Le Regard De Meursault

discours intérieurs de la Princesse sont constamment rapportés, généralement par du discours indirect (« elle pensa que... »). On a accès aux pensées du pers.On trouve de nombreuses introspections (intro = à l'intérieur // spectare= regarder. L'introspection est le fait de regarder ce que l'on a à l'intérieur, c'est-à-die ce que l'on pense, ressent). De plus, la princesse se parle fréquemment, s'analysant à travers des soliloques (qui sont alors l'équivalent du monologue au théâtre, particulièrement dans

rivaliser avec le Destin, il se dirige donc à sa perte. Dans L'Odyssée, Cassandre n'a pas de pouvoir de divination. Dans les pièces de Sophocle ou Eschyle, elle aura ce don.) III/ une vision distanciée sur le personnage dans des romans qui présentent un regard critique sur l'homme et le monde Ainsi, le roman peut donner une image négative de l'homme en mettant en scène de simples personnages qui ne peuvent être qualifiés de héros puisqu'ils sont des anti-modèles : cela suggère que le

Malentendu. Le roman a été traduit en quarante langues et une adaptation cinématographique a été réalisée par Luchino Visconti en 1967. Le roman met en scène un personnage-narrateur nommé Meursault, vivant à Alger en Algérie française. Le roman est découpé en deux parties. Au début de la première partie, Meursault reçoit un télégramme annonçant que sa mère, qu'il a interné à l’hospice de Marengo vient de mourir. Il se rend à l’asile de vieillards en autobus, situé près d’Alger. Veillant la morte toute

Colloque Oralité et mondialitéMigration de la languePrenant appui sur « l’idéalité de la logique langagière et sa liaison avec l’ontologie » le mathématicien et philosophe du langage, Wittgenstein, affirmait « les frontières de ma langue sont les frontières de mon monde », autrement dit, il faisait l’hypothèse que le sujet est la frontière ontologique de la réalité concevable et respectivement exprimable par la langue. Le monde s’étale(rait) à la mesure de notre capacité de maîtriser la langue ;

élève qui a composé en temps limité. L’ÉTRANGER Meursault, l’Étranger de Camus, a tué un homme : pour cela, il est jugé et condamné à mort. Il n’a pourtant pas l’âme d’un meurtrier, et on ne peut mettre le meurtre de celui qu’on connaît seulement sous le nom de « l’Arabe » que sur le compte de la chaleur écrasante. Un ami, Raymond Sintès, avec lequel il se trouvait le jour du meurtre, tente de le défendre, mais ne réussit qu’à aggraver son cas. Meursault refuse de mentir à son procès : il est condamné

renvoyaient surtout à la France, et plus particulièrement à son occupation par les nazis ? Allant plus loin que la plupart des critiques, O’Brien observe que le choix n’est pas innocent : bien des éléments de ces récits (par exemple le procès de Meursault [dans L’Etranger]) constituent une justification furtive ou inconsciente de la domination française, ou une tentative idéologique de l’enjoliver. Mais chercher à établir une continuité entre l’auteur Camus, pris individuellement, et le colonialisme

point de vue objectif chercher descredit sous-jacent de CC, ne veut pas admettre leur sup face aux europs. Jean de Léry, Voyage en terre de Brésil, 1578 : dialogue avec un vieillard du Brésil = indigène + sagesse. JdL porte regard plein de sympathie ms regard inversé > x JdL regarde \ vieil ho porte jugement sur coutumes europs. > satire du comportement europ. Montaigne, Essais, « des Cannibales », 1595 : desescripion mélio NM mais péjo europs. > reproche de l’ETHNOCENTRISME > se croient sup aux autres

Ronde. Le duc de Nemours dans La Princesse de Clèves. On le trouve souvent présenté en opposition au héros positif. Vautrin, dans La Comédie humaine de Balzac. George Duroy, dans Bel-Ami de Maupassant. Emma Bovary, dans Madame Bovary de Flaubert. Meursault, dans L’Etranger de Camus. Le héros négatif L’anti-héros Son apparence : banal, ordinaire, voire laid Ses relations à la société : souvent à part, dans un monde qu’il ne comprend pas. Plusieurs personnages qui agissent ensemble dans un but commun

| |Objet d'étude |Le roman et ses personnages : vision de l’homme et du monde | |Problématique  retenue |Quelle vision du monde renvoie le regard de Meursault ? | |Lectures analytiques |Incipit (jusqu’à « pour n’avoir plus à parler ») | | |Demande en mariage

tous les éléments proposés ci-dessous, ni d'organiser son texte de la même manière. Éléments de réponse : Le point commun : le pouvoir de séduction des femmes évoquées dans ces quatre extraits de récits du 19ème siècle. Toutes sont vues à travers un regard masculin, ce qui oriente et exacerbe certains de leurs traits. Cela donne des représentations différentes de la séduction féminine. - Le pouvoir érotique du corps de la femme : déhanchement du bassin suggestif de Carmen, de la prostituée de Barbey