Le Regard froid

Etienne Lantier qui ouvre le livre. Zola met en avant, lors des premiers paragraphes, un homme complètement accablé par le froid : « Il marchait d’un pas allongé », « grelottant » (p.51, l.13), « les deux mains…que les lanières du vent d’est faisaient saigner »(p.51, l.18-19), « Une seule idée occupait sa tête vide d’ouvrier sans travail et sans gîte, l’espoir que le froid serait moins vif après le lever du jour »(p.51, l.19-21), « il ne put résister au besoin douloureux de se chauffer un instant

four stellaire, où durcissant elle s'est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses… Et tous ces plans dès lors si nettement articulés, ces dalles minces où la lumière avec application couche ses feux, - sans un regard pour la mollesse ignoble sous-jacente. Ce lâche et froid sous-sol que l'on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges : feuilles ou fleurs y sont comme des sœurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois. Lorsque le pain rassit ces fleurs fanent et se rétrécissent

POEMES Quand je te vois, je veux juste te prendre dans mes bras, Te serrer tout contre moi, pour sentir ton coeur qui bat. Ton regard me fait rougir et je ne cesse de sourire. Tu trouves ça mimi, quand tu le dis, mon coeur dit: « Youpi ». J'aime entendre ta voix déraillée, elle sait m'apaiser. Mais ce n'est pas ça la réalité, Juste mes pensées que je n'arrive pas à chasser, De peur de ne plus les retrouver. Si je te dis la vérité, Je perdrais notre belle amitié. Je préfère partir et

impression de concentration sur le lac, c’est a dire, que c’est l'élément  principal que l’on voit quand on regarde l’oeuvre pour la première fois.     ●  Ce paysage est paisible car il n’y a aucune présence humaine, ni animal, on  peut même dire un paysage désertique         COULEURS / LUMIERES:    ● Ce ciel d'orage colore le paysage d'un camaïeu de verts acides tandis que  l'étendue d'eau prend l'éclat froid d'un miroir. Ici, la lumière s'accroche  dans les moindres reliefs des collines. Et les couleurs d’un vert plus foncé 

rues de gratte-ciel. Le soir tombait, les boutiques s'endormaient. Tout le monde était rentré chez eux, c'était la fin d'une longue journée de travail. Les feuilles roulaient sur les trottoirs et m'encerclaient les pieds. Il faisait froid, nous étions le 14 novembre et l'hiver arrivait déjà. Comme mes vacances à New-York se terminaient, je profitais donc une dernière fois en marchant en direction du Times Square

le fit tressaillir, et il regarda autour de lui. Il commençait à se sentir fort nerveux. Il but un verre d'eau, puis se coucha. Dès qu'il fut au lit, il souffla sa lumière et ferma les yeux. Il avait très chaud dans ses draps, bien qu'il fit très froid dans sa chambre, mais il ne pouvait parvenir à s'assoupir. Il se tournait et se retournait, demeurait cinq minutes sur le dos, puis se plaçait sur le côté gauche, puis se roulait sur le côté droit. Il avait encore soif. Il se releva pour boire, puis

« À ce moment il sentit sur sa tempe le froid du pistolet […] la fin » Séance 9 : La mort de Silvère et le triomphe des Rougon. Présentation du passage : Le roman s’achève comme il avait commencé sur le personnage de Silvère et le lieu, l’aire Saint-Mittre. L’ancien cimetière où on prit racine les Rougon-Macquart. L’intrigue arrive à son terme, pendant la semaine du 7 au 14 décembre 1851, le bonapartiste triomphe. Pierre Rougon est devenu le maître de Plassans tandis que les

d’Emma; il y a une focalisation interne. En effet, on remarque que le champ lexical des sensations domine : «saveur»; «âcre»; «sentait»; «entrevit»; «souffrait» ; «entendait» ; «battement»; «bruits»; «nausée»; «peur»; «émotions»; «vomir» ou encore «froid de glace». Emma est à l’écoute de son corps car elle attend les effets du poison. Nous avons un panorama détaillé de sa perception où ses sens sont exacerbés : -l’ouïe : «Elle entendait le battement de la pendule, le bruit du feu, et

Elle sépare la partie "ciel" et la partie "terre" La différence entre la grandeur des arbres marque la profondeur de ce tableau, tout comme la différence de taille entre les personnages du tableau: ce sont les points de force du tableau, là où le regard est attiré. En effet, les personnages au premier plan sont plus détaillés que ceux au second plan. -C'est une œuvre peinte à l'huile, à la technique des impressionnistes c'est à dire par petites touches de couleurs. Par rapport au graphisme, on

garder pure, ma petite. Toujours à crier, à faire le chien de garde, à leur tourner autour avec des lainages pour qu'elles ne prennent pas froid ou des laits de poule pour les rendre fortes ; mais à quatre heures du matin tu dors, vieille bête, tu dors, toi qui ne peux pas fermer l'œil, et tu les laisses filer, marmotte, et quand tu arrives, le lit est froid ! » Voilà ce qu'elle me dira ta mère, là-haut, quand j'y monterai, et moi j'aurai honte, honte à en mourir si je n'étais pas déjà morte, et