Le Rire Est Il Toujours Cruel

loin la Pointe assassine, L'Esprit cruel et le Rire impur, Qui font pleurer les yeux de l'Azur Et tout cet ail de basse cuisine ! Prends l'éloquence et tords-lui son cou ! Tu feras bien, en train d'énergie, De rendre un peu la Rime assagie.  Si l'on n'y veille, elle ira jusqu'où ? Ô qui dira les torts de la Rime ?  Quel enfant sourd ou quel nègre fou  Nous a forgé ce bijou d'un sou Qui sonne creux et faux sous la lime ? De la musique encore et toujours ! Que ton vers soit la chose envolée

déjà évocateur de la folie du personnage : un être sadique et masochiste : il s'imagine la mort d'Esméralda des attitudes inappropriées et assez effrayantes : rire satanique, désirs morbides et de l'ordre du pervers « chemise mal nouée » désordre dans son esprit mais une lucidité assez monstrueuse à noter mélange des sentiments : rire, tristesse horreur frustration rage jalousie colère haine Figures animales : Par sa perversité, son côté pulsionnelle etc. : une certaine animalité De même

comme si elle n'eût eu que le temps de cacher un spectacle indécent ou de parer à un accès mortel, plongeant sa figure dans ses mains qui la recouvraient et n'en laissaient plus rien voir, elle avait l'air de s'efforcer de réprimer, d'anéantir un rire qui, si elle s'y fût abandonnée, l'eût conduite à l'évanouissement. Telle, étourdie par la gaieté des fidèles, ivre de camaraderie, de médisance et d'assentiment, Mme Verdurin, juchée sur son perchoir, pareille à un oiseau dont on eût trempé le colifichet

Héraclite d’Ephèse. Cela synthétise la pensée d’un monde en mouvement perpétuel]. L’emploi du futur proche est appuyé à travers un jeu verbal qui s’appuie sur la restitution phonétique d’éléments en langage parlé « : « xa va xa va xa va / va durer toujours », en les répétant dans la première strophe et la deuxième jusqu’à en faire un matériau musical. L’idée de durée est d’ailleurs renforcée par le fait que le mot « va » est répété une fois de plus au vers 21, qui a ainsi un statut d’exception dans

les envahissait’’. Les deux mariés sont aux antipodes d'être un couple amoureux donnant de la confiance â l’autre et ils cherchent toujours à trouver un défaut de l’autre pour le critiquer ou en tirer un profit: ‘’Ils tachaient de se voir a nu la conscience en une interrogation, ardente et muette: lutte intime de deux être qui, vivant côte à côte, s’ignorent toujours, se soupçonnent, se flairent, se guettent, mais ne se connaissent pas jusqu’au fond vaseux de l'âme'' p.346. La violence du mariage

sorcières : COMPLEMENTARITE, Le texte dit plus que l’image. TEXTE RELIEF dominante imaginaire : les 3 sorcières. attention au langage : expressions, exploser de rire au sens propre et figurer. valeur à comprendre : les apparences ne décrivent pas la personnalité. non conforme aux attentes du lecteur : parce que les sorcières se mettent à rire et deviennent joyeuses. guidage interactif ou pervers du lecteur : 6) les petits bonshommes sur le carreau :

pour se suicider. Ils feraient tout pour vendre leur marchandise. Le fils aîné, qui est dépressif mais extrêmement créatif, est dans sa bulle: il est toujours seul et très peu ouvert au monde extérieur. La sœur est une adolescente mal dans sa peau et pleine de complexes. Jusqu'au jour où le petit dernier, Alan, vient tout bouleverser avec sa « cruelle » joie de vivre La mort et en particulier le suicide font partie des grands tabous de notre société occidentale, mettre fin à ses jours est synonyme

vague est plus soluble il a cette avantage de créer une sorte de déséquilibre car on ne peux pas divisé en deux il exprime par l'image de la légèreté "soluble" "air" "pese" La prescription C'est l'idée de l'ambiguité il dit que la poésie doit toujours être une chanson grise pour lui c'est la figure de l'ambiguité,l'indécis et le précis et puis le fait d'approximation (il ne faut pas que cela soit parfait) Il donne des exemples:des beaux yeux les derrière des voiles Dans la quatrième strophe

Je vis dans un monde cruel, Sans le moindre amour maternel. Ce sont dans ses plaines, Que je traine ma peine, Peiné d’avoir aimé, Sans jamais l’avoir été. Cet amour devient haine, Et sans fin est cette chaine, De tous les tourments. Car je ne peux que mentir. Je feins de rire, Pour cacher mes soupirs. J’esquisse un sourire, Lorsque je ne souhaite que mourir. Ma vie est un miroir, Où se reflète mon désespoir. ________________________________________________________________________________

dramatique qui a comme but de faire rire et qui a souvent des caractéristiques grossières, bouffonnes et absurdes. Elle remonte à l'Antiquité gréco-romaine. Aristophane et Plaute l'ont illustrée dans nombre de leurs œuvres. Et comme on va le voir, Molière y a trouvé des modèles et des exemples pour ses farces. À partir de 1450, se développe, à côté d’un théâtre religieux et de finalité édifiante, celui des mystères, un théâtre purement profane, un théâtre du rire, celui des farces. Écrite en vers