Le Regard froid

jeunes amies avaient décider de se promener dans la ville comme a leur habitude après les séances photos d'Elena, malgré le douloureux et glacial froid de ce début de mois de Novembre. Elena détestais vraiment le froid, et avoir la sensation de ne plus sentir ses mains ne lui plaisait certainement pas. L'hiver était sans hésiter, la pire des saisons, et le froid la pire des sensations selon elle. Chaque gorgée de café leur brûlaient la gorge et leur procuraient un milliers de frissons. La journée venait

étymologie et leur histoire ou selon la palette de sens qu’ils peuvent avoir actuellement. Derrière une apparence de textes très simples, une réflexion plus profonde et savante apparaît alors. L’objet décrit est comme redécouvert à travers ce regard original et poétique. En 1940, entre dans la Résistance lors de la Seconde Guerre mondiale, et sera décoré. En 1981, il reçoit le Prix national de poésie. Le poème en prose Le Pain est extrait du recueil Le Parti pris des choses (1942) dans lequel

lorsqu’une personne décède il est bien connu que son corps devient froid. Sa peau particulièrement blanche ainsi que sa robe bleue, qui appartient aux couleurs froides, accentuent l’impression de froideur au centre de l’image où se trouvent les deux femmes. Le contraste entre cet effet de froid et les rayons chauds du soleil qui viennent se poser sur elle éveillent le Ça puisque le récepteur peut sentir le soleil réchauffer le corps froid. Toujours dans l’approche psychanalytique

pas bien. Je partis donc me coucher sur le canapé, regarder latélévision pendant que ma mère préparait le repas du soir. C'est alors que je me mis à trembler, à avoir froid, je me sentais très mal. Ma sœur pensait que je faisais la comédie . Je partis donc au litpour me reposer . J'appelle ma sœur qui ne veux pas venir me porter un bassine et ... trop tard, je vomis partout dans la chambre toute neuve, toute propre. Ma sœur arrive et regarde les dégâts quej'ai fait et la elle comprend que je ne

de la société FRIGEVAL b) Les activités de FRIGEVAL - Froid industriel - Froid commercial - Climatisation c) Les références de la société d) Le plan d’accès pour se rendre à l’entreprise e) Organigramme de FRIGEVAL III- Thèmes évoqués • Sujet 1 : Changement d’un compresseur sur une vitrine self • Sujet 2 : Appel pour changement d’un écoulement sur un évaporateur de chambre froide positive • Sujet 3 : SAV en sous-traitance pour changement

deux types d’êtres humains. • « Champ » ligne, 28, 40 : image clé (cf le titre) « larmes de honte dans la terre d’un champ », « ou dans la solitude d’un champ de coton » • « dignité » lignes 25, 37 • récurrence du mot « regard » et de ses dérivés : « regarder », « regardé » , lignes 35, 42, 51, 53 • « dire » (l. 34, 36, 41) et « dites-la » (l. 38) - Comparaison et métaphores simples (ordinaires) mais éloquentes et chargées de violence : • « comme ces petites bombes » (l. 21) ( qui vient

d’une humanisation. Il est en fait comparé à la femme du poème. « Son regard/comme le tien ».  - Le chat est porteur de rêves.  Le chat est l’objet de désir à deux niveaux : Il suggère l’érotisme (rapport charnel) et la sensualité.  III) Le message du poète  De manière analogique, le regard du chat est assimilé à celui de la femme : « Je vois ma femme en esprit. Son regard, comme le tien, aimable bête, profond et froid, coupe et fend comme un dard. »  L’aspect insaisissable de la femme

livre mentionnant la géopolitique dans son titre ne soit publié aux États- Unis jusqu’à 1975 (le terme était remplacé par « relations internationales). Malgré cela, l’américain George Kennan ou le français Raouel Castex perçoivent dans la Guerre Froide des «  enjeux  » et «  forces  » géopolitiques. Dans un second temps, un renouveau de la géopolitique arrive dans les années 1970-1980. Celui ci est évoqué par Yves Lacoste ou encore Kissinger en 1979. Pour ce premier, la géopolitique étudie

Expliquer le sens de l’œuvre 1) À travers ce regard, il exprime l’idée que, selon les nazis, le détenu appartiendrait à un monde différent du leur et qu’il ne serait pas un homme. Le titre de l’œuvre prend ici tout son sens. 2) « Son regard ne fut pas celui d’un homme à un autre homme ; et si je pouvais expliquer à fond la nature de ce regard… J’aurais expliqué du même coup l’essence de la grande folie du Troisième Reich. » 5 La Guerre froide [ pp. 82-99 du manuel ] > Sur www.libtheque

Conte de l’arbre du miracle C’était l’hiver. Il faisait froid. Il neigeait. Peu à peu les toitures des maisons, les branches des arbres, les pavés des rues se recouvraient d’un fin manteau de neige. Les flocons étaient si légers que le vent s’amusait. Il s’engouffrait parmi eux pour les faire tourbillonner, danser, voler dans tous les sens avant de les laisser se poser en une jolie arabesque sur la végétation dépouillée de ses feuillages. Seuls les résineux avaient gardé leur parure verte. Dans