Le Reel Est Il Necessairement Rationnel

16 3- La phase de réappropriation : 16 II- les théories de l'appropriation 17 1- La théorie de la conception à l’usage 17 2- La théorie de la mise en acte 17 Chapitre III : les regards sur la dynamique de l’appropriation 19 I- La perspective rationnelle : 19 II- la perspective socio- politique : 19 III- la perspective psycho-cognitive : 20 IV- la perspective symbolique : 20 Cas de l outil'' analyse des écarts '' adopté au sein du département du contrôle de gestion de l’OCP site de Gantour ‘’ EL

mène donc à chercher de quel ordre peut bien être cette illusion, et de quels dangers elle est la source. On se demandera ensuite s'il faut se méfier de l'amour au sens éthique : alors, cet amour est-il nécessairement lié au mal, et peut-être à l'extinction de la société? L'amour est-il nécessairement néfaste à l'homme, à la fois au sens physique et moral? Se méfier de l'amour, est-ce alors un devoir, une obligation morale? La réponse à ce questionnement ne suppose-t-elle pas qu' il y aurait plusieurs

clair). Remarquons cependant que pour pouvoir affirmer qu’un texte est clair, il faut l’analyser et donc l’interpréter. Cette méthode n’a aucune valeur scientifique. Il n’existe d’ailleurs pas une méthode mais des méthodes, sans qu’on puisse dire nécessairement laquelle a préséance sur l’autre. Il existe en effet une méthode classique, la méthode exégétique (A) et des méthodes plus modernes (B). Il existe aussi certains procédés techniques d’interprétation (C). A- LA METHODE EXEGETIQUE La méthode exégétique

ateur est_ Dissertation 2 : Le consommateur est-il rationnel ? La tradition aristotélicienne définit la rationalité comme l’adaptation des moyens aux fins, celles-ci étant cohérentes avec elles-mêmes. 1. La rationalité « optimisatrice »du consommateur : hypothèses et conséquences . La tradition libérale utilitariste, de A. Smith à J.S. Mill, suppose un agent économique qui maximise ses plaisirs et minimise ses peines; cette pensée a souvent privilégié le consommateur comme

Celui qui croit et celui qui sait ont un rapport direct avec la vérité. Celui qui croit tient pour vrai ce qui ne l’est pas nécessairement, l’autre possède un jugement objectivement conforme à la réalité. Un croyant peut même être intransigeant ou sectaire de son jugement : il n’accepte pas de critique quant à la vérité de ce qu’il croit. De la même façon, mais pour d’autres raisons, un savant, un scientifique ne remettra pas en doute une théorie largement prouvée. La différence réside dans la modalité

par ce qu’il appelle aussi bien l’ «intuitus mentis», c’est-à-dire l’intuition de l’esprit en latin. Le vrai, chez Descartes, est objet d’intuition, il est d’abord ce que je saisis, par intuition, si l’on n’entend par intuition la connaissance rationnelle et immédiate. Du fait qu’il est objet d’intuition le vrai est immédiatement présent à moi-même, à mon esprit. Est vrai pour Descartes ce qui est évident, de fait l’évidence c’est la lumière de l’esprit, et donc ce qui ne se démontre pas, car on

scientifique Dans son ouvrage essentiel : Le nouvel esprit scientifique (1934), Gaston Bachelard opère un dépassement du débat empirisme/rationalisme, tout comme Karl Popper, deux auteurs que l'on oppose parfois. Pour Bachelard, le matérialisme rationnel se trouve au centre d'un spectre épistémologique dont les deux extrémités sont constituées par l'idéalisme et le matérialisme. Dans son œuvre, Bachelard livre une critique sévère de l'inductivisme et de l'empirisme. Le fait scientifique est construit

La vérité dépend-elle de nous ? Le problème de l’essence de la vérité est le problème philosophique par excellence. On définit communément la vérité comme l’adéquation de la pensée avec le réel seulement cette définition pose plus de problèmes qu’elle n’en résout . Effectivement il ne faut pas confondre la vérité et la réalité, la réalité. Un jugement se compose d’un sujet , d’une appareille « est » et d’une caractéristique, comme par exemple quand je dis :« cette rose est rouge ». Autrement

renoncé à l’idée d’un beau académique, dont on définirait les règles à l’avance. Est beau, aujourd’hui, ce qui étonne, ce qui choque, ce qui est nouveau. Les critères classiques sont jugés trop réducteurs. La pluralité des cultures entrainent nécessairement des différences dans la conception de la beauté. Cependant, l’histoire de l’art et l’histoire de la philosophie ont repéré quelques critères, qui, s’ils ne sont pas entièrement repris aujourd’hui, ont influencé la création artistique. * Premier

spontanée est un obstacle épistémologique 2°/ La connaissance scientifique exige une triple conversion 1°/ Rôle des instruments de mesure : interaction théorie-pratique 2°/ La connaissance scientifique est une reconstruction théorique et technique du réel B/ De la perception spontanée à la connaissance scientifique C/ La construction du fait scientifique II/ Les procédures de l’intelligence conceptuelle : qu’est-ce que penser ? A/ L’intelligence conceptuelle produit des