Le Rire Ironique

de faire rire, de divertir. Mais elle a aussi une fonction de critique envers la société. Il n’y a pas un certain nombre d’actes comme dans la tragédie et la comédie a une fin heureuse. La bourgeoisie, les simples particuliers et même les domestiques y sont représentés. On y retrouve souvent des personnages types comme un vieillard, des personnes amoureuses… La comédie est souvent écrite en proses mais elle peut s’écrire en vers comme la tragédie. C’est un genre burlesque, ironique. Le Vaudeville

aux malheurs de sa femme. Comme Cléonte le lui reproche, il répond, parlant de Tartuffe. Nous verrons alors comment cette œuvre théâtrale est du genre plaisant et instructif. * En effet cette œuvre est plaisante, Molière utilise des procédés ironiques et comiques, il veut montrer que Tartuffe peut être un homme de bien mais il possède aussi un côté manipulateur. Dans l'acte I, la scène1 commence "in média res", directement en montrant que Madame Pernelle a un fort caractère, c'est une caricature

rouge de sang. Suicide de Valmont ? On ne voit pas la mort de Valmont mais l’effet sur son valet filmé en cadre très serré. Dimension grotesque de la scène qui n’est pas sans rappeler le duel joué avec Cécile (sang « pour rire »). 5.Le dénouement Ouvert. Fin morale ironique ? Rien dans le texte ne dit explicitement que Valmont est mort pour la présidente Tourvel (blanc dans le texte), mais on le sait amoureux. Libertinage= tragique. Toutes les conquêtes défilent devant le cercueil du défunt

défini par les émotions qu'il suscite chez le lecteur - ou le spectateur. Dans une même œuvre, on peut trouver plusieurs registres. Les procédés lexicaux, stylistiques et syntaxiques diffèrent selon les registres. Le registre comique fondé sur le rire s'appuie sur plusieurs procédés tels que le comique de mots, de situation, de gestes, de caractère. Le registre tragique met en avant l'impuissance de l'homme face à la mort. Il cherche à émouvoir. Le registre lyrique est caractérisé par l'expression

de l’autodafé. Dans ce passage, Voltaire s’en prend à l’Inquisition, tribunal ecclésiastique fondé au Moyen Age et chargé de garantir les règles catholiques en condamnant les hérétiques. On s’attachera à montrer qu’à travers ce récit à tonalité ironique, Voltaire émet un certain nombre de critiques. 3. Les axes de lecture a. Un récit : une nouvelle péripétie De nouvelles aventures On retrouve la présence des deux héros du conte, Candide et Pangloss dont on suit depuis le début les aventures

avant tout la même fonction que la lecture c’est de suivre une histoire. Le théâtre joué permet donc de divertir. En effet au théâtre comme dans les romans l'œuvre suscite des émotions comme le rire, la pitié ... En effet ces émotions sont transmises par les différents registres (comique, pathétique, ironique, satyrique etc.) Les différentes émotions sont transmises par plusieurs éléments: les gestes des personnages. Comme dans les livres, (avec les didascalies) les gestes traduisent l’émotion du personnage

fait de restes coupés en petits morceaux. p.71.Bernique !: Interjection qui exprime la déception ou appuie un refus. p.73.Sardonique :Ironique, qui exprime de la moquerie méchante. p.90.rencogner (se) : (se) blottir. p.91. « il sait garder son quant-à-soi » : Il sait garder ses distances, attitude distante ; reserve. p.109.une collation :repas léger. p.112.rire sous cape : discrètement, sans le montrer. p.124.(se) rasséréner : s’apaiser, retrouver son calme.

complicité tout autant que le rire. Il nous livre cette image lointaine de la jeunesse. De ce temps où ses parents l’envoyaient dans ces colonies, où défilent les airs et les chansons que l’on croyait oubliés, les histoires de balades, de soirées rigolardes, avec les copains, les surveillants. Ainsi il se confit sur ses escapades nocturnes, ses « descentes » dans la « tente féminine » : sa première punition, sa première injustice. Parfois, le David Lescot au regard ironique sur ses chroniques d’enfance

Le Malade imaginaire est une comédie inventé par Molière. La comédie est apparue à la fin du IIIème siècle avant Jésus-Christ. Créé par les romains, elle a pour but est de faire rire tout en étant en marge avec le monde réel. L’œuvre que nous allons étudier est un extrait de la scène 5 de l’acte 2 du Malade imaginaire. Dans extrait, un discours entre Thomas DIAFOIRUS, Angélique, Toinette, Monsieur DIAFORUS (le père de Thomas) et Argan s’oppose. Thomas souhaite se marier avec Angélique, il lui présente

la métaphore confère à celle-ci un caractère ironique. L’auteur reste en retrait pour décrire avec son regard distancié l’inondation dont il fait un spectacle (hypotypose).=> Suffocante, cette rumeur de louange est aussi trop unanime. Elle réconcilie dans la flatterie générale les voix de « l’envie » (l. 4) et de « l’adulation » (l. 5) : une intention haineuse et une excessive soumission. Cette réconciliation est ici bien sûr profondément ironique. => La Bruyère suggère une perte de contrôle