Le Regard froid

Adaptation à l'environnement climatique : - T° : chaud\ froid - Rayonnement UV - Haute altitude (mais on reverra pas car traité dans le chapitre écologie). - Température : le fait de s'adapter aux températures extrêmes, chaud et froid Règle de Bergman, ce n'est pas un dogme, càd ce n'est pas accepté par tous les biologistes. Bergman était un biologiste allemand du 19e siècle, il a émis l'observation suivante : les mammifères dans les zones froides ont une morphologie corporelle beaucoup plus massive

sont devenues l’un des portes flambeaux de la culture « pop ». La culture hippie et les héritiers de la Beat Generation ont été particulièrement imprégnés des ouvrages de Mc Luhan. Mots clés : médias, communication, médium, médias chauds, médias froids, message, sens. Première partie Cette première partie a pour intention de définir ce qu’est un média et de comprendre comment la société et l’homme sont influencés par l’intervention de l’ensemble des médias. Le message c’est le médium Le premier

Composition de la scène : Le texte suit un crescendo : Au début, torture de la faim : " les fringales arrivaient ", " les danses devant le buffet ", " les dîners par coeur " : fait écho à la scène de l'oie rôtie (contrepoint tragique) Puis évocation du froid : " la petite Sibérie de leur cambuse ", " ce gredin de décembre ", " il glaçait la pièce " Enfin, menace de l'expulsion : les Coupeau vivent finalement avec la menace d'être expulsés : " ce qui les exterminait, c'était par-dessus tout de payer leur

liard ») - passif (v.7 : « attendant »  ) B) Des conditions de vie difficiles - vulnérable car pris dans les aléas de la nature (v.1 « givre et le vent ») - conditions de vie précaires (v.6 : « niche ») - vulnérable car il a froid (v.14 : « grelottait de froid ») - conditions de vie difficiles (v.16 : « habits mouillés » ; vêtements usés au v.18 : « manteau mangé de vers et jadis bleu » + hyperbole v.20 : « mille trous » ; v.22 : « haillon désolée » ; v.27 : « bure » = vêtement pauvre)

dormaient dans sa chair assoupie.”p.26 Chap2:”elle possédait un sang froids suprêmes, une apparente tranquillité qui cachait des emportements terribles.Puis marié à Camille, Thérèse ne pouvait pas tomber plus bas, elle à une journée toute les mêmes et tous les jours:p.34 Chap3:”Thérèse vivant dans une ombre humide dans un silence morne et écrasant, voyait la vie s'étendre devant elle, toute nue amenant chaque soir la même couche froide et chaque matin la même journée vide.” Thérèse considère les personnes

alourdies, encombrées par les lourds manteaux, et la peau de leurs bras et de leurs fronts sem­blait encore plus sombre dans les voiles d'indigo. Ils marchaient sans bruit dans le sable, lentement, sans regarder où ils allaient. Le vent soufflait continûment, le vent du désert, chaud le jour, froid la nuit. Le sable fuyait autour. d'eux, entre les pattes des cha­meaux, fouettait le visage des femmes qui rabattaient la toile bleue sur leurs yeux. Les jeunes enfants couraient, les bébés pleu­raient

J'étais en chemin pour venir vous rejoindre quand une scène frappante s'est déroulée sous mes yeux : en effet, j'ai vu la misère même. Un homme encore jeune et pourtant à l'air si usé, si vieux ! Il semblait être de ses malheureuses personnes qui, d'un regard, vous font pitié. Nous en rencontrons tous les jours me direz vous. C'est injuste, certes, mais nous n'y pouvons rien. Mais ce pauvre homme avait l'air encore plus pitoyable qu'il côtoyait la Richesse. Comme si cela ne suffisait pas, un carrosse armorié

Enterré, là », « froid, sous sa pierre » - Un monde plongé dans l'obscurité : « nuit », « ombre », « sombre ». La lumière est circonscrite à la « lune », une « plaque en métal clair » et à l'œil « de lumière », difficile à apercevoir (« Vois-tu pas son œil de lumière…/ Non ») 2. Une promenade amoureuse qui dégénère - « Moi, ton soldat fidèle » et les tirets suggèrent un dialogue amoureux. - Une nature froide, peu romantique : la lune semble pâle, les éléments naturels semblent froids : « métal »

historique car Hugo fait preuve d'un grand réalisme. • Un intérêt symbolique car Hugo transforme ces trois personnages en symbole de la révolution. Texte : Le premier de ces trois hommes était pâle, jeune, grave, avec les lèvres minces et le regard froid. Il avait dans la joue un tic nerveux qui devait le gêner pour sourire. Il était poudré, ganté, brossé, boutonné ; son habit bleu clair ne faisait pas un pli. Il avait une culotte de nankin, des bas blancs, une haute cravate, un jabot plissé

Maurice, Voilà un mois que tu es parti, j'espère sincèrement que tes blessures guériront, mais que toi, tu ne reviendras pas. Car ici, rien n'a changé, l 'odeur est toujours aussi pestilentielle, la boue nous arrive encore jusqu'aux genoux, le froid, ce froid démentiel qui est de plus en plus insupportable à mesure que l'hiver approche. Quand aux Boches, eux, ils continuent de nous canarder, et à se faire canarder d'ailleurs. Ils ont failli avoir Boris, ces salauds, l 'obus est pas passé loin, mais