Le Roi Et La Féodalité

L'intervention des croisés à pour objet des rétablir la route des pèlerinage et de la sécuriser. Le pèlerinage en terre sainte c'est un rite pénitentiel, une pénitence pour les pêchés commis. Les seigneurs féodaux occidentaux qui sont devenus puissants car le roi ne l'était pas. Ils ont perdu de vue leur rôle principal de défenseur et protecteur et sont plus intéressés par leur gloire. Le pape c'est le chef spirituel de l'église chrétienne. Après une période où le pape était assez faible, au début du Xième siècle

des croyances différentes des siennes (des hérésies). L’Occident est également marqué par la féodalité. La société s’organise autour d’une division en trois ordres : le clergé qui prie, la noblesse (les guerriers) qui combat, et ceux qui travaillent qu’on appellera plus tard le tiers-état. La féodalité est marquée par une grande violence : les seigneurs (la noblesse) se combattent régulièrement sans que le roi puisse véritablement y intervenir. Seule l’Église peut la limiter en menaçant ceux qui ne

Exemple de château fort : Château de Loches I] Les origines du château fort Dès 887, les seigneurs élèvent des mottes castrales sur leur fief à la suite de la naissance de la féodalité et de l'affaiblissement du pouvoir central. Un motte castral est un promontoire naturel ou artificiel situé sur un point stratégique. Le château sert alors de résidence et de défense pour les habitants de celui-ce. Ce n'est qu'au XIIe siècle que les châteaux s'améliorent et prennent la forme d'un « château

géométrique (de grands carrés) et les fiefs sont subdivisés en 9 carrés. 8 familles en ont chacune un, et le 9ème est cultivé en commun pour le seigneur. Progressivement, le paysan devient propriétaire, et cette évolution coïncide avec la fin de la féodalité, c'est-à-dire au moment de l’unification de la Chine. > Section 2, la propriété foncière sous les Tsin et les Han (3ème siècle avant et après notre ère). Sous les Tsin, la Chine est centralisée (unification de la grande muraille, mise en place

Les contextes généraux De point de vue politique : la société se caractérise par une véritable disparition du pouvoir central, pouvoir attribuer par les seigneurs. Le roi =exerce son autorité que dans l’île de France (son petit territoire a lui). 11eme siècle début du moyen âge expansion du pouvoir seigneurial .Début de la féodalité, et du lien vassalique qui va caractériser toute cette période. De point de vue économique : ont constate une régression beaucoup de terres cultivée retournent à la friche

institutionnalisé puisque c’est un pouvoir qui ne se différencie pas de la personne qui en est détentrice. C’est un pouvoir fragmenté entre un grand nombre de groupements de domination, pour reprendre l’expression de Max Weber. Enfin, ce qui caractérise la féodalité à cette époque c’est aussi une très faible continuité du pouvoir dans le temps et dans l’espace. En effet, les frontières de chaque unité de domination fluctuent souvent au gré des guerres, des mariages et des transmissions héréditaires Dans ces

trois ordres : Clergé, Noblesse et Tiers Etat, par le roi pour débattre des problèmes du pays. Et Première Révolution (fin : 10 août 1792) 17 juin : le Tiers Etat s’autoproclame Assemblée Nationale ; naissance de la monarchie constitutionnelle 20 juin : serment du jeu de paume 13 juillet : Desmoulins est le premier à s’écrier « aux armes citoyens » 14 juillet : prise de la Bastille 4 août : la constituante décide de détruire la féodalité 26 août : abolition des droits féodaux et DDHC (=machine

@ LA FÉODALITÉ CHINOISE par Marcel GRANET (1884-1940) 1952 Un document produit en version numérique par Pierre Palpant, collaborateur bénévole Courriel : pierre.palpant@laposte.net Dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web : http ://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée

d'Aiguillon (29 ans) propose d'offrir aux paysans de racheter les droits seigneuriaux à des conditions modérées. Ce libéral est aussi la deuxième fortune de France après le roi. Le vicomte de Noailles, un cadet de famille sans fortune, surenchérit et propose d'en finir avec les droits seigneuriaux, «restes odieux de la féodalité» selon ses termes. Il suggère rien moins que d'«abolir sans rachat» les corvées seigneuriales et autres servitudes personnelles. L'évêque de Chartres monte à la tribune et

occupaient ce territoire). Chaque clan était dirigé par une aristocratie puissante qui dominait le peuple et était organisée sous une forme qui évoque la féodalité, un roi était désigné par les aristocrates qui s'entourait de protégés (hommes libres ou serfs appelés "clients") qui leur devaient obéissance, eux-mêmes se mettant sous l'autorité du roi du clan. L'aristocratie détenait le pouvoir politique, judiciaire et elle gérait la vie de la tribu en échange de sa protection. L'autre classe puissante