Le Rire Mecanique

Marivaux a puisé dans la tradition. Cléanthis est bavarde, fine mouche et piquante. Marivaux utilise à son encontre le comique de la boîte mécanique remontée que l’on ne parvient plus à arrêter. Arlequin boit plus que de raison. Il s’exprime de manière boursouflée lorsqu’il veut imiter le langage des maîtres. * La vis comica C’est donc par le rire que va s’opérer la prise de conscience salutaire, puis la nécessaire correction des travers. En ce domaine, Arlequin représente essentiellement

expriment la sensibilité. anaphores qui insistent sur la force des sentiments hyperboles qui montrent la violence des sentiments. Gradation : qui expriment la progression des impressions Notes personnelles : Le comique: Objectifs : faire rire ou sourire Diverses formes du comique : Le burlesque : provient du décalage entre le sujet et le style adopté. Ex : on peint une situation noble en termes vulgaires. C’est aussi un comique extravagant. Le grotesque joue avec les formes naturelles

révoltes traditionnelle dans le | |texte de Molière, son antisémitisme dans l'acte IV. | |Sganarelle (Christian Hecq), clownesque, ose toutes les excentricités et fait rire le spectateur.. | | | |A. Delcampe (1999, abbaye de Villers-la-Ville, en extérieur)

leurs désirs et la fatalité qui pèse sur eux. Moment programmatique du roman, cet épisode traduit le projet de Zola dans l’exposition de la fatalité du sort ouvrier. Mais déjà, il réussit à ne pas faire de ses personnages, la simple illustration mécanique de ses théories et à leur donner vie et humanité. Plan: I - La fascination exercée par la machine C’est Gervaise qui observe l’alambic au début et à la fin de l’extrait. Son intérêt pour la machine est noté dès le début de l’extrait par

les grands spectacles musicaux. Le théâtre consiste à représenter une action, à interpréter une pièce, un texte, qui peut être improvisé, mimé, par un ou plusieurs acteurs devant un public. A la différence du cinéma, qui est un art de reproduction mécanique, chaque représentation dramatique est unique. De plus, il y a de nombreuses formes de théâtre selon les pays, les époques et les genres. Faut-il rechercher au théâtre une reproduction fidèle de la vie? Pour que l'illusion du spectateur dure au moins

où la scène annonce l’heure de la pause, Charlot ne peut pas s’arrêter. Ensuite, lorsque la secrétaire de direction passe, il prend les boulons de sa jupe pour des boulons et leur donne un tour d’écrou. Cette scène n’a pas seulement le but de faire rire, mais aussi de montrer la condition des ouvriers soumis au fordisme : ça prive la volonté des travailleurs et les oblige à se comporter comme des machines unifonctionelles. L’ouvrier perd son individualité, il est aliéné, transformé en machine.

s’enferme dans son obsession de la maladie et en perd tout bon sens. .4.**La scatologie -le rire du « pipi, caca »- est associée à ce comportement hypocondriaque : le corps du malade prime sur la bienséance et il n’hésite pas à partager ses dysfonctionnements supposés sans aucune pudeur ou retenue, certaines scènes n’étant consacrées qu’à son

leurs désirs et la fatalité qui pèse sur eux. Moment programmatique du roman, cet épisode traduit le projet de Zola dans l’exposition de la fatalité du sort ouvrier. Mais déjà, il réussit à ne pas faire de ses personnages, la simple illustration mécanique de ses théories et à leur donner vie et humanité. Gervaise avait repris son panier. Elle ne se levait pourtant pas, le tenait sur ses genoux, les regards perdus, rêvant, comme si les paroles du jeune ouvrier éveillaient en elle des pensées lointaines

visage "comique", d'un "homme qui entre sur la scène" (DLC, 61), Pamphile, qui se croit grand mais ne l'est pas (DG, 50), l'homme qui vient d'obtenir une place à la cour et change subitement d'attitude (DLC, 51)... La métaphore du courtisan comme mécanique d'une montre (DLC, 65) souligne également la parfaite maîtrise par le courtisan de l'art du jeu et du masque. [Transition] Ainsi, grâce à la métaphore théâtrale, La Bruyère parvient à mettre en évidence que la vie de la cour s'organise selon le

qui laissait apparaître ses dents aiguisées comme des lames de rasoirs. Je la suppliais de ne rien me faire et tout à coup elle se mit à rire, mais pas un rire d'humain, un rirede démon, un rire horrible. Puis elle disparut comme elle était apparue. J’étais soulagé mais je le savais, j'en étais sûr. Elle reviendrait et pour le restant de ma vie son rire me hanterait. La mort ? par Arthur DURAND C'est une personne que j'ai rencontrée ce matin même, dans la rue. Elle me fixait