Le Rapport De Brodeck La Famille De Brodeck

les indices qui ont pu mener à cet acte. Structure et genre: -Le Rapport De Brodeck est un roman ayant comme registre dominant le réalisme. -la focalisation dominante est interne ( point de vue de Brodeck). Certains passages sont à la focalisation zéro principalement lors des analepses. -voici le schéma narratif de ce roman: Situation initiale: Brodeck, personnage principal a la mission d'écrire un rapport (dont lui seul est capable, sachant lire et écrire) sur le meurtre d'un

février 1962 à Dombasle en Meurthe-et-Moselle. En 2007, il publie un roman « Le Rapport de Brodeck » par lequel il reçoit le Prix Goncourt des lycéens. Ce roman narre l'histoire d'un homme nommé Brodeck. Il est chargé de rédiger un rapport sur l'Ereigniës (=L’Évènement), le meurtre d'un certain « Anderer ». Cependant, ce livre n'est pas le rapport en lui-même, mais le récit de son enquête, grâce à la mémoire de Brodeck, faisant émerger son passé, ses souvenirs de la guerre. Cette histoire semble

coeur Le rapport de Brodeck Dans un petit village inconnu de l'Est de la France, au milieu d'une guerre dont on entend seulement les lointaines rumeurs, vit Brodeck. Après avoir été déporté et s'en être sorti, il revient au village retrouver sa famille. Un étranger surnommé "l'Anderer" s'installe dans ce même village. Difficilement toléré, il est rapidement suspecté. Se produit alors un terrible evenement, "l'Ereigniss". Etant la seule personne ayant fait des études, Brodeck est désigné

Le rapport de Brodeck : résumé. Chapitre 1 et 2 Brodeck se rend dans l’auberge Schloss pour prendre du beurre, mais quand il entre il tombe nez à nez avec pratiquement tous les hommes du village, ils lui demandent de rédiger un rapport sur ce qu’ils ont fait et ce qu’il s’est passé car il sait écrire « lui ». Il se dit innocent et se sent fautif de savoir écrire. Il est confronté à ce grand groupe et par peur, car il sait ce dont les hommes sont capable, il accepte d’écrire (en réalité il n’a

accord on le tue. Brodeck est juif, il sera déporté séparé de sa femme, de sa famille, durant les années noires de l’holocauste. Philippe Claudel tel Primo Levi nous décrit l’indicible des camps d’extermination, des conditions de déportation, de la « vie » de déportés et de Brodeck le chien d’un nazi dans les camps de la mort. Le chien oui, il marchera à quatre pattes, en laisse, et dormira dans une niche… l’humiliation est à son comble, mais l’homme, Brodeck, survivra. Brodeck revient dans son

Le Rapport de Brodeck, Philippe Claudel, les animaux Dans ce livre, une évocation récurrente des animaux est présente, en effet, le lexique bestiale est beaucoup utilisé. L’auteur, fait beaucoup de référence sur la nature qui est le fondement même de l’être vivant, donc, sur le fonctionnement du règne animal. De plus, les animaux ont un rôle fondamental dans le déroulement de l’histoire. La loi du règne animal est régulièrement rapportée tout au long du roman au travers d’expressions tel que : le

Lecture analytique n°10 Philippe Claudel, Le Rapport de Brodeck, chapitre 11 (extraits) Nous étudions un extrait du roman Le Rapport de Brodeck de Philippe Claudel, paru en 2007. Cet extrait est situé dans la première partie du livre. Brodeck, le narrateur, revient sur des épisodes douloureux de son passé et notamment sa déportation dans ce qu’on devine être un camp nazi. Dans ce passage il tente, après sa libération du camp, de rejoindre son village et sa femme Emélia. Epuisé, il rencontre un

(gerbe) qui aime se poser devant l'atelier de son mari en espérant à tout prix se faire remarquer et ou idolatrer. Ernest-Peter Limmat par Edouard : Ernest-Peter Limmat est un ancien maître d 'école de deux générations ( ancien maître de Brodeck) âgé de plus de 80ans Ernest-Peter Limmat ne quitte pas sa maison. Il se tient sur une haute chaise ,face a son âtre où brule continuellement un feu odorant de charme et de sapin mêlés. Il regarde les flammes ,relis les livres de sa bibliothèque,

Comme on peut le voir dans Le rapport de Brodeck, Philippe Claudel nous propose a travers les yeux du personnage principal du roman, des camps de concentration ou les conditions de vie son inhumaineq, et ou le but n’est pas la productivité mais l’humiliation et la déshumanisation de ses captifs. C’est l’extermination, par le travail, les détenus sont plus considérés comme des humains mais comme des animaux, (un chien pour le cas de Brodeck.) Claudel, afin de nous sensibiliser, donne

avec Emélia retour au 10 juin. Chapitre 24 10 juin rappel de la guerre à partir de l'agitation des foules. "il y a longtemps", "à la Capitale", "pour les étudesé envoie de Brodeck par le village. + Ulli Rätte + université. Chapitre 25 Départ de Brodeck de la ville "avant la fin de ses études" à cause des rassemblements, manisfestations. "même phénomène le lendemain et les six jours qui suivirent". Description des ballades avec Emélia durant