Le Rire Cruel

la pitié ou en le faisant réfléchir sur l’homme et la société, mais il peut aussi faire oublier ces problèmes et au contraire le divertir. A l’inverse du registre tragique, le registre comique cherche à divertir les spectateurs en les faisant rire et en leur faisant plaisirs. D’abord, la comédie classique s’appuie sur des scènes de la vie courante comme des mariages ou les relations parents-enfants qui placent quelquefois des personnages dans des situations surprenantes ou embarrassantes.

peut-être davantage encore de m'ignorer et m'ignorer encore.  Loin de moi parce que tu ne m'aimes pas sans doute ou, ce qui revient au même, que j'en doute.  Loin de moi parce que tu ignores sciemment mes désirs passionnés  Loin de moi parce que tu es cruelle.  Si tu savais.  Loin de moi, ô joyeuse comme la fleur qui danse dans la rivière au bout de sa tige aquatique, ô triste comme sept heures du soir dans les champignonnières.  Loin de moi silencieuse encore ainsi qu'en ma présence et joyeuse encore

consiste à dénoncer les aspects et/ou défauts de la société, à critiquer et à se moquer dans le but de faire rire. Cette satire n’a que deux buts : blâmer le roi et blâmer les courtisans. Le roi a énormément de défauts. Nous pouvons dire qu’il est autoritaire car il utilise des verbes : venez, venger (L36-37) à l’impératif, donc pour donner des ordres, mais il est également vengeur et cruel : nous n’appliquerons […] ongles (L35-36) mais avec cette citation, nous pouvons dire que c’est un abus de

maître'' formant une antépiphore (répétition au début de phrases) -Gestes malmenant → me pousse avec le pied -Ordres à l'impératif ''bouffon fais moi rire'' + gérondif ''en baillant'' Le sentiment de triboulet d'être prisonnier de son rôle'' Enumération de négations ''ne vouloir, ne devoir,ne devoir et ne faire'' et ''le droit de ne pas rire et de pleurer, s'il veut'. Se compare à un troupeau: Métaphore avec les soldats, suit les ordres → animalisation Se compare à une marionnette : Métaphore

bien qu'on peut se demander si le théâtre classique n'est pas un acte littéraire élaboré afin de représenter la complexité des êtres et du monde. Le théâtre est avant tout un spectacle de source de distraction, la comédie vise à provoquer le rire du spectateur grâce à différents procédés comiques. Par exemple l'Acte III, scéne 2 des Fourberies de Scapin montre plusieurs procédés comique comme celui de gestes, quand Scapin tape Géronte. Ou bien le comique de mots, quand Scapin parle gascon.

• Comique. Etymologie : grec comodia, chanson de fête :Provoque le rire, Caricature, parodie, absurde, jeux de mots,…. Il peut faire appel à l'humour, au comique verbal, à la parodie, au burlesque, à la caricature, à la parodie ou encore au travestissement. Le comique peut naître d'une situation (par exemple une situation absurde), d'un comportement, d'un caractère ou encore de gestes. Il provoque le rire, le sourire, l'amusement. Les thèmes sont extrêmement variés : les défauts d'un personnage

s'intéresser à un vase ou quelque autre objet. Marc Jean, je suis de l'avis de Sophie, sans prendre parti pour autant, cette scène peut être comprise de deux façons différentes, tu n'as donc pas tort, la question est : Dom Juan est-il un personnage cruel et pervers ou bien est-il honteux de la manière donc il a traité Done Elvire? Jean Non, Dom Juan est honteux, il fait d'ailleurs allusion à la religion, pour lui montrer sa faiblesse! En parlant du Ciel et du couvent il sait de quoi il parle. Il

jour, le général lui rend visite avec la ferme intention de la soumettre. Tous deux se livrent alors un affrontement verbal tendu, très dramatisé, au cours duquel le lecteur découvre la forte personnalité des protagonistes et, au-delà, une vision cruelle de l’amour et du monde. []I- La dramatisation d’un dialogue Par de multiples procédés, affectant aussi bien la forme du discours que sa progression, Balzac a dramatisé ce dialogue, expliquant en partie la fréquente adaptation cinématographique

la tempête. Métaphore filée, il insiste sur les ailes de l’oiseau, montre le talent et l’imagination du poète. Basculement : « tempête » devient « le sol » ; « nuées » deviennent les « huées » avec la paronomase (proximité sonore). Le rire de l’albatros devient le rire des matelots. Les derniers vers rejouent symboliquement tout le poème en raccourcis. Le poète et l’albatros hantent la tempête, mot poète et tempête riment entre eux = révélation baudelairienne de la beauté, elle se trouve dans les lieux

attiédi, Le bleu fouillis des claires étoiles ! Car nous voulons la Nuance encor, Pas la Couleur, rien que la nuance ! Oh ! la nuance seule fiance Le rêve au rêve et la flûte au cor ! Fuis du plus loin la Pointe assassine, L'Esprit cruel et le Rire impur, Qui font pleurer les yeux de l'Azur, Et tout cet ail de basse cuisine ! Prends l'éloquence et tords-lui son cou ! Tu feras bien, en train d'énergie, De rendre un peu la Rime assagie. Si l'on n'y veille, elle ira jusqu'où ? O