Le Rire Langage Universel

donc tous les éléments d’un échange qui ne sont pas en lien direct avec la parole Gestes, posture, distances, parfums, code de reconnaissance, vêtements, la coiffure, l’odeur… Le langage non verbale permet la com entre 2 personnes de langues différentes. Le rire, la douleur sont des expressions non verbales universelles mais les signaux doivent être interprétés en fonction du contexte Ex : des vêtements blancs ou noirs pour le deuil suivant les pratiquesGlobalement la com non verbale = les expressions

humaniste, notre humanité nous échappe. L’humain semble en guerre contre la nature, contre lui-même. Notre connaissance nous scinde en sujet et en objet, en conscient et en inconscient, en déterminismes multiples qui se disputent notre vie. Le corps, le langage et la pensée ont-ils encore un centre humain ? L’humanisme semble dépassé, mort et enterré. Pourtant, les textes de la Renaissance nous touchent encore. N’est-ce que de la nostalgie? Est-il possible de faire revivre l’humanisme en lui redonnant

La littérature présente le paradoxe inhérent au fait qu’elle soit à la fois art et langage, de s’inscrire dans une dimension universelle mais aussi actuelle. Nombre de polémiques ont eu lieu, sur la fonction qu’elle devait ou non adopter, d’être utile ou d’être seulement expression artistique, sans autre légitimité que d’exister. Théophile Gautier et les tenants de « l’art pour l’art » allaient jusqu’à refuser toute utilité à la littérature, proclamant que « tout ce qui est utile est laid », tandis

hommes) • Philinte = philanthrope (du gr : philos « ami » et anthrôpos  « homme ») -leurs caractères : • A semble se placer ĉ 1 modèle de société : fier et orgueilleux, prend 1 air sup. Perso extravagant/hyperbolique (exagère ds son langage : hyperboles. Ex : vers 109 il répond à P qu’il lui dit passer pour ridicule : « tant mieux c’est ce que je demande ») Ĉ le rappelle le mot « misanthrope », c 1 H marginal : vers 144 : « de fuir dans un désert l’approche des humains » = il veut s’exiler

collaboration avec la BibliothèquePaul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à ChicoutimiSite web: http://bibliotheque.uqac.uquebec.ca/index.htm| à partir de : Henri Bergson (1900) Le rire. Essai sur la signification du comique. Une édition électronique réalisée à partir du livre d’Henri Bergson (1900), Le rire. Essai sur la signification du comique. Paris : Éditions Alcan, 1924. Ce texte a été réimprimé, en 1959, par Les Presses universitaire de France, "Édition du centenaire" des Oeuvres de

par des chants, l’action qui se déroulait sur la scène. Dans sa Poétique, Aristote (384-322 av. J.-C.) définit ainsi la tragédie :
« La tragédie est donc l’imitation d’une action noble, conduite jusqu’à sa fin et ayant une certaine étendue, en un langage relevé d’assaisonnements dont chaque espèce est utilisée séparément selon les parties de l’œuvre ; c’est une imitation faite par des personnages en action et non par le moyen d’une narration, et qui par l’entremise de la pitié et de la crainte, accomplit

ET REPRÉSENTATION. Perspective dominante : étude des genres et des registres. Perspective complémentaire : intertextualité, histoire littéraire et culturelle. Problématique : Une dramaturgie à contre-courant ? Objectifs : 1)Analyser le langage théâtral dans le texte et dans les relations entre le texte et les aspects visuels et sonores liés à la représentation. 2)Etudier la couleur locale, puis retrouver le personnage éponyme dont s’est servi Rostand, en vue de préparer la séquence 4.

comiques pour leur donner succès théâtral mérité. A partir de ces deux traditions vont se développer les farces : petits textes d’abord puis véritables pièces de théâtres ancêtres des comédies modernes. Rien de sérieux, il s’agit de faire rire (on retrouve thèmes empruntés aux fabliaux –misogynie– et goût calembours obscènes). Farce du cuvier (milieu du XVe) : habile variation sur le thème de la « femme qui porte la culotte » au grand dépit de son mari, ravi de trouver une occasion

collaboration. En hommage à tous les humoristes SOMMAIRE Histoire de rire ................................................................................................. 11 27 49 Le choc de deux perceptions Une autre logique ........................................................ ......................................................................................... Quand le langage s’emmêle ............................................................ 61 L’art de

éléments scéniques choisis. Ainsi, au théâtre il n'y a pas que le langage desmots puisqu'il induit d'autres éléments visibles à travers le texte ou lors d'une représentation. Alors, en étudiant leurs pouvoirs de significations, quelles sont les autres formes de langages dont dispose le théâtre ? Après avoir redéfinit le langage des mots au théâtre, nous étudierons les autres formes de langage utilisées au théâtre. I) Le langage est la capacité d'exprimer une pensée et de communiquer au moyen