Le Retour Au Desert Commentaire

bibliographie camusienne que l'on pourrait qualifier d'océanique, cette adaptation est souvent ignorée, et lorsqu'elle est mentionnée, les critiques ne lui accordent que quelques lignes, le plus souvent pour la résumer sommairement. L'importance des commentaires consacrés à cette adaptation de la pièce Un caso clinico de l'écrivain italien Dino Buzzati varie entre deux lignes et seize pages! Elle est - si l'on peut dire - un peu négligée. A tort, nous le verrons... Il faut cependant préciser que cette

Normandie. Conception politique selon laquelle il doit régir un exécutif fort et un chef de l’Etat placé au-dessus des partis. 1947 : Fonde le RPF (Rassemblement du Peuple Français) et s’en sert pour promouvoir ses idées. 1955 à 1958 : « Traversée du désert ». Rien de spécial. 1958 : crise algérienne. ------------------------------------------------- Séance 3 – Etude du chapitre 1 : La Libération. Intro : Libération qui n’annonce pas pour autant la fin des hostilités. France ravagée par la

l’homme un désir de plus, de mieux, un sentiment d’inadéquation auquel il s’attachera irrémédiablement à trouver réponse et remède. Et ce « ils » répété tel un refrain nous le rappelle : ils influencent le groupe autant que celui-ci les influence en retour. Tous se reconnaissent dans ce rêve : « Ils étaient donc de leur temps », (P.53). À juste titre, lorsque Perec parle des discours des membres du groupe, de leurs rêves et projets futurs, il utilise le sublime terme de « rêves collectifs », comme

par Prevost, on voit bien que Des Grieux n’est pas expert en amour et « maitresse de mon cœur » est très utilisé pour montrer justement ce peu d’expérience, peu de richesse du vocabulaire amoureux. On peut imaginer que cette appellation vient du commentaire après coup. La réaction de Manon devrait être de rentrer précipitamment dans l’auberge. « Quoi qu’elle fût encore moins âgée que moi » => souligne l’expérience en dépit de l’âge. Le terme De politesse est extrêmement vague, on peut imaginer ce que

énumération de personnages => foule * champ lexical de la foule => omniprésente, gênante * anaphore (répétit° d’une exp en début de vers) de « là » => on ne sait plus où donner de la tête, agacemt |Méthode : Dans une lecture analytique (ou un commentaire de texte), on repère des procédés avec les citations qui correspondent, et on les analyse pour | |trouver ce que l’auteur a voulu exprimer.

....................................................................................... 12 ................................................................................................... 16 POUR COMPRENDRE : quelques réponses, quelques commentaires Étape 1 Des formes fixes aux confins du vers ............................. 19 Étape 2 Histoire littéraire .......................................................................... 21 Étape 3 Les lieux de la poésie (1) .......................

Ivi ‘l vero riposo, ivi la pace Ch’indarno tu quagiù cercando vai. (Bernardino Daniello, Sonetti, 1540) * Si notre vie est moins qu’une journée En l’éternel, si l’an qui fait le tour Chasse nos jours sans espoir de retour, Si périssable est toute chose née, Que songes-tu, mon âme emprisonnée? Pourquoi te plaît l’obscur de notre jour Si pour voler en un plus clair séjour Tu as au dos l’aile bien empennée? Là est le bien que tout esprit

appartient au registre pathétique (vocabulaire, images, procédés oratoires…). Pour mémoire, le pathétique exprime les souffrances tant physiques que morales. Chez Sabine, ce pathétique s’exprime par le vocabulaire des larmes (v. 78 ; 95), par le retour comme un leitmotiv du mot « vaincu », par des verbes de souffrance : « affligera » (v. 90) ; « Ah ! que je crains… » (v. 110) ; Chez Camille, le pathétique atteint son comble dans l’évocation de son rêve : « Mille songes affreux, mille images sanglantes

appartient au registre pathétique (vocabulaire, images, procédés oratoires…). Pour mémoire, le pathétique exprime les souffrances tant physiques que morales. Chez Sabine, ce pathétique s’exprime par le vocabulaire des larmes (v. 78 ; 95), par le retour comme un leitmotiv du mot « vaincu », par des verbes de souffrance : « affligera » (v. 90) ; « Ah ! que je crains… » (v. 110) ; Chez Camille, le pathétique atteint son comble dans l’évocation de son rêve : « Mille songes affreux, mille images sanglantes

subjectif et rétrospectif risquerait d’éclipser la parole même du narrateur. Or, Céline va s’employer à faire surgir le narrateur dans son récit. C’est la parole vive qui importe, non l’histoire. Nombreuses marques du discours : - Jugements, commentaires sur événements, histoire racontée. - Rappel insistant de celui qui raconte (« je me souviens… ») - Rappel du temps présent du Narrateur par rapport au passé. On ne sait pas d’où il parle : celui qui raconte est un personnage fictif. Mais au