Le Rire Cruel

véritable récit à suspense : Un des premiers effets de suspense et qui crée un effet d'attente chez le lecteur est le tout début du souvenir : “ Un souvenir qui me fait frémir encore et rire tout à la fois, est celui de la chasse aux pommes qui me coûta cher” (L. 1-2). On peut noter l'antithèse “frémir/ rire”, deux mots contradictoires mêlés étroitement par “tout à la fois”, qui révèle le caractère ambivalent de ce souvenir. L'adverbe de temps “encore” indique la persistance et la durée de ce souvenir

Certains de ces registres renvoient à des genres littéraires avec lesquels il ne faut pas les confondre. Le registre comique : Le registre comique est facilement identifiable du fait qu’il provoque le rire. Le comique vient de situations insolites, de calembours et de jeux de mots. En déclenchant le rire, les procédés comique dédramatisent une situation et divertissent tout en suscitant la réflexion. Ex : La présentation burlesque, par Scarron. Le registre épique : On utilise l’expression « registre

satirique de la vie quotidienne, qui utilise un ton familier et gai. C’est une forme théâtrale chaleureuse, qui peut toucher le public dans sa simplicité et procure du plaisir en faisant rire. Le lecteur peut se sentir identifier parmi les personnages. Ce genre, exprimant une vision optimiste de la vie, est destiné à faire rire ; qui peut être un moyen de critique, de satire, de réflexion ou de réforme. Il a pour but de représenter les ridicules de l’humanité d’une façon comique, comme par exemple les manies

manière automatique, répétant le « Au contraire » exigé par Caligula trois fois. On relève également la répétition du verbe de volition « vouloir » (« Je veux que tout le monde rie », « Levez-vous, riez », « Je veux, vous entendez, je veux vous voir rire. » immédiatement suivie d’effet dans la didascalie « Tout le monde se lève ». 2) Caligula acteur On remarque aussi que Caligula se met lui-même en scène et semble éprouver un certain plaisir à surjouer son rôle de tyran : * Des pauses théâtrales :

la plus stérile car ce qui provoque le rire ne sera jamais mis en évidence. Quelles notions ? On a toujours la possibilité de la triade : situations, gestes, mots. Mais ce n’est pas ce qui me semble ici le plus efficace. 1 – Le scénario (la situation) : c’est un classique du burlesque : la dupe ridiculisée, le naïf flatté et abusé, aux dépens duquel nous avons le plaisir (cruel) de rire. 2 – Le rythme, la répétition et l’excès (cf. Bergson : le rire = du mécanique plaqué sur du vivant).

cela a pu être possible. Comment des adultes ont pu commettre une tel acte et comment les personnes dans le secret ont pu adhérer a cette stupide et cruelle cause. Cause ? Et pour le bien de qui dites-moi ?! Pour que les politiciens continu a s'engraisser comme les porcs qu'ils sont ?! Pour le pays soit beau et bien sous tout rapport, laissez moi rire de cet argument illogique qui ne convainc que les bécasses de votre système politique. Maudit soyez-vous !Vous qui vous prélassez et vous délecter de

Introduction « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer », lance Figaro à son maître dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais. Le valet conseille donc, comme Rabelais, Molière ou La Fontaine avant lui, et Ionesco ou l’humoriste Raymond Devos après lui, de ne pas évoquer les « choses graves » sur le mode sérieux, mais de prendre le parti d’en sourire ou même d’en rire. Peut-on aborder les questions graves sur le mode humoristique ? L’artiste doit-il, comme le conseillait

sur le mode plaisant ou humoristique  Introduction « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer », lance Figaro à son maître dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais. Le valet conseille donc, comme Rabelais, Molière ou La Fontaine avant lui, et Ionesco ou l’humoriste Raymond Devos après lui, de ne pas évoquer les « choses graves » sur le mode sérieux, mais de prendre le parti d’en sourire ou même d’en rire. Peut-on aborder les questions graves sur le mode humoristique ? L’artiste

servent-ils qu’à faire rire ? Eléments pour une introduction : « Le rire est le propre de l’homme », annonçait Rabelais dans son avis au lecteur de Gargantua, mais le rire est-il aussi le propre du spectateur de pièces de théâtre, a fortiori lorsqu’il s’agit d’une comédie ? Que se cache-t-il derrière cette manifestation physique : gaieté, moquerie, cruauté ? Alceste répliquait sur un ton sans appel à Célimène qui amusait sa petite cour par les portraits cruels qu’elle dressait : « les

représentation) ne servent-ils qu’à faire rire ?   Eléments pour une introduction :  « Le rire est le propre de l’homme », annonçait Rabelais dans son avis au lecteur de Gargantua, mais le rire est-il aussi le propre du spectateur de pièces de théâtre, a fortiori lorsqu’il s’agit d’une comédie ? Que se cache-t-il derrière cette manifestation physique : gaieté, moquerie, cruauté ? Alceste répliquait sur un ton sans appel à Célimène qui amusait sa petite cour par les portraits cruels qu’elle dressait : « les rieurs