Le Rire Par Umberto Eco

espère lutter contre cette hypocrisie. La célèbre formule « castigat ridendo mores »14 est d'origine incertaine mais elle a été reprise par Molière. Elle exprime une idée développée par Horace dans son art poétique et résume cette volonté d'utiliser le rire comme vecteur d'instruction. Le théâtre de Molière est à la fois classique et baroque[réf. nécessaire]. Roman[modifier] Madame de La Fayette Le roman est considéré comme un genre très mineur à cette époque. La plupart sont d'ailleurs publiés anonymement

libérale ont enregistré une avancée: le dernier Rapport sur le développement dans le monde de la Banque (1997), consacré au rôle de l'Etat, ressemble à un compromis de comité central, à la manière dont Umberto Eco met en scène, dans Le nom de la rose, un débat de l'Eglise au Moyen Age sur le thème: "Le rire est-il un péché?". L'Etat ne serait plus un péché dans l'économie de marché: en plus des cinq tâches fondamentales qui lui étaient reconnues par les néoclassiques - la loi, un environnement sans distorsion

tendance homosexuelle d’un de ses camarades. Maurice sait comment réagir: « – Je crois qu’en démocratie, les préférences sexuelles des individus sont des affaires privées. » Ce truc-là n’aurait pu marcher rue du Mont-Cenis, la flicaille aurait rugi de rire. Mais l’Allemand ne croit qu’à la loi, et le flic roux encaissa (p. 175). L’image de l’Allemagne dans « Cargaison » est surtout remarquable de par sa représentation de la société multiculturelle dans la « Szene », c’est à dire le groupe des

indirect du christianisme, qui a remplacé le mythe dans l'Antiquité »52. Un auteur comme Michel Serres semble lui aussi faire écho à cette interprétation quand il remarque : « Le monothéisme a détruit les dieux locaux, nous n'entendons plus les déesses rire parmi les sources, ni ne voyons les génies paraître dans les frondaisons ; Dieu a vidé le monde, le grand Pan, dit-on, est mort »53. Quant au théologien allemand Eugen Drewermann, dont les vues sont aujourd'hui passionnément discutées, il développe

FAUVET (J.-C.), BÜHLER (N.) - La Socio-dynamique du changement. - Paris : Editions d’Organisation, 1992. FEERTCHAK (Hélène) – Les motivations et les valeurs en psychosociologie – Paris : Armand Colin, 1996. FRAPPIER (Jean-Pierre) – Les succursales du rire, de l’usage du comique en entreprise – Paris : Imago, 1997. GALBRAITH (J.K) - Le nouvel Etat industriel. - Paris : Gallimard, 1979. GALBRAITH (J.K.) - L’ère de l’opulence. - Paris : Calmann-Lévy, 1970. GENELOT (Dominique) - Manager dans la complexité

mémoire, de notre imaginaire, de notre culture. Puisqu’ « une relation homologique [unit] voyage, écriture et lecture » 5 , nous pouvons donc postuler que la mise en texte d’un tel thème et sa réception sont intimement conditionnées par ce qu’Umberto Eco nomme « les promenades inférentielles » 6 et définit comme « des échappées hors du texte » d’où l’on revient « riche d’un butin intertextuel. » 7 C’est sans doute pourquoi le roman offre la sensation d’un déjà vu et d’un déjà lu. Ce sentiment fonde

issue du carnaval……………………….………5 1. Introduction ………………………………….…………………...……5 2. Les fêtes et le carnaval …………………………………………...…...12 3. De la spontanéité à la formalisation du théâtre comme genre…...……22 4. Le carnavalesque ……………………………………….…………….25 i) Le rire …………………………………………………………26 ii) La collectivité ………………………………………………...30 iii) Le dialogisme ………………………………………………..34 iv) Le renversement …………………………………………......38 v) Le grotesque ………………………………………………….40 vi) Le renouvellement …………………………………………...47 5. Conclusion

colère . . . . . . . . .54 Duhem, Pierre . . . . . . . . . . . . . . . . . 147 Durand, Gilbert . . . . . . . . . . . . . . . . . 46 Durkheim . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155 Ecclésiaste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 Eco, Umberto . . . . . . . . . . . . . . . . . . 167 Électre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .175 Émile ou De l’éducation . . . . . . . . 185238 INDEX Encyclopédie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 192 Enquête sur l’entendement humain

colère . . . . . . . . .54 Duhem, Pierre . . . . . . . . . . . . . . . . . 147 Durand, Gilbert . . . . . . . . . . . . . . . . . 46 Durkheim . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155 Ecclésiaste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 Eco, Umberto . . . . . . . . . . . . . . . . . . 167 Électre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .175 Émile ou De l’éducation . . . . . . . . 185238 INDEX Encyclopédie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 192 Enquête sur l’entendement humain

inadmissible d'écrire (nb: allusion à la double condamnation du réalisme et du roman par les surréalistes). Tout ce qu'il y avait d'inconscient ici, c'était le caractère d'incipit de cette phrase: je l'imaginais dans une table des matières…Cela ne fit rire personne quand Guy appela M. Romanet papa (…) au-delà de ces mots s'enchaînait, s'articulait un livre épais, une histoire cohérente, un roman". 16b. Je n'ai jamais appris à écrire ou les Incipit, 1969 L'incipit y voit sa fonction créatrice systématisée