Le Regard De Meursault

éclatement ... D à (( ...sur la porte du malheur. > (Chap.6, p.6tç-62) La mécanique tragique 4- Le réquisitoire du Procureur contre Meursault ou le procés de la société:miroir inversé de < Le fond de sa pensée... > à < ...rien que de monstrueux. > {Chap.4" p.i00-103) U n c h ef-d Io e uvre d, ar bitraire 5- la visite de I'aumônier: la révolte de Meursault de ( L'aunônier m'a regardé... > à ({ ..-et il a disparu. > ( chap.6, p. Un plaidoyer enfaveur de !, s étrangeré > 1 19-l2l) AUTOUR DU ROMAN: ffi

découverte d'une intériorité une rupture avec les codes traditionnels du roman le degré zéro de la conscience Une héros désincarnée L'indifférence de Meursault une logique déconcertante la lucidité comme nouvelle valeur La scène d'amour entre Meursault et marie la création du décor sensualité comme antidote face à l'absurdité de la vie Le meurtre de l'arabe Monologue tragique absurdité de la condition humaine

est présenté comme un jounal intime. Le personnage principal : Meursault. Un jour il tue un Arabe sur la plage d'un coup de feu sans motivation . La deuxième partie du roman traite du procès. Il est condamné à mort, non pas pour le meutre de l'Arabe mais pour son attitude face à la mort de sa mère : il est insensible : il n'a pas pleuré sa mort (mort de sa mère). Problématique : Qu'est ce qui caractérise le personnage de Meursault ? Plan : I-Un dialogue déroutant a-Une demande peu conventionnelle

L'enterrement de la mère correspond à une première initiation, le meurtre de l'Arabe à une deuxième, l'exécution de Meursault est l'initiation suprême. La veillée mortuaire et l'enterrement de la mère contiennent des notations lyriques. Au cours de l'enterrement, le soleil apparaît comme un ennemi menaçant avec lequel il faudra lutter. Mais c'est une initiation manquée: Meursault s'est laissé aller à la fatigue, manquant ainsi les épreuves. Sur la plage, au moment du meurtre de l'Arabe, il retrouve

en lien avec l’évolution du monde. Cela s’explique par le fait que cet être artificiel est porteur d’une vision de la société. Nous pouvons alors nous demander si la visée du romancier, quand il crée ses personnages, est de porter à travers eux un regard critique sur la société dans laquelle il les fait évoluer au cours de son roman ? L’auteur a-t-il pour but, à l’aide des personnages qu’il fait naître, de faire la satyre de la société ? Nous allons voir dans un premier temps qu’il est récurrent

Dans ce passage, le perso-narrateur Meursault est retourné seul sur la plage après une altercation opposant son ami Raymond et deux Arabes. L'un d'eux est le frère de l'ancienne femme de Raymond. Le Narrateur a sur lui le revolver de son ami. Il l'avait forcé à lui remettre pour éviter un débordement. Par hasard, il rencontre un des deux Arabes. Ce texte est poignant car sa progression dramatique semble reposer sur le hasard de la rencontre, et pourtant, de nombreux éléments font du dénouement

lecteur peut très bien s’intéresser aux personnages dont l’on ne connaît rien, nous pensons tout de suite à Meursault dans L’Étranger d’Albert Camus. C’est un personnage plus ou moins inconnu par le lecteur car nous ne savons rien de lui enfin presque rien, aucune émotion n’est éprouvée par le personnage. Nous savons juste les choix qu’il fait. Nous nous intéressons au personnage de Meursault car vu que nous ne le connaissons pas, nous voulons traquer absolument le moindre détail sur ce personnage

L’Étranger, Albert Camus (1942) Roman | ■ Un personnage-narrateur, Meursault, vivant en Algérie française reçoit un télégramme lui annonçant que sa mère vient de mourir, se rend à l’asile de vieillards de Marengo près d’Alger et assiste aux funérailles sans prendre l’attitude de circonstance que l’on attend d’un fils endeuillé (ne pleure pas, ne veut pas simuler un chagrin qu'il ne ressent pas) Un dimanche, Meursault, Raymond et Masson se promènent sur la plage, et croisent un groupe d'Arabes

ou d'action. Jusqu'à la rencontre de l'absurde, il avait l'illusion d'être libre mais était esclave de l'habitude ou des préjugés qui ne donnaient à sa vie qu'un semblant de but et de valeur. La découverte de l'absurde lui permet de tout voir d'un regard neuf : il est profondément libre à partir du moment où il connaît lucidement sa condition sans espoir et sans lendemain. Il se sent alors délié des règles communes et apprend à vivre « sans appel ». La passion Vivre dans un univers absurde consistera

s'arrêta seule dans la cour, pendant qu'un homme d'un âge avancé, qui paraissait lui servir de conducteur, s'empressait pour faire tirer son équipage des paniers. Elle me parut si charmante que moi, qui n'avais jamais pensé à la différence des sexes, ni regardé une fille avec un peu d'attention, moi, dis-je, dont tout le monde admirait la sagesse et la retenue, je me trouvai enflammé tout d'un coup jusqu'au transport. J'avais le défaut d'être excessivement timide et facile à déconcerter ; mais loin d'être