Le Rire Moqueur

l’amour gai, triste, brûlant, jaloux, Fait soupirer les bois, les nids, les fleurs, les loups ; L’arbre où j’ai, l’autre automne, écrit une devise, La redit pour son compte et croit qu’il l’improvise ; Les vieux antres pensifs, dont rit le geai moqueur, Clignent leurs gros sourcils et font la bouche en cœur ; L’atmosphère, embaumée et tendre, semble pleine Des déclarations qu’au Printemps fait la plaine, Et que l’herbe amoureuse adresse au ciel charmant. A chaque pas du jour dans le bleu firmament

compte qu'il était juste sous tes yeux, depuis le début. Tu ne m'aimes plus. Je le sais. Après tout c'est normal, j'ai rien fait pour te garder. J'aurai du, vraiment j'aurai du parce que maintenant c'est dur. La vie sans toi, les journées sans ton rire, sans tes baisers, sans tes blagues pourries... Tout ça me manque. Et le plus difficile c'est de savoir que tout ça, tout ce qui faisait que nous étions un " nous ", maintenant tu l'es avec avec une autre. C'est pas de la jalousie, mais du dégout.

paraît très bien entendu pour les rendre aussi friands que fripons. Je devins en peu de temps l’un et l’autre;et je m’en trouvais fort bien pour l’ordinaire,quelque- fois fort mal quand j’étais surpris. Un souvenir qui me fait frémir encore et rire tout à la fois, est celui d’une chasse aux pommes qui me coûta cher. Ces pommes étaient au fond d’une dépense1 qui, par une jalousie2 élevée recevait du jour de la cuisine. Un jour que j’étais seul dans la maison, je montai sur la maie3 pour

forêt puis retrouve son « masque » (p.138), il reprend son rôle de militaire : « affiné par la fatigue, avec son grand nez de rapace, ses yeux lourdement cernés ». Le capitaine, a, tout au long de sa conversation avec Grange, un ton ironique, un air moqueur « avec mal assuré » (p.138) Cependant, il laisse la liberté à Grange de ne pas être muté, même s’il ne ressent pas les choses comme lui, il lui laisse le droit de rêver. Il montre à présent sa compréhension par sa « cordialité » et révèle d’ailleurs

En quoi cette scène marque-t-elle le dernier degré de l’échéance de Dom Juan en levant le masque de l’hypocrite pour révéler la vanité de la société ? 1) Relation comique entre le maître et le valet a- Jeu sur les paradoxes b- Maître moqueur face à un valet éberlué c- Maître qui a besoin du regard de son valet 2) Portrait d’un hypocrite a- Avantages de l’hypocrisie b- Un homme sans craintes ni scrupules ni limites c- Vision cynique et pessimiste sur la société (système

la montagne zigouiller l’enfant.” « Je ne serai pas le fils de cette dinde » p. 19. Ou encore les répliques amusantes de Samuel qui émaillent les séances de répétition. L A TO N A L I T É Quels sont les passages du livre qui vous ont fait rire ? Essayez de préciser si c’est grâce aux mots, aux situations ou au caractère des personnages. L E C O M I Q U E D E M OTS Les onomatopées et interjections Définition de l’onomatopée : c’est un mot créé par imitation sonore du bruit qu’il évoque

pour toute, oui, se serait surement bien. Oublions ce "nous" que nous avions construit avec tant de joie. Non, ce n'est pas douloureux, le plus dur est de savoir que jamais plus je ne te retrouverais, jamais plus tu ne me regarderas avec ces yeux moqueur, charmeurs. Ne parlons plus des souvenirs qui fachent, ne parlons plus tout court, ne m'adresse plus la parole, ne me regardes plus, ne me touche plus. Ne penses plus a moi et a ce moment la facilité s'installera, je le sais. Comme si ça pouvais etre

Le père est né du fils, pour ainsi dire. [Présentation de l’extrait] François Rabelais ouvre son Gargantua par un prologue en prose qui prolonge l’ « Avis aux lecteurs » en vers. Ce dernier plaçait le livre sous le signe du rire et de la légèreté, comme s’il s’agissait d’un ouvrage futile. [Lecture claire et expressive du texte] [Caractérisation] L’auteur donne à ses lecteurs des consignes pour lire l’œuvre. La métaphore des Silènes doit donc guider

du vrai trésor, Qui, repu de science humaine, A voulu se repaître d'or, Et, portant des valets au maître Son faux sourire d'ancien prêtre Qui vendit sa divinité, S'enivre, à l'heure où d'autres pensent, Dans cette orgie impure où dansent Les abus au rire effronté! Loin ces scribes au coeur sordide, Qui dans l'ombre ont dit sans effroi À la corruption splendide : Courtisane, caresse−moi! Et qui parfois, dans leur ivresse, Du temple où rêva leur jeunesse Osent reprendre les chemins, Et, leurs faces encor

pas. Ou peut-être t'essaye de croire que tu m’aime.. J'ai souhaité être une source de bonheur pour toi =) une raison de vivre ou même une raison de sourire =) Mais J'en ai jamais étais ça . Tu crois que je vais bien parce que dans la cour tu me vois rire et sourire sans arrêt, tu crois que je n'ai plus besoin de toi parce que je t'ignore et que je ne t'envoie plus de messages, mais, mon gars tu te trompes totalement, tu n'as que regarder mes yeux et tu verras la vérité, car un regard ça ne trompe Jamais