitution de 1958 La Ve République met en place un régime hybride, elle est conçue comme un régime parlementaire dans lequel on a renforcé les pouvoirs du Président de la République, il emprunte donc

Émergence d’une nvlle figure : président de la République. Chef d’État = clé de voute du régime. Ila des pvrs propres : des pvrs qui sont dispensés de contre seing. Sont inventés des pvrs énuméré dans l’article 19 de la C°. Échappe à la logique de contre seing. Des pvrs qui vont être la propriété du chef de l’État. Ce dernier contre la logique mondiale du plmentaire va réapparaitre. Renaissance du parlementarisme dualiste : chef de l’État renait de ses cendres, ce qui fait qu’il y a deux têtes :

potentiels et devient en 1928, le maître incontesté de l'URSS. Dans une Allemagne ravagée par la grande dépression, la forte poussée électorale du parti nazi permet à son chef, Adolf Hitler, d'être nommé chancelier le 30 janvier 1933 par le vieux président Hidenburg. Ces 3 hommes imposent à leur pays un État totalitaire. Cet État entend non seulement exiger une totale obéissance de la population mais aussi diriger la vie privée et la conscience de chaque individu afin de modeler un homme nouveau

proche avenir lors des élections présidentielles du printemps 2002. C’est précisément cette cohabitation, qui peut être définie comme la réunion de deux majorités politiques contraires sous un même toit, celui de l’exécutif, l’une incarnée par le président de la République, élu au suffrage universel direct depuis 1962 et l’autre par le Premier ministre, soutenu par une majorité de députés, que cherche à identifier l’auteur pour mieux la dénoncer. Fille de la pratique plus que de la théorie et de la

deceptions A. L'installation de la IV République Les enjeux d'une nouvelle constitution Octobre 1945 → les Français élisent une Assemblée et se prononce par référendum pour une nouvelle Constitution . Le Général De Gaulles réclame un président de la République fort afin de soustraire l'état à l'influence des partis politiques dans son discours de Bayeux en juin 1946 . 20 Janvier 1946 → De Gaulles quitte le pouvoir en réaction à ce qu'il appelle le régime des partis , élaboré par l'Assemblée